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Message |
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| josefine |
Posté le:
2/1/2010 22:40 | Sujet du message:
couleur Tango 2010 : inscription en solo | |
Email:
lolie_pops@yahoo.fr | |
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bonsoir
est il possible de s'inscrire seule a ce festival ?
comment se passe reellement les cours ? sur toulouse, meme quand on annonce "tourner", les couples restent statiques et les filles seules ne participent au stage qu'en regardant ...
merci  |
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| guesdon |
Posté le:
4/1/2010 11:32 | Sujet du message:
inscripton en solitaire ou en couple | |
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Chère Joséfine,
Cette réponse n'est pas celle de LTDT mais celle d'une danseuse s'inscrivant en couple.
Croyez-vous qu'il est agréable pour les femmes qui ont fait l'effort de trouver un partenaire de devoir changer et donc parfois d'attendre que l'un de ces messieurs se libère.
Lorsque la parité n'est pas respectée, dorénavant, je refuse de changer ; j'espère que vous comprendrez ma position.
Autre aspect du problème ; la gestion de partenaire est très délicate tant sur le plan puremant pratique (associer 2 personnes de même niveau, gérer des absences de dernière minute) que sur le plan qualitatif (satisfaction des 2 parties). Je pense que chacun doit se débrouiller ; le site de LTDT met à disposition une rubrique "partenaires" qui me paraît amplement suffisante.
Je ne doute pas que ma réponse va engendrer une polémique !!!
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| Fmx |
Posté le:
5/1/2010 01:25 | Sujet du message:
Eh bien... | |
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... moi ça ne me viendrait même pas à l'idée de ne pas proposer à mon partenaire quand j'en ai un (s'il ne le propose pas de lui-même), de faire danser une femme qui est venue seule au moins un instant. On est égoïste ou on ne l'est pas...
De plus je suis trop allée danser seule pour ne pas savoir que le fait d'avoir un partenaire ou pas, pour un stage, un cours ou un soir, n'a pas forcément et pas souvent, de relation avec le ou les efforts qu'on a fait pour en trouver !
Beurk !
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| amêndoa |
Posté le:
5/1/2010 15:26 | Sujet du message:
Bon... | |
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| Il faut que les organisateurs du stage/cours soient clairs au niveau du "tournage", que ce soit pour les gens seuls ou avec un partenaire... Ceci dit, laisser sur la banquette quelqu'un qui n'a pas de partenaire me parait totalement épouvantable au niveau HUMAIN, n'importent les circonstances! |
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| guesdon |
Posté le:
5/1/2010 20:25 | Sujet du message:
pensons à tout avant de crier au loup | |
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Que de grands mots ; si chacun faisait preuve d'humanité, il n'y aaurait pas de plaintes de femmes seules qui dansent peu ou pas du tout dans les milongas. Dans certains cours, cen'est pas une femme seule mais plusieurs qui attendent.
Croyez-vous que les messieurs seuls s'occupent d'elles ; et bien pas du tout dès qu'ils ont "attrapé" une danseuse, ils ne la lachent pas pour changer de partenaires.
Je participe à un cours de danses de salon dans lequel 1 ou 2 danseuses maximum sont acceptées ; le niveau est homogène, le changement est organisé et l'enseignant se charge d'une des danseuses. Dans ce cas cela fonctionne car la personne qui ne danse pas, patiente très peu de temps entre 2 danseurs.
Je n'ai tout simplement pas envie de payer un cours au prix fort si je dois danser la moitié du temps. |
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| amêndoa |
Posté le:
5/1/2010 23:08 | Sujet du message:
Heureusement | |
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Dans mon cours, il y a l'esprit de partage et de bonne humeur...quand il n'y a pas de parité, on se débrouille et on tourne dans un esprit de faire danser tout le monde avec... (bizarre idée!!!) tout le monde! Il n'y a pas de mesquinerie. Et c'est aussi pour ça que j'ai décidé de prendre mes cours là-bas.
Pour les gens qui "attrapent" et qui s'en foutent des autres...je veux bien garder ma distance!
