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murielle France |
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La maison de son enfance
On ne l’habite qu’une fois, C’est là un jour que tout commence Premiers rêves,premiers émois, premiers chagrins, premières larmes dissimulés dans dans un recoin. Les souvenirs que l’on y laisse nous accompagnerons toujours. Surtout lorsque la vie nous blesse Et qu’arrivent les mauvais jours. Ses pierres pour nous sont uniques, fondation de nos sentiments. Nous les imaginons magiques et habitées par nos sements.
Son image nous accompagne déteneuse de nostagie. Elle est notre épanchement sur le chemin de notre vie |
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murielle France |
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Oubli et fautes. A chaque que je me relis, je suis étonnée par les fautes d’inattentions que je fais en écrivant sur le forum… Mais le plus grave, c’est que dans mon stress de vouloir bien faire, j’ai omis de dédicacer ce texte à Adélie, ‘’le p’tit bouchon’’ murielle le 27 janvier 2007
----- Message d'origine ----- La maison de son enfance
On ne l’habite qu’une fois, C’est là un jour que tout commence Premiers rêves,premiers émois, premiers chagrins, premières larmes dissimulés dans dans un recoin. Les souvenirs que l’on y laisse nous accompagnerons toujours. Surtout lorsque la vie nous blesse Et qu’arrivent les mauvais jours. Ses pierres pour nous sont uniques, fondation de nos sentiments. Nous les imaginons magiques et habitées par nos sements.
Son image nous accompagne déteneuse de nostagie. Elle est notre épanchement sur le chemin de notre vie
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Françoise Belgique |
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Comme c'est vrai ce que tu dis dans ton magnifique poème,Murielle. Les fautes de français sont-elles importantes quand c'est le langage du coeur qui parle?
----- Message d'origine ----- Oubli et fautes. A chaque que je me relis, je suis étonnée par les fautes d’inattentions que je fais en écrivant sur le forum… Mais le plus grave, c’est que dans mon stress de vouloir bien faire, j’ai omis de dédicacer ce texte à Adélie, ‘’le p’tit bouchon’’ murielle le 27 janvier 2007
----- Message d'origine ----- La maison de son enfance
On ne l’habite qu’une fois, C’est là un jour que tout commence Premiers rêves,premiers émois, premiers chagrins, premières larmes dissimulés dans dans un recoin. Les souvenirs que l’on y laisse nous accompagnerons toujours. Surtout lorsque la vie nous blesse Et qu’arrivent les mauvais jours. Ses pierres pour nous sont uniques, fondation de nos sentiments. Nous les imaginons magiques et habitées par nos sements.
Son image nous accompagne déteneuse de nostagie. Elle est notre épanchement sur le chemin de notre vie
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lazuly Belgique |
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Oui c'est très juste ce que tu dis. J'ai aussi remarqué que le quartier de mon enfance à une odeur qui n'est comparable à aucune autre et qui me surprend chaque fois que je vais rendre visite à parents...
----- Message d'origine ----- Comme c'est vrai ce que tu dis dans ton magnifique poème,Murielle. Les fautes de français sont-elles importantes quand c'est le langage du coeur qui parle?
----- Message d'origine ----- Oubli et fautes. A chaque que je me relis, je suis étonnée par les fautes d’inattentions que je fais en écrivant sur le forum… Mais le plus grave, c’est que dans mon stress de vouloir bien faire, j’ai omis de dédicacer ce texte à Adélie, ‘’le p’tit bouchon’’ murielle le 27 janvier 2007
----- Message d'origine ----- La maison de son enfance
On ne l’habite qu’une fois, C’est là un jour que tout commence Premiers rêves,premiers émois, premiers chagrins, premières larmes dissimulés dans dans un recoin. Les souvenirs que l’on y laisse nous accompagnerons toujours. Surtout lorsque la vie nous blesse Et qu’arrivent les mauvais jours. Ses pierres pour nous sont uniques, fondation de nos sentiments. Nous les imaginons magiques et habitées par nos sements.
