le forum de julos

Forum créé le 15/10/2003 12:08

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Auteur Message
   Trier par date croissante
François
France
Posté le:
13/1/2007 11:09
Sujet du message:
RE: Accusés Récéption
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Email:
francois.laur@wanadoo.fr
 
Mais l'autre nom d'existence est chance, non ? Alors, bon anniversaire : ce n'est que l'autre nom du souhait du bien-vivre !


----- Message d'origine -----
Je ne suis pas en très bons termes avec cette Mme l'Existence. Quand je l'ai rencontrée la première fois, je m'en souviens c'était un 12 janvier, elle m'a fait pleurer. Comme présentations, ce n'était pas très prometteur. Quand les gens ne me plaisent pas, j'essaie d'être aimable et fais bonne figure en souhaitant très fort qu'ils aillent se faire pendre ailleurs. Mais il y en a qui s'accrochent, ils ne sont pas très perspicaces, ils ne voient pas qu'ils gênent... Cette Mâdame, c'est tout ça, pas troublée pour un sou, même depuis que je ne mâche plus mes mots avec elle, elle s'accroche à mes basques. Bon, heureusement, elle a beaucoup de relations, elle connaît du monde qu'elle me fait rencontrer et qui n'ont pas ses défauts (ou pas tous...) Assez étonnant. Prenez l'exemple d'ici, oui, ici où vous êtes en train de lire, eh bien elle m'en a fait connaître de ces personnes peu connnunes que certains nomment foraimeuses et foraimeux. Rien que pour ça, je la supporte encore... Alors merci quand même à elle et surtout merci à vous tous, "oiseaux d'une île nouvelle".
 

Jilber
France
Posté le:
13/1/2007 09:33
Sujet du message:
RE: Accusés Récéption
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Site Internet:
http://jilber.fr
Je ne suis pas en très bons termes avec cette Mme l'Existence. Quand je l'ai rencontrée la première fois, je m'en souviens c'était un 12 janvier, elle m'a fait pleurer. Comme présentations, ce n'était pas très prometteur. Quand les gens ne me plaisent pas, j'essaie d'être aimable et fais bonne figure en souhaitant très fort qu'ils aillent se faire pendre ailleurs. Mais il y en a qui s'accrochent, ils ne sont pas très perspicaces, ils ne voient pas qu'ils gênent... Cette Mâdame, c'est tout ça, pas troublée pour un sou, même depuis que je ne mâche plus mes mots avec elle, elle s'accroche à mes basques. Bon, heureusement, elle a beaucoup de relations, elle connaît du monde qu'elle me fait rencontrer et qui n'ont pas ses défauts (ou pas tous...) Assez étonnant. Prenez l'exemple d'ici, oui, ici où vous êtes en train de lire, eh bien elle m'en a fait connaître de ces personnes peu connnunes que certains nomment foraimeuses et foraimeux. Rien que pour ça, je la supporte encore... Alors merci quand même à elle et surtout merci à vous tous, "oiseaux d'une île nouvelle". 

Dij
Royaume-Uni
Posté le:
13/1/2007 07:49
Sujet du message:
RE: Madame l'existence
Répondre            
Email:
hadijapottier@yahoo.co.uk
 
Ca fait plaisir de voir que vous vous souvenez de moi, même si je n’écris pas souvent je ne vous oublie pas, surtout avec mum qui nous néglige parce qu’elle va en vacances avec vous plutôt que de m’emmener à Chicago ou de retourner à Cuba comme je voudrais. C’est pour rire, pour Chicago j’irais avec mes frères ou mes sœurs ou avec une copine. Mon anniversaire hier, c’était super. On était 25 pour le repas, puis une cinquantaine de nous sommes allés dans un pub où des amis jouaient du Drum and Base et après ça nous sommes allés dans une boite qui s’appelle The Ocean Rooms où la musique est Drum and Base ! On est rentré à 4 heures. Cet après midi, shopping avec mum qui était généreuse comme tout, probablement parce qu’elle ne m’emmènera pas à Chicago. Il fait sombre et c’est horrible mais c’est comme ça en Angleterre, il y a de la lumière que quelques heures par jour en hiver et avant la lumière artificielle, les anglais étaient dépressifs ou bien ils dormaient beaucoup. Si je réussis mes examens en juin, je vais travailler beaucoup pour payer un grand voyage que je voudrais faire en 2008 avant d’aller à l’université. Je veux surtout aller en Amérique du Sud. Mes souhaits pour la nouvelle année, c’est que les gens pensent plus à la terre pour que les enfants du futur puissent jouer dessus sans avoir peur de se faire du mal. C’est que la musique soit positive dans ses messages et pas violente. C’est que je réussisse mes examens et que Johnny Depp divorce Vanessa Paradis pour moi.
Bonne année à tous et encore merci.
Dij


