| Auteur |
Message |
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François
France |
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Comme le désir parle bien dans tes mots !
----- Message d'origine -----
Les visions de l'amour.
Les miens se brouillent pour toi.
Les tiens, me mouillent les doigts.
Ta peau douce en soi
Me brûle les muscles tremblent.
Et quand je te vois, je deviens rouge de joie.
J'ai envie que tu me tutoies.
Quand je t'ai vue pour la deuxième fois,
j'ai explosé de joie
Grâce à toi, la vie m'a laissé ce sentiment étouffant
Laura KRETTLY 4 A
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Julos
Belgique |
Posté le:
3/5/2007 19:54 | Sujet du message:
RE: Poèmes des jeunes de Champigneulle | |
Email:
pagodes@julos.be | |
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Ils sont magnifiques les poèmes des jeunes de Champigneulles, merci pour tous vos
poemes. Merci à Evelyne Clavier et à tous ses éleves qui ont écrit.
Julos 4 mais 007 Tourinnes la grosse
----- Message d'origine -----
Vous souvenez-vous de Champigneulles, au printemps, avant cet été précoce....
Le jeudi matin, Julos, Philippe Migne et moi sommes allés dans des écoles. J'y ai
rencontré des élèves, avec Évelyne Clavier, leur professeur, dont je vous laisse ici l’e-
mail, si vous avez à dire à l’un ou l’une des enfants de la texture.
Ils avaient mis des mots dans une boîte et ont tiré au sort le cadre où dépeindre
quelque chose de l’amour. Ils ont 13 ou 14 ans, à tout casser. Quand la panne est
venue, on s’est tempêté le cerveau. Quand l’hésitation est venue, je les encouragés à
aller au bout de leur stylo…
Voici des fleurs de printemps. Certaines ont de sublimes éclats.
babel
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Jilber
France |
Posté le:
3/5/2007 21:41 | Sujet du message:
RE: Poèmes des jeunes de Champigneulle | |
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Le printemps a fui, l'amour reste...
----- Message d'origine -----
Vous souvenez-vous de Champigneulles, au printemps, avant cet été précoce....
Le jeudi matin, Julos, Philippe Migne et moi sommes allés dans des écoles. J'y ai
rencontré des élèves, avec Évelyne Clavier, leur professeur, dont je vous laisse ici l’e-
mail, si vous avez à dire à l’un ou l’une des enfants de la texture.
Ils avaient mis des mots dans une boîte et ont tiré au sort le cadre où dépeindre
quelque chose de l’amour. Ils ont 13 ou 14 ans, à tout casser. Quand la panne est
venue, on s’est tempêté le cerveau. Quand l’hésitation est venue, je les encouragés à
aller au bout de leur stylo…
Voici des fleurs de printemps. Certaines ont de sublimes éclats.
babel
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Willy Van Cammeren
Belgique |
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Très beau poème,
Sachez que dans votre famille Belge on écrit des poèmes également, les gènes se répètent.
Je viens d'envoyer le message suivant à Bruno Van Cammeren et je le copie pour vous:
Je suis à la recherche des descendants de la famille Van Cammeren.
Ce que j’ai pu rassembler se trouve déjà ici: http://gw1.geneanet.org/index.php3?b=willyvc&lang=nl;m=N;v=van+Cammeren;t=A
Mais il manque encore beaucoup.
Vos ancêtres sont émigrées de la Belgique vers Arras, France au début du 20ième siècle.
C’était Karel Augustijn (Charles August) Van Cammeren née Juillet 22 1887 et son épouse Anna Veeckmans (Anne) avec leurs enfants
o Jan Edmond Renaat
o Carolina Francisca
o Maria Roza
o Maria
o Juliaan Serafijn
Je n’ai pas les dates ni lieux de naissance, marriage, décès ni les données de leurs époux.
Dans le guide téléphonique de la France je retrouve encore les personnes suivantes :
Van Cammeren Bruno 3 Rue Nantes, 62217 Achicourt 321151964
Van Cammeren Eric 135 Lotissement Vanneaux, 76360 Villers Ecalles 232912385
Van Cammeren Lucien 8 Rue Gén Leclerc, 54300 Croismare 383420218
Van Cammeren Pascal 2 Rue Mirabelliers, 54136 Bouxières aux Dames 872968019
Je vous serais très reconnaissant si vous pourriez m’aider à compléter ce travail pour la partie France.
Nom, Prénoms, lieux et dates de naissances, marriages et décès sont intéressant ainsi que l’occupation mais je serais content avec le moindre d’infos.
Un grand merci d’avance,
----- Message d'origine -----
Les sentiments
Je souffrirais d'amour tout l'amour,
Si beau, et grâce à toi,
Je me sens bien auprès de toi,
C'est le bonheur,
Mais comment savoir si c'est la même chose pour toi,
Le bonheur avec toi,
C'est quand je te vois,
Tu me fais rire,
Tu sais être doux,
Tu sais te montrer compréhensif,
Toujours là quand j'ai besoin de toi,
Mais quand tu me dis que je t'aime,
J'ai l'impression que tu te sens obligé,
Dis moi si j'ai raison car tu me fais peur,
Dans mon coeur mon amour,
Ne peut pas dire en face
Je suis perdue aide moi.
Cynthia VAN CAMMEREN 4 A
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