Son image nous accompagne déteneuse de nostagie. Elle est notre épanchement sur le chemin de notre vie
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François France |
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Quelle est ma maison ? Celle que me réserve l'autre côté du jour, ou le lointain passé au centre d'un hameau si différent de cette ville et devenu semblable ; un lieu de rien pour tout chercher ; ou celle que je ne reconnais pas lorsque j'ouvre les yeux et ne sais regarder, ne voyant rien du seuil s'offrant à chaque laps, des cloisons naguère étanches qui s'effondrent, ce bouquet sur un guérison dans un cliquetis de mots et de clés ? Si s'entrouvrent les abîmes des événements, c'est au plus près des parts de monde, à même nos rues, nos jardins, nos instants, dans l'épaisseur de nous corps parlants l'un vers l'autre et l'interstice entre nous. Surtout n'espérer rien, ne pas insulter l'avenir. Construire une maison, havre de l'impossible.
----- Message d'origine ----- La maison de son enfance
On ne l’habite qu’une fois, C’est là un jour que tout commence Premiers rêves,premiers émois, premiers chagrins, premières larmes dissimulés dans dans un recoin. Les souvenirs que l’on y laisse nous accompagnerons toujours. Surtout lorsque la vie nous blesse Et qu’arrivent les mauvais jours. Ses pierres pour nous sont uniques, fondation de nos sentiments. Nous les imaginons magiques et habitées par nos sements.
Son image nous accompagne déteneuse de nostagie. Elle est notre épanchement sur le chemin de notre vie
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babel |
Posté le: 27/1/2007 02:28 | Sujet du message: RE: Oublis et fautes | |
Email: babel@etoiles.net | |
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Il faut beaucoup d'oublis et de lapsus, pour que du quotidien surgisse une bâtisse, un château de sables et de rêves, là où un promoteur ne verra qu'un tas de défauts à cacher. Il du temps pour poser l'écriteau sur la porte le temps sans doute d'un autre regard |
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Bernard Belgique |
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Les plus maux foutues cabannes sont souvent les plus photogéniques. Un de mes sujets de photos préféré(e?)s (cf. lien). Ah, ce stress de vouloir être parfait, sans fôtes d'orthographes, ni mèche de travers, les cheveux bien à plat sur le crâne. Aujourd'hui, c'est dimanche, je ne me suis pas rasé.
----- Message d'origine ----- Il faut beaucoup d'oublis et de lapsus, pour que du quotidien surgisse une bâtisse, un château de sables et de rêves, là où un promoteur ne verra qu'un tas de défauts à cacher. Il du temps pour poser l'écriteau sur la porte le temps sans doute d'un autre regard |
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François France |
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Moi non plus ; mais comme, estimant que le travail est sacré, qu'il ne faut donc pas y toucher et que, du coup, je voudrais que tous les jours soient dimanche, je me laisse barbu : économie et temps gagné. Temps gagné ? Pourquoi faire ? Mais rien, bien sûr.
----- Message d'origine ----- Les plus maux foutues cabannes sont souvent les plus photogéniques. Un de mes sujets de photos préféré(e?)s (cf. lien). Ah, ce stress de vouloir être parfait, sans fôtes d'orthographes, ni mèche de travers, les cheveux bien à plat sur le crâne. Aujourd'hui, c'est dimanche, je ne me suis pas rasé.
----- Message d'origine ----- Il faut beaucoup d'oublis et de lapsus, pour que du quotidien surgisse une bâtisse, un château de sables et de rêves, là où un promoteur ne verra qu'un tas de défauts à cacher. Il du temps pour poser l'écriteau sur la porte le temps sans doute d'un autre regard
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anouk Belgique |
Posté le: 28/1/2007 06:56 | Sujet du message: RE: Oublis et fôtes | |
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Pensez à vos petites femmes quand même ! Dimanche, jour de repos, Jour de grasse matinée, Gain de temps pour les câlins, A choisir : Câlin doux ou câlin piquant? Mon choix n'est pas hésitant ! Croyez-moi . . . Allez-vous rasez les mâles, oust ! ! !
----- Message d'origine ----- Moi non plus ; mais comme, estimant que le travail est sacré, qu'il ne faut donc pas y toucher et que, du coup, je voudrais que tous les jours soient dimanche, je me laisse barbu : économie et temps gagné. Temps gagné ? Pourquoi faire ? Mais rien, bien sûr.
