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   Trier par date décroissante
Kaillra
France
Posté le:
10/5/2007 23:21
Sujet du message:
Détail
Répondre            
 
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.
 

Tis
France
Posté le:
11/5/2007 08:32
Sujet du message:
RE: Détail -l'art du bal
Répondre            
 
S'il vous plait mesdames. Apprenez bien vos bases avant de vous lancer ds le Tango nuevo que vous adorez. Pour un bon esprit si vous voulez que nous soyons courtois respecter vous même l'esprit Bal: Ne restez pas "coller" des heures avec le même danseur... Evitez quand un galant partenaire vous accompagne à la Milonga de le planter là et de vous ennivrer avec vos partenaires habituels... Souyez vous même un peu généreuses et vous verez que le ciel est plus bleu
''Que le Dieux du Tango soit avec vous'' - A notre cher LEON


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.

 

guest
France
Posté le:
11/5/2007 11:32
Sujet du message:
RE: Détail
Répondre            
 
Oui mais nouzaussi après fini de danser on revient à notre chaise; si on doit faire un détour par la vôtre ça nous fait le double de chemin.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.

 

Franck
France
Posté le:
17/5/2007 01:59
Sujet du message:
RE: Détail
Répondre            
Email:
fbaradat@laposte.net
 
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.

 

Cathy
France
Posté le:
17/5/2007 08:48
Sujet du message:
blessure
Répondre            
 
C'est vrai que cela nous plait beaucoup de voir notre cavalier nous lâcher seulement si la danseuse convoitée et bien repérée est elle même libérée, et dans ce cas là il faut courir dans l'urgence vers cette nouvelle proie sans le temps même d'un regard ou d'une parole courtoise ... Bien entendu un raccompagnement serait un obstacle rédhibitoire à cette manoeuvre.... Avant même le raccompagnement, nous préférerions qu'au moins la totalité de la danse jusqu'à la dernière note nous soit consacrée.......

----- Message d'origine -----
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.


 

Anne
France
Posté le:
17/5/2007 13:21
Sujet du message:
codes du bal
Répondre            
 
Sans être aussi, ironique, je partage absolument cet avis: le comprtement des danseurs ici est souvent exterêmement cavalier, je n'y vois pas de malveillance, plutôt une résistance bien française aux règles qui seraient dépassées ou je ne sais quoi, alors que les codes du bal tango (prendre le temps de s'inviter par le regard, et donc laisser à la danseuse la possibilité d'exprimer, elle aussi et sans blesser personne, son désir, ses doutes ou son refus ; danser ensemble jusqu'à la fin de ala tenda ; raccomapgner sa danseuse et lui dire merci ; ne pas danser ensemble deux tendas d'affilée) sont essentiels pour dépasser la concurrence par la courtoisie, et donc avoir quelques chances de danser vraiment et non pas d'aligner des pas ou de draguer lourdement...


----- Message d'origine -----
C'est vrai que cela nous plait beaucoup de voir notre cavalier nous lâcher seulement si la danseuse convoitée et bien repérée est elle même libérée, et dans ce cas là il faut courir dans l'urgence vers cette nouvelle proie sans le temps même d'un regard ou d'une parole courtoise ... Bien entendu un raccompagnement serait un obstacle rédhibitoire à cette manoeuvre.... Avant même le raccompagnement, nous préférerions qu'au moins la totalité de la danse jusqu'à la dernière note nous soit consacrée.......

----- Message d'origine -----
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.



 

Horace
France
Posté le:
19/5/2007 20:19
Sujet du message:
RE: codes du bal
Répondre            
 
Tout cela est bien joli, mais dans les faits, les codes du bal sont bel et bien surannés, voire même enterrés. Ils ont été à un eépoque bien particulière qui n'a plus rien à voir avec aujourd'hui. Est-ce discourtois de laisser la dame regagner sa place, c'est à dire de "la priver d'escorte", à une époque où elle est émancipée, indépendante et revendique le même statut que les "hommes", c'est çà àdire quand la moindre faveur en retour lui parait malvenue. Est-ce plus délicat ou plus léger de "l'accompagner" quand le bal d'aujourd'hui n'a plus du tout la même signification qu'antan, où draguer est devenu louche pour ne pas dire pire? il semblerait que l'hypocrisie non seulement n'a plus de bornes mais serve dorénanvant de simple paravent à la puérilité simple. Quand je contemple le désastre de nos milongas, je me rends compte du ridicule dans lequel nous nous noyons sous prétexte de nous bien conduire. Les bonnes maniières n'ont pas besoin d'être ostentatoires.

