Peut-on rester ce que l'on est, sans se fermer aux autres et s'interdire toute possibilité d'évolution ? Et jusqu'à quel point peut-on s'ouvrir au changement, sans prendre le risque de se diluer et de sacrifier le meilleur de soi-même ?
Cette question est et reste fondamentale pour tout individu, et aussi toute société ! Elle prend, en ce début de siècle, une intensité particulière face à la montée de ce nouveau totalitarisme qu'est "l'islamisme".
La montée des totalitarismes pose un problème à la conscience de tout croyant, dans la mesure où elle s'accompagne d'une négation de l'homme, de l'autre et de la vie. |