----- Message d'origine ----- Les plus maux foutues cabannes sont souvent les plus photogéniques. Un de mes sujets de photos préféré(e?)s (cf. lien). Ah, ce stress de vouloir être parfait, sans fôtes d'orthographes, ni mèche de travers, les cheveux bien à plat sur le crâne. Aujourd'hui, c'est dimanche, je ne me suis pas rasé.
----- Message d'origine ----- Il faut beaucoup d'oublis et de lapsus, pour que du quotidien surgisse une bâtisse, un château de sables et de rêves, là où un promoteur ne verra qu'un tas de défauts à cacher. Il du temps pour poser l'écriteau sur la porte le temps sans doute d'un autre regard
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babel |
Posté le: 28/1/2007 06:59 | Sujet du message: RE: Oublis et fôtes | |
Email: babel@etoiles.net | |
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"Croyez-moi . . . Allez-vous rasez les mâles, oust ! ! ! "
Non ! D'ailleurs 20 h : trop tard… tant pis, c'est si bon de se râper la paume demain, 8 h, je serai rasé pour la bise aux collègues… peut-être…
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murielle France |
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Anouk a dit " les mâles" Jean et toc ! ;-))) murielle
----- Message d'origine -----
"Croyez-moi . . . Allez-vous rasez les mâles, oust ! ! ! "
Non ! D'ailleurs 20 h : trop tard… tant pis, c'est si bon de se râper la paume demain, 8 h, je serai rasé pour la bise aux collègues… peut-être…
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anouk Belgique |
Posté le: 28/1/2007 08:14 | Sujet du message: RE: Oublis et fôtes | |
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Les collègues se bises, et ben, c'est du biau ! Ah si mes grands-parents voyaient ça. . .
----- Message d'origine -----
"Croyez-moi . . . Allez-vous rasez les mâles, oust ! ! ! "
Non ! D'ailleurs 20 h : trop tard… tant pis, c'est si bon de se râper la paume demain, 8 h, je serai rasé pour la bise aux collègues… peut-être…
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babel Afghanistan |
Posté le: 28/1/2007 09:06 | Sujet du message: RE: Oublis et fôtes | |
Email: babel@etoiles.net | |
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"Un bref baiser vaut mieux qu'un pourparler…" etc…
----- Message d'origine ----- Les collègues se bises, et ben, c'est du biau ! Ah si mes grands-parents voyaient ça. . .
----- Message d'origine -----
"Croyez-moi . . . Allez-vous rasez les mâles, oust ! ! ! "
Non ! D'ailleurs 20 h : trop tard… tant pis, c'est si bon de se râper la paume demain, 8 h, je serai rasé pour la bise aux collègues… peut-être…
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François France |
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Un baiser sans moustache (et donc sans poils) est comme une tasse à café sans anse. (Lao Tseu)
----- Message d'origine ----- Pensez à vos petites femmes quand même ! Dimanche, jour de repos, Jour de grasse matinée, Gain de temps pour les câlins, A choisir : Câlin doux ou câlin piquant? Mon choix n'est pas hésitant ! Croyez-moi . . . Allez-vous rasez les mâles, oust ! ! !
----- Message d'origine ----- Moi non plus ; mais comme, estimant que le travail est sacré, qu'il ne faut donc pas y toucher et que, du coup, je voudrais que tous les jours soient dimanche, je me laisse barbu : économie et temps gagné. Temps gagné ? Pourquoi faire ? Mais rien, bien sûr.
----- Message d'origine ----- Les plus maux foutues cabannes sont souvent les plus photogéniques. Un de mes sujets de photos préféré(e?)s (cf. lien). Ah, ce stress de vouloir être parfait, sans fôtes d'orthographes, ni mèche de travers, les cheveux bien à plat sur le crâne. Aujourd'hui, c'est dimanche, je ne me suis pas rasé.