----- Message d'origine -----
Sans être aussi, ironique, je partage absolument cet avis: le comprtement des danseurs ici est souvent exterêmement cavalier, je n'y vois pas de malveillance, plutôt une résistance bien française aux règles qui seraient dépassées ou je ne sais quoi, alors que les codes du bal tango (prendre le temps de s'inviter par le regard, et donc laisser à la danseuse la possibilité d'exprimer, elle aussi et sans blesser personne, son désir, ses doutes ou son refus ; danser ensemble jusqu'à la fin de ala tenda ; raccomapgner sa danseuse et lui dire merci ; ne pas danser ensemble deux tendas d'affilée) sont essentiels pour dépasser la concurrence par la courtoisie, et donc avoir quelques chances de danser vraiment et non pas d'aligner des pas ou de draguer lourdement...


----- Message d'origine -----
C'est vrai que cela nous plait beaucoup de voir notre cavalier nous lâcher seulement si la danseuse convoitée et bien repérée est elle même libérée, et dans ce cas là il faut courir dans l'urgence vers cette nouvelle proie sans le temps même d'un regard ou d'une parole courtoise ... Bien entendu un raccompagnement serait un obstacle rédhibitoire à cette manoeuvre.... Avant même le raccompagnement, nous préférerions qu'au moins la totalité de la danse jusqu'à la dernière note nous soit consacrée.......

----- Message d'origine -----
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.
 

Kaillra
France
Posté le:
20/5/2007 11:06
Sujet du message:
Explication de texte
Répondre            
 

Vous n'avez pas très bien saisi l'affaire, Horace. Oui, nous travaillons, payons notre loyer, conduisons notre voiture de façon indépendante. Mais dans une milonga, de par les codes de base, nous redevenons des petits objets soumis, jeu auquel nous nous prêtons volontiers même si pour cela nous devons dépasser parfois certaines blessures d'amour-propre. Mais si nous acceptons bon gré mal gré le côté macho de ces codes surannés, ce petit détail, dois-je la nommer, qui s'appelle la COURTOISIE, nous comblerait... Baybay
PS C'est koi le dézastre des milongas ?
REPS on vous aime bien quand même, même avec ou sans vos gros sabots
Message d'origine -----
Tout cela est bien joli, mais dans les faits, les codes du bal sont bel et bien surannés, voire même enterrés. Ils ont été à un eépoque bien particulière qui n'a plus rien à voir avec aujourd'hui. Est-ce discourtois de laisser la dame regagner sa place, c'est à dire de "la priver d'escorte", à une époque où elle est émancipée, indépendante et revendique le même statut que les "hommes", c'est çà àdire quand la moindre faveur en retour lui parait malvenue. Est-ce plus délicat ou plus léger de "l'accompagner" quand le bal d'aujourd'hui n'a plus du tout la même signification qu'antan, où draguer est devenu louche pour ne pas dire pire? il semblerait que l'hypocrisie non seulement n'a plus de bornes mais serve dorénanvant de simple paravent à la puérilité simple. Quand je contemple le désastre de nos milongas, je me rends compte du ridicule dans lequel nous nous noyons sous prétexte de nous bien conduire. Les bonnes maniières n'ont pas besoin d'être ostentatoires.

----- Message d'origine -----
Sans être aussi, ironique, je partage absolument cet avis: le comprtement des danseurs ici est souvent exterêmement cavalier, je n'y vois pas de malveillance, plutôt une résistance bien française aux règles qui seraient dépassées ou je ne sais quoi, alors que les codes du bal tango (prendre le temps de s'inviter par le regard, et donc laisser à la danseuse la possibilité d'exprimer, elle aussi et sans blesser personne, son désir, ses doutes ou son refus ; danser ensemble jusqu'à la fin de ala tenda ; raccomapgner sa danseuse et lui dire merci ; ne pas danser ensemble deux tendas d'affilée) sont essentiels pour dépasser la concurrence par la courtoisie, et donc avoir quelques chances de danser vraiment et non pas d'aligner des pas ou de draguer lourdement...


----- Message d'origine -----
C'est vrai que cela nous plait beaucoup de voir notre cavalier nous lâcher seulement si la danseuse convoitée et bien repérée est elle même libérée, et dans ce cas là il faut courir dans l'urgence vers cette nouvelle proie sans le temps même d'un regard ou d'une parole courtoise ... Bien entendu un raccompagnement serait un obstacle rédhibitoire à cette manoeuvre.... Avant même le raccompagnement, nous préférerions qu'au moins la totalité de la danse jusqu'à la dernière note nous soit consacrée.......