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| ltdt |
Posté le:
7/1/2010 00:14 | Sujet du message:
réponse LTDT | |
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En théorie il est possible de s'inscrire en solo, en pratique comment cela est-il géré ? Nous essayons de faire un équilibre global à l'intérieur d'un cours entre H et F. Les premiers inscrits en solo ont donc plus de chance d'avoir un partenaire que ceux qui s'inscrivent à la dernière minute .... Mais de toute façon il est illusoire de compter sur un changement de partenaires dans les stages pour les raisons évoquées dans les messages précédents (profs n'incitant pas à tourner, partenaires en couple ne souhaitant pas changer, hétérogénéité des niveaux à l'intérieur d'un cours etc...)
La position d'un couple ne souhaitant pas changer est parfaitement légitime dans la mesure ou ayant payé un cours complet, ils souhaitent avoir en contrepartie un service complet... Et il est hors de question d'obliger les couples à changer contre leur gré...
De plus même si l'équilibre est assuré à l'avance, il arrive toujours des empêchements de dernière minute qui viennent annuler ce fragile équilibre théorique.... sans compter les problèmes d'insatisfaction, car souvent le ou la partenaire proposé(e) n'est jamais à la hauteur du danseur ou de la danseuse rêvé(e).... Honnêtement nous vous conseillons pour ne pas être déçue de vous trouver par vous-même un partenaire ou de venir avec un couple de votre connaissance qui accepterait de "partager" avec vous. Il existe sur ce site (et sur de nombreux autres) un système de petites annonces partenaires pour vous faciliter la tâche... Bref nous préférons de loin ne pas avoir à gérer ce problème, c'est la raison pour laquelle nous accordons un tarif plus intéressant pour les inscriptions en couple qu'en solo. D'ailleurs de nombreux festivals ne prennent plus que les inscriptions en couple pour cette raison, et nous serons vraisemblablement amenés à aller dans cette voie dans un avenir plus ou moins proche....
Bonne chance à vous |
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| Sarah |
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Voici la troisième année que je pratique le Tango.
J’ai fait pourtant à plusieurs reprises des efforts pour trouver un partenaire mais en vain…
Sur les sites ou l’on propose la recherche de partenaire, j’ai vu de nombreuses femmes inscrites contre très peu d’hommes.
Je n’ai hélas pas trouvé de partenaire, mes recherches sur ces sites n’ont pas abouti et ont été loin de sembler « amplement suffisantes » et satisfaisantes.
Peut être n’ais je pas su m’y prendre comme il l’aurait fallu ?
Il est sure que « payer le prix fort pour danser la moitié du temps », personne n’en a envie ! Pourtant, je n’ai pas hésité à le faire, même si mes revenus sont modestes et que sur les premières Milongas où je suis allée je n’ai pratiquement pas dansé.
Je crois que j’avais le désir d’apprendre cette danse et surtout beaucoup de courage si non il me semble que j’aurai vite abandonné l’aventure !
Quand j’ai commencé le Tango, j’ai visité plusieurs cours avant de me décider à m’y inscrire.
Dans l’un d’entre eux, je me souviens n’avoir pas même dansé une seule fois alors que ce cours était annoncé et présenté comme un cours d’essaie.
Effectivement j’étais venue
seule…
A la fin de ce cours d’essaie j’ai rencontré les professeurs pour voir les modalités d’inscriptions…
L’un d’entre eux m’a alors affirmé que je devais commencer par le cour des débutants. Mais je ne comprenais pas, n’ayant pas foulé une seule fois la piste de danse, comment était il possible de juger de mon niveau ?
Je posais la question par rapport au fait que j’étais seule, au fond de moi, je me demandais si le fait de ne pas avoir de partenaire allait m’exclure de tout apprentissage à propos du Tango.
Le professeur m’a alors demandé de m’inscrire sur une liste, m’informant que je n’étais pas la première, qu’il y avait déjà pas mal de femme inscrites et me précisant gentiment qu’ils n’étaient en aucun cas une agence matrimoniale !!!
J’étais abasourdie de cette réponse.
Je suis partie assez dégoutée, me disant que je n’avais aucunement le désir d’appartenir à ce milieu là !
Je ne comprenais pas…
Pourquoi ces deux professeurs tellement magnifiques et talentueux, avec en plus une très bonne réputation dans le milieu, ne m’invitaient pas à poursuivre l’aventure ?
Je devais être surement n’importe qui et probablement qu’à ces cours ci ne s’inscrivait pas n’importe qui !!!