----- Message d'origine -----

belle vie, bon vent et bon temps a vous deux...
les rayons du vent mettent si peu de temps a nous parvenir,
à nous griffer la face,
dans nos traces qui s'effacent,
mais où restent l'accent des souvenirs tenaces
des rencontres aussi fugaces qu'estempssielles..
entre mer et continent....bien
à vous
jakile

----- Message d'origine -----
Madame l’existence, faîte que votre passage ce 12 janvier dans les chaumières et sur les lieux de ce forum soit contrat renouvelé pour « 100 ans et bien plus »

100 ans de « septembre d’arbres verts » où

« Demain s’éveillera
Sur le déclin d’aujourd’hui
Toujours marcher
Vers un futur instable
Et insatiable
Le passé accroché à nos pas
Comme de la boue
Aux semelles de notre être
Au sortir des champs
Labourés de nos vies. »

Ce poème de Jilber, Hadija, me souffle les vœux pour toi « Demain s’éveillera…. » Je te souhaite des demains lumineux accrochés à tous tes projets. De « toujours marcher vers un futur » adulte au cœur resté enfant. Que « le passé accroché à nos pas » soit sagesse à la mesure de l’insouciance de ta jeunesse.

Belle vie à vous deux.



----- Message d'origine -----
Accusés réception n° 4
Des existences de Jilber et de Dij.

Madame l’existence,

Par voix haute et intelligible, en rien moins que postale, nous est parvenu Jilber. Conformément aux émotions, et par hasard aux convertibles convenances, aux sentiments, nous avons embrumé l’arrière-salle des immeubles aveugles pour que la brume sur leurs façades donne aux lampadaires une allure d’arbres à lunes. Certes, les lunes ne sont pas encore mûres, et dans ce roncier, seules des étoiles scintillent parfois aux domiciles photovoltaïques. Nous avons pris soin de nourrir de sépia, d’encre sèche et de lambris les palettes de couleur. Dans les haut-parleurs, nous avons caché des crachotements, et des chuchotements sur le chemin qui coupe en longeant les silos, qui taille la face dans la morsure des bises lorraines.
Si d’aventure, vous, Madame l’existence, estimiez que nous n’avons pas de quoi orner son quotidien, vous êtes priée, Madame, d’aller pavaner vos prétentions là où paillettent les divas d’un soir, en quadrichromie oculo-palpébrale, pour être précis, et de nous laisser écouter le crissement du sable quand passe un accord mineur.
Merci.
Idem, les fûts élancés d’une forêt habillée de fleurs diaprées et de verdures chamarrées, dansent sous le vent des bouches d’aération : désormais, Marylin Monroe sera brune de la tête au pied, et fine, et africainement british, et plus encore, made in Brighton. Sa robe blanche est devenue est devenue une tenue changeante, aux couleurs projetées en avant, émissaires proclamant bien fort que Dij est là, même si ailleurs demain le ciel apprendra à mordorer le triangle ébène percé de deux yeux rieurs et d’une bouche à dévorer dix vies, trois brownies, tout en discourant sur un ultime chanteur si beau. J’accuse réception de ton existence Dij, comme un merle rieur aux becs-jaunes dans l’ombre bleue des thuyas. J’entends le silence de tes rêves me redire que c’est dans tes bras que s’élance le bel âge des vingt ans. J’entends la pluie des souvenirs détremper le sous-bock où j’ai noté le souvenir de mes vingt ans. Regarde, je le jette dans le fleuve : quand il aura lavé mes notes, tu mettras les tiennes, et n’oublie pas, quand l’auras vérifié, de nous dire si le ventre de la terre est rond comme celui d’une femme qui va accoucher du futur…



 

jacq
France
Posté le:
13/1/2007 06:05
Sujet du message:
RE: Madame l'existence
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Email:
jacques.aillet@laposte.net
 

belle vie, bon vent et bon temps a vous deux...
les rayons du vent mettent si peu de temps a nous parvenir,
à nous griffer la face,
dans nos traces qui s'effacent,
mais où restent l'accent des souvenirs tenaces
des rencontres aussi fugaces qu'estempssielles..
entre mer et continent....bien
à vous
jakile

----- Message d'origine -----
Madame l’existence, faîte que votre passage ce 12 janvier dans les chaumières et sur les lieux de ce forum soit contrat renouvelé pour « 100 ans et bien plus »