----- Message d'origine ----- Il faut beaucoup d'oublis et de lapsus, pour que du quotidien surgisse une bâtisse, un château de sables et de rêves, là où un promoteur ne verra qu'un tas de défauts à cacher. Il du temps pour poser l'écriteau sur la porte le temps sans doute d'un autre regard
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Bernard Belgique |
Posté le: 28/1/2007 20:36 | Sujet du message: RE: Oublis et fôtes et omissions | |
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Ouch... ça c'est violent... tracasse-toi pas Jean, on a tous un peu de femelle en nous (et elles, du mâle, la preuve...)
----- Message d'origine ----- Anouk a dit " les mâles" Jean et toc ! ;-))) murielle
----- Message d'origine -----
"Croyez-moi . . . Allez-vous rasez les mâles, oust ! ! ! "
Non ! D'ailleurs 20 h : trop tard… tant pis, c'est si bon de se râper la paume demain, 8 h, je serai rasé pour la bise aux collègues… peut-être…
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Françoise Arabie Saoudite |
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C’est étonnant comme certains endroits, des endroits bien de chez nous, des images qui s’incrustent dans nos inconscients resurgissent de nos mémoires parce que figées par l’objectif. Ce qui passait presque inaperçu, tant cela semblait banal prend tout à coup une beauté oubliée, celle de l’aventure du quotidien. La petite auberge près de la gare devait sans doute être le logis du chef de gare. Ceux qui vélocipédent le long des ravels ont-ils remarqué que les demeures des gardes barrières et des chefs de gare avaient toutes le même style ? Il y en avait une semblable en face de la maison de mes parents. Après la désaffectation des lignes de chemin de fer, ces bâtiments ont été vendus à des particuliers qui les ont " rénovés " chacun à leur manière. Il en existe peu qui ont gardé l’authenticité.
----- Message d'origine ----- Les plus maux foutues cabannes sont souvent les plus photogéniques. Un de mes sujets de photos préféré(e?)s (cf. lien). Ah, ce stress de vouloir être parfait, sans fôtes d'orthographes, ni mèche de travers, les cheveux bien à plat sur le crâne. Aujourd'hui, c'est dimanche, je ne me suis pas rasé.
----- Message d'origine ----- Il faut beaucoup d'oublis et de lapsus, pour que du quotidien surgisse une bâtisse, un château de sables et de rêves, là où un promoteur ne verra qu'un tas de défauts à cacher. Il du temps pour poser l'écriteau sur la porte le temps sans doute d'un autre regard
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Bernard Belgique |
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Tout-à-fait. Regarde-moi celle-ci, c'est une ancienne centrale électrique le long de la Dendre à Lessines, c'est maintenant un pigeonnier, je crois.
----- Message d'origine ----- C’est étonnant comme certains endroits, des endroits bien de chez nous, des images qui s’incrustent dans nos inconscients resurgissent de nos mémoires parce que figées par l’objectif. Ce qui passait presque inaperçu, tant cela semblait banal prend tout à coup une beauté oubliée, celle de l’aventure du quotidien. La petite auberge près de la gare devait sans doute être le logis du chef de gare. Ceux qui vélocipédent le long des ravels ont-ils remarqué que les demeures des gardes barrières et des chefs de gare avaient toutes le même style ? Il y en avait une semblable en face de la maison de mes parents. Après la désaffectation des lignes de chemin de fer, ces bâtiments ont été vendus à des particuliers qui les ont " rénovés " chacun à leur manière. Il en existe peu qui ont gardé l’authenticité.
----- Message d'origine ----- Les plus maux foutues cabannes sont souvent les plus photogéniques. Un de mes sujets de photos préféré(e?)s (cf. lien). Ah, ce stress de vouloir être parfait, sans fôtes d'orthographes, ni mèche de travers, les cheveux bien à plat sur le crâne. Aujourd'hui, c'est dimanche, je ne me suis pas rasé.
----- Message d'origine ----- Il faut beaucoup d'oublis et de lapsus, pour que du quotidien surgisse une bâtisse, un château de sables et de rêves, là où un promoteur ne verra qu'un tas de défauts à cacher. Il du temps pour poser l'écriteau sur la porte le temps sans doute d'un autre regard
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Bernard Belgique |
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Ca, c'est la remise en face de la maison de mon enfance (en tout cas, là où je passais mes vacances), c'est pas beau, ça ! Moi je ne m'en lasse pas. Est-ce parce que, comme tu le dis, cette masure a bercé mon enfance... ?