Ou bien, peut être qu’une femme n’ayant pas de partenaires ne valait même pas la peine que l’on ait à son égard un minimum de respect ou de correction ?
J’ai trouvé ces professeurs imbus de leurs personnes, prétentieux, pédant, irrespectueux de la femme que j’étais en train de devenir et qui avait envie de découvrir le Tango Argentin. Je me sentais déconcertée, par leurs réponses, j’avais en même temps un sentiment de colère qui montait en moi, je me sentais blessée. Je trouvais qu’il y avait comme de la méchanceté… Je me disais un jour je leur ferais un pied de nez !
En attendant je n’avais pas envie de lâcher, je me sentais très motivée, alors j’ai respiré et j’ai fini par m’apaiser, alors j’ai continué la route...
J’ai fais plusieurs essaies dans différents cours avant d’en trouver un où c’est sure les personnes étaient plus simples, surement moins dans le paraitre que dans l’être…
Un endroit convivial où j’ai senti les personnes authentiques et honnêtes. Le groupe a accepté qu’il y ait une femme seule dans le cours et mon niveau en danse m’a permis de suivre les cours directement avec les deuxièmes années.
L’année qui suivait, j’étais avec les quatrièmes années.
Et aujourd’hui je me permets toute seule à me risquer dans des Milongas ou je n’ai jamais mis les pieds auparavant !
Dans les cours que j’ai suivit, je me suis senti d’abord comme une rivale, il a fallu un peu de temps pour que les femmes du cours m’acceptent.
Cela n’était certes peut être pas facile pour les femmes venues en couple d’accepter que leur partenaire tourne ne serait ce qu’une fois pendant le cours. Mais elles étaient d’accord de se risquer à l’aventure.
Et puis ce n’était également pas facile pour moi d’être seule au milieu de tous ces couples.
J’ai eu souvent des doutes.
Petit à petit l’atmosphère c’est détendue, nous étions là ensemble pour danser et nous partagions la même passion.
Aujourd’hui c’est très volontiers que certaines femmes du cour invitent leur partenaire à me faire danser. La femme alors peut observer sont partenaire de l’extérieur, ce qui n’est pas tout à fait inintéressant dans un apprentissage…
Et puis quand ca tourne, quelle richesse de danser avec différents partenaires !
Sans être une obligation faire danser une femme seule n’est pas systématiquement une contrainte.
L’invitation peut se faire de façon spontanée, ou peut être proposée par le professeur, une partenaire…
Dans certaines Milongas j’ai même vu le DJ proposer à deux reprises dans la soirée que ce soit les femmes qui invitent les hommes… Et pourquoi pas ? Cela m’a bien plu en tous cas même si ce n’était pas très conventionnel !
Je remercie tout ceux qui généreusement savent partager et je pardonne aux égoïstes qui parfois me font pitié tellement il semble que leur monde intérieur soit si étroit et rabougris !
Au plaisir de la danse encore et encore !
Sarah
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| Artgo |
Posté le:
22/1/2010 08:32 | Sujet du message:
Le tango c'est tout simplement... | |
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Merci pour ce thème intéressant puisqu'il nous parle de notre société, cette bulle artificielle et instantanée du monde tanguero...
Pour le dire vite : le tango c'est tout simplement l'expression au quotidien de la vie, de nos comportement, de nos valeurs, manquements et de notre péché originel "l'égoïsme" et l'instinct de l'appropriation avant celui du "don de SOI"!
Plus généralement, on ne fait pas ou plus attention à ceux qui sont au bord de la route ou du système...
Je me suis encore fait cette réflexion cet hiver en voyant une nuit glaciale( retour de milonga)les gens hilares, joyeux et indifférents passer devant un SDF "gisant" à même le trottoir !
Ceux qui ne tournent pas dans le tango, malgré eux, ne vous voient pas du fond du coeur, bien triste vérité à regarder en face.
Le partage du tango ou de la danse en général c'est comme le partage dans la vie, de ce qu'on fait ou de ce qu'on "possède"...avec les autres.
En Argentine on apprend d'abord le partage, valeur sociale, avant les jolis pas.
Merci en particulier pour le long témoignage émouvant et "salutaire" de Sarah et bon vent sur l'Océan tangO.
un danseur de tango qui "tourne"
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| kpitnkvrn |
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| "Fmx" a écrit: | | ... moi ça ne me viendrait même pas à l'idée de ne pas proposer à mon partenaire quand j'en ai un (s'il ne le propose pas de lui-même), de faire danser une femme qui est venue seule au moins un instant. On est égoïste ou on ne l'est pas...