100 ans de « septembre d’arbres verts » où

« Demain s’éveillera
Sur le déclin d’aujourd’hui
Toujours marcher
Vers un futur instable
Et insatiable
Le passé accroché à nos pas
Comme de la boue
Aux semelles de notre être
Au sortir des champs
Labourés de nos vies. »

Ce poème de Jilber, Hadija, me souffle les vœux pour toi « Demain s’éveillera…. » Je te souhaite des demains lumineux accrochés à tous tes projets. De « toujours marcher vers un futur » adulte au cœur resté enfant. Que « le passé accroché à nos pas » soit sagesse à la mesure de l’insouciance de ta jeunesse.

Belle vie à vous deux.



----- Message d'origine -----
Accusés réception n° 4
Des existences de Jilber et de Dij.

Madame l’existence,

Par voix haute et intelligible, en rien moins que postale, nous est parvenu Jilber. Conformément aux émotions, et par hasard aux convertibles convenances, aux sentiments, nous avons embrumé l’arrière-salle des immeubles aveugles pour que la brume sur leurs façades donne aux lampadaires une allure d’arbres à lunes. Certes, les lunes ne sont pas encore mûres, et dans ce roncier, seules des étoiles scintillent parfois aux domiciles photovoltaïques. Nous avons pris soin de nourrir de sépia, d’encre sèche et de lambris les palettes de couleur. Dans les haut-parleurs, nous avons caché des crachotements, et des chuchotements sur le chemin qui coupe en longeant les silos, qui taille la face dans la morsure des bises lorraines.
Si d’aventure, vous, Madame l’existence, estimiez que nous n’avons pas de quoi orner son quotidien, vous êtes priée, Madame, d’aller pavaner vos prétentions là où paillettent les divas d’un soir, en quadrichromie oculo-palpébrale, pour être précis, et de nous laisser écouter le crissement du sable quand passe un accord mineur.
Merci.
Idem, les fûts élancés d’une forêt habillée de fleurs diaprées et de verdures chamarrées, dansent sous le vent des bouches d’aération : désormais, Marylin Monroe sera brune de la tête au pied, et fine, et africainement british, et plus encore, made in Brighton. Sa robe blanche est devenue est devenue une tenue changeante, aux couleurs projetées en avant, émissaires proclamant bien fort que Dij est là, même si ailleurs demain le ciel apprendra à mordorer le triangle ébène percé de deux yeux rieurs et d’une bouche à dévorer dix vies, trois brownies, tout en discourant sur un ultime chanteur si beau. J’accuse réception de ton existence Dij, comme un merle rieur aux becs-jaunes dans l’ombre bleue des thuyas. J’entends le silence de tes rêves me redire que c’est dans tes bras que s’élance le bel âge des vingt ans. J’entends la pluie des souvenirs détremper le sous-bock où j’ai noté le souvenir de mes vingt ans. Regarde, je le jette dans le fleuve : quand il aura lavé mes notes, tu mettras les tiennes, et n’oublie pas, quand l’auras vérifié, de nous dire si le ventre de la terre est rond comme celui d’une femme qui va accoucher du futur…


 

Françoise
Belgique
Posté le:
13/1/2007 05:51
Sujet du message:
RE: Madame l'existence
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Email:
francoise.michel@swing.be
 
Madame l’existence, faîte que votre passage ce 12 janvier dans les chaumières et sur les lieux de ce forum soit contrat renouvelé pour « 100 ans et bien plus »

100 ans de « septembre d’arbres verts » où

« Demain s’éveillera
Sur le déclin d’aujourd’hui
Toujours marcher
Vers un futur instable
Et insatiable
Le passé accroché à nos pas
Comme de la boue
Aux semelles de notre être
Au sortir des champs
Labourés de nos vies. »

Ce poème de Jilber, Hadija, me souffle les vœux pour toi « Demain s’éveillera…. » Je te souhaite des demains lumineux accrochés à tous tes projets. De « toujours marcher vers un futur » adulte au cœur resté enfant. Que « le passé accroché à nos pas » soit sagesse à la mesure de l’insouciance de ta jeunesse.

Belle vie à vous deux.



----- Message d'origine -----
Accusés réception n° 4
Des existences de Jilber et de Dij.