Tiens...
J'ai même l'impression qu'elle me sourit cette bougre...
Si, si, je ne rêve pas... !
Malgré son âge, elle semble encore bien fringante !
----- Message d'origine ----- La maison de son enfance
On ne l’habite qu’une fois, C’est là un jour que tout commence Premiers rêves,premiers émois, premiers chagrins, premières larmes dissimulés dans dans un recoin. Les souvenirs que l’on y laisse nous accompagnerons toujours. Surtout lorsque la vie nous blesse Et qu’arrivent les mauvais jours. Ses pierres pour nous sont uniques, fondation de nos sentiments. Nous les imaginons magiques et habitées par nos sements.
Son image nous accompagne déteneuse de nostagie. Elle est notre épanchement sur le chemin de notre vie
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anouk Belgique |
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La maison de mon enfance, c'est celle qui me revient souvent encore dans mes rêves, après tant d'années !
----- Message d'origine ----- Ca, c'est la remise en face de la maison de mon enfance (en tout cas, là où je passais mes vacances), c'est pas beau, ça ! Moi je ne m'en lasse pas. Est-ce parce que, comme tu le dis, cette masure a bercé mon enfance... ?
Tiens...
J'ai même l'impression qu'elle me sourit cette bougre...
Si, si, je ne rêve pas... !
Malgré son âge, elle semble encore bien fringante !
----- Message d'origine ----- La maison de son enfance
On ne l’habite qu’une fois, C’est là un jour que tout commence Premiers rêves,premiers émois, premiers chagrins, premières larmes dissimulés dans dans un recoin. Les souvenirs que l’on y laisse nous accompagnerons toujours. Surtout lorsque la vie nous blesse Et qu’arrivent les mauvais jours. Ses pierres pour nous sont uniques, fondation de nos sentiments. Nous les imaginons magiques et habitées par nos sements.
Son image nous accompagne déteneuse de nostagie. Elle est notre épanchement sur le chemin de notre vie
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anouk Belgique |
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Oui mais François, sais-tu qu'il existait des bols spéciaux pour les messieurs à moustache ? Dans les brocantes, rarement, on peut encore en dénicher ! ces bols permettaient de boire sans que la moustache ne trempe dans le liquide. Mon frère,qui est moustachu, possède un de ces bols ; et je t'assure qu'il y tient comme à la prunelle de ses yeux ! Le bol est recouvert 1/3 vers l'intérieur (la même faïence)laissant une ouverture au bord des lèvres pour laisser passer la boisson, c'est simple, non ?
----- Message d'origine ----- Un baiser sans moustache (et donc sans poils) est comme une tasse à café sans anse. (Lao Tseu)
----- Message d'origine ----- Pensez à vos petites femmes quand même ! Dimanche, jour de repos, Jour de grasse matinée, Gain de temps pour les câlins, A choisir : Câlin doux ou câlin piquant? Mon choix n'est pas hésitant ! Croyez-moi . . . Allez-vous rasez les mâles, oust ! ! !
----- Message d'origine ----- Moi non plus ; mais comme, estimant que le travail est sacré, qu'il ne faut donc pas y toucher et que, du coup, je voudrais que tous les jours soient dimanche, je me laisse barbu : économie et temps gagné. Temps gagné ? Pourquoi faire ? Mais rien, bien sûr.
----- Message d'origine ----- Les plus maux foutues cabannes sont souvent les plus photogéniques. Un de mes sujets de photos préféré(e?)s (cf. lien). Ah, ce stress de vouloir être parfait, sans fôtes d'orthographes, ni mèche de travers, les cheveux bien à plat sur le crâne. Aujourd'hui, c'est dimanche, je ne me suis pas rasé.
----- Message d'origine ----- Il faut beaucoup d'oublis et de lapsus, pour que du quotidien surgisse une bâtisse, un château de sables et de rêves, là où un promoteur ne verra qu'un tas de défauts à cacher. Il du temps pour poser l'écriteau sur la porte le temps sans doute d'un autre regard
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