De plus je suis trop allée danser seule pour ne pas savoir que le fait d'avoir un partenaire ou pas, pour un stage, un cours ou un soir, n'a pas forcément et pas souvent, de relation avec le ou les efforts qu'on a fait pour en trouver !
Beurk !
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Ultra-Archi-Mega d'accord avec toi Fmx!
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| guesdon |
Posté le:
18/3/2010 13:37 | Sujet du message:
cours ponctuels ou cours réguliers | |
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Voici une réaction que va certainement faire hurler certain(e)s.
J'ai interrogé quelques danseurs sur ce sujet.
Voici leurs réactions :
1) Le niveau des cours est souvent très hétérogène, tout particulièrement lorsqu'il s'agit de cours ponctuels tels que proposés dans un festival comme Couleurs Tango. Il n'est pas agréable, ni intéressant de travailler avec des partenaires de niveau moindre.
2) Ne pas avoir de partenaire régulier ne permet pas de progresser sérieusement.
Personnellemnt, j'ai une remarque sur vos réactions ; je pense que vous faites un amalgame entre les cours à périodicité régulière et les cours ponctuels offerts dans le cadre de festivals. Les objectifs, les règles peuvent être assouplis dans le premier cas car on travaille sur du Long terme.
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| Flaneur |
Posté le:
18/3/2010 15:00 | Sujet du message:
Partenaire | |
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Juste mon vécu et une opinion.
N'ayant pas de partenaire attitrée, en six ans j'ai fait beaucoup de stage avec des danseuses de niveau très différents.
J'ai certainement plus appris avec des danseuses que j'aurai pu dire ne pas être à mon niveau qu'avec les danseuses de mon niveau ou meilleure que moi.
Mon guidage grâce à cela a fait beaucoup de progrès car à chaque fois que cela ne marche pas, on se remet en question, on essaye d'autres choses, on corrige un petit truc, on comprend aussi où dans un mouvement quels sont les moments clés (où on peut apporter des nuances).
Quand cela marche du premier cours car la danseuse à tout compris (voir compensé nos défauts). On a, peut-être, acquis une figure supplémentaire, mais pas forcément améliorer la qualité de la danse. D'ailleurs les figures que j'ai eu le plus de mal à reproduire après un stage sont souvent celles que j'ai apprises avec de très bonnes danseuses.
Bien sur, j'apprécierai d'avoir une danseuse avec laquelle travailler certaines techniques qui me sont encore délicates.
Cependant j'ai vu quelques couples autour de moi qui ont fait tous leurs stages ensembles et qui évoluent moins rapidemment que d'autres.
Je continuerai donc de faire des stages avec des danseuses diverses. Je fais prochainement un stage débutant avec une danseuse débutante que je ne connais pas. Je suis sûr qu'il sera intéressant pour moi.
Je comprends bien que pour les organisateurs d'un Festival la question soit épineuse aussi bien sur le plan de l'organisation que sur le plan de gestion des relations humaines.
Je comprends aussi que nous voyons tous midi à notre porte entre le fait de venir seul ou en couple et de ce que l'on vient chercher dans un cours (pour le tango et éventuellement de façon plus large).
En danse de société, j'ai vu un prof exclu un couple qui ne voulait pas tourner, il leur a dit ici c'est un cours collectif. Si vous ne souaitez pas changer de partenaire prenez un cours particulier. |
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| Fmx |
Posté le:
18/3/2010 21:52 | Sujet du message:
Bien sûr... | |
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... qu'on apprend plus en changeant de partenaire, puisqu'on multiplie les situations et les expériences. C'est du bon sens ! On multiplie aussi les rencontres avec ce qu'elles peuvent avoir de décevant (au niveau humain, pas au niveau technique) mais aussi d'enrichissant. Comme dans la vie en général.
Et puis, on arrête de faire comme à l'école en pensant à son "niveau" - apparemment toujours plus élevé que celui des autres, à en lire un certain nombre de témoignages...
Merci au "Capitaine Caverne", avec qui j'ai peut-être dansé un jour (depuis le début je crois que j'ai dansé avec environ deux cents cavaliers...) ?
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