Madame l’existence,

Par voix haute et intelligible, en rien moins que postale, nous est parvenu Jilber. Conformément aux émotions, et par hasard aux convertibles convenances, aux sentiments, nous avons embrumé l’arrière-salle des immeubles aveugles pour que la brume sur leurs façades donne aux lampadaires une allure d’arbres à lunes. Certes, les lunes ne sont pas encore mûres, et dans ce roncier, seules des étoiles scintillent parfois aux domiciles photovoltaïques. Nous avons pris soin de nourrir de sépia, d’encre sèche et de lambris les palettes de couleur. Dans les haut-parleurs, nous avons caché des crachotements, et des chuchotements sur le chemin qui coupe en longeant les silos, qui taille la face dans la morsure des bises lorraines.
Si d’aventure, vous, Madame l’existence, estimiez que nous n’avons pas de quoi orner son quotidien, vous êtes priée, Madame, d’aller pavaner vos prétentions là où paillettent les divas d’un soir, en quadrichromie oculo-palpébrale, pour être précis, et de nous laisser écouter le crissement du sable quand passe un accord mineur.
Merci.
Idem, les fûts élancés d’une forêt habillée de fleurs diaprées et de verdures chamarrées, dansent sous le vent des bouches d’aération : désormais, Marylin Monroe sera brune de la tête au pied, et fine, et africainement british, et plus encore, made in Brighton. Sa robe blanche est devenue est devenue une tenue changeante, aux couleurs projetées en avant, émissaires proclamant bien fort que Dij est là, même si ailleurs demain le ciel apprendra à mordorer le triangle ébène percé de deux yeux rieurs et d’une bouche à dévorer dix vies, trois brownies, tout en discourant sur un ultime chanteur si beau. J’accuse réception de ton existence Dij, comme un merle rieur aux becs-jaunes dans l’ombre bleue des thuyas. J’entends le silence de tes rêves me redire que c’est dans tes bras que s’élance le bel âge des vingt ans. J’entends la pluie des souvenirs détremper le sous-bock où j’ai noté le souvenir de mes vingt ans. Regarde, je le jette dans le fleuve : quand il aura lavé mes notes, tu mettras les tiennes, et n’oublie pas, quand l’auras vérifié, de nous dire si le ventre de la terre est rond comme celui d’une femme qui va accoucher du futur…

 

babel
Posté le:
12/1/2007 21:20
Sujet du message:
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Email:
babel@etoiles.net
 
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Des existences de Jilber et de Dij.

Madame l’existence,

Par voix haute et intelligible, en rien moins que postale, nous est parvenu Jilber. Conformément aux émotions, et par hasard aux convertibles convenances, aux sentiments, nous avons embrumé l’arrière-salle des immeubles aveugles pour que la brume sur leurs façades donne aux lampadaires une allure d’arbres à lunes. Certes, les lunes ne sont pas encore mûres, et dans ce roncier, seules des étoiles scintillent parfois aux domiciles photovoltaïques. Nous avons pris soin de nourrir de sépia, d’encre sèche et de lambris les palettes de couleur. Dans les haut-parleurs, nous avons caché des crachotements, et des chuchotements sur le chemin qui coupe en longeant les silos, qui taille la face dans la morsure des bises lorraines.
Si d’aventure, vous, Madame l’existence, estimiez que nous n’avons pas de quoi orner son quotidien, vous êtes priée, Madame, d’aller pavaner vos prétentions là où paillettent les divas d’un soir, en quadrichromie oculo-palpébrale, pour être précis, et de nous laisser écouter le crissement du sable quand passe un accord mineur.
Merci.
Idem, les fûts élancés d’une forêt habillée de fleurs diaprées et de verdures chamarrées, dansent sous le vent des bouches d’aération : désormais, Marylin Monroe sera brune de la tête au pied, et fine, et africainement british, et plus encore, made in Brighton. Sa robe blanche est devenue est devenue une tenue changeante, aux couleurs projetées en avant, émissaires proclamant bien fort que Dij est là, même si ailleurs demain le ciel apprendra à mordorer le triangle ébène percé de deux yeux rieurs et d’une bouche à dévorer dix vies, trois brownies, tout en discourant sur un ultime chanteur si beau. J’accuse réception de ton existence Dij, comme un merle rieur aux becs-jaunes dans l’ombre bleue des thuyas. J’entends le silence de tes rêves me redire que c’est dans tes bras que s’élance le bel âge des vingt ans. J’entends la pluie des souvenirs détremper le sous-bock où j’ai noté le souvenir de mes vingt ans. Regarde, je le jette dans le fleuve : quand il aura lavé mes notes, tu mettras les tiennes, et n’oublie pas, quand l’auras vérifié, de nous dire si le ventre de la terre est rond comme celui d’une femme qui va accoucher du futur…
 

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