----- Message d'origine -----
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.

 

coup de gueule
France
Posté le:
20/5/2007 12:18
Sujet du message:
RE: codes du bal
Répondre            
Email:
squez@hotmail.com
 
Par pitié, Horace, délaissez vtre ordi. Arrêtez de nous gaver avec vos messages raleurs, pessimistes. Restez chez vous si les milongas ne vous plaisent pas.Dites nous où vous sevicez, nous vous éviterons.
Avec le souhait de ne plus vous lire


----- Message d'origine -----
Tout cela est bien joli, mais dans les faits, les codes du bal sont bel et bien surannés, voire même enterrés. Ils ont été à un eépoque bien particulière qui n'a plus rien à voir avec aujourd'hui. Est-ce discourtois de laisser la dame regagner sa place, c'est à dire de "la priver d'escorte", à une époque où elle est émancipée, indépendante et revendique le même statut que les "hommes", c'est çà àdire quand la moindre faveur en retour lui parait malvenue. Est-ce plus délicat ou plus léger de "l'accompagner" quand le bal d'aujourd'hui n'a plus du tout la même signification qu'antan, où draguer est devenu louche pour ne pas dire pire? il semblerait que l'hypocrisie non seulement n'a plus de bornes mais serve dorénanvant de simple paravent à la puérilité simple. Quand je contemple le désastre de nos milongas, je me rends compte du ridicule dans lequel nous nous noyons sous prétexte de nous bien conduire. Les bonnes maniières n'ont pas besoin d'être ostentatoires.

----- Message d'origine -----
Sans être aussi, ironique, je partage absolument cet avis: le comprtement des danseurs ici est souvent exterêmement cavalier, je n'y vois pas de malveillance, plutôt une résistance bien française aux règles qui seraient dépassées ou je ne sais quoi, alors que les codes du bal tango (prendre le temps de s'inviter par le regard, et donc laisser à la danseuse la possibilité d'exprimer, elle aussi et sans blesser personne, son désir, ses doutes ou son refus ; danser ensemble jusqu'à la fin de ala tenda ; raccomapgner sa danseuse et lui dire merci ; ne pas danser ensemble deux tendas d'affilée) sont essentiels pour dépasser la concurrence par la courtoisie, et donc avoir quelques chances de danser vraiment et non pas d'aligner des pas ou de draguer lourdement...


----- Message d'origine -----
C'est vrai que cela nous plait beaucoup de voir notre cavalier nous lâcher seulement si la danseuse convoitée et bien repérée est elle même libérée, et dans ce cas là il faut courir dans l'urgence vers cette nouvelle proie sans le temps même d'un regard ou d'une parole courtoise ... Bien entendu un raccompagnement serait un obstacle rédhibitoire à cette manoeuvre.... Avant même le raccompagnement, nous préférerions qu'au moins la totalité de la danse jusqu'à la dernière note nous soit consacrée.......

----- Message d'origine -----
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.

 

Horace
France
Posté le:
21/5/2007 20:55
Sujet du message:
RE: Explication de texte
Répondre            
 
Oh que si j'ai bien saisi! et puisqu'il faut tout expliquer: le dézastre des milongas, c'est voir des danseurs (parce que je vous le concède: la femme n'y peut rien) danser bien, ça oui! mais sans prêter attention aux autres couples, (je ne vais pas vous faire un dessin tout de même!? ) et en général c'est toujours une autre dame qui prend les coups. Ensuite de quoi, en dehors du bal c'est très facile de faire le galant, le joli coeur ou le politiquement correct ... comment ce fait-il que vous n'ayez pas capté cela??


----- Message d'origine -----

Vous n'avez pas très bien saisi l'affaire, Horace. Oui, nous travaillons, payons notre loyer, conduisons notre voiture de façon indépendante. Mais dans une milonga, de par les codes de base, nous redevenons des petits objets soumis, jeu auquel nous nous prêtons volontiers même si pour cela nous devons dépasser parfois certaines blessures d'amour-propre. Mais si nous acceptons bon gré mal gré le côté macho de ces codes surannés, ce petit détail, dois-je la nommer, qui s'appelle la COURTOISIE, nous comblerait... Baybay
PS C'est koi le dézastre des milongas ?
REPS on vous aime bien quand même, même avec ou sans vos gros sabots
Message d'origine -----
Tout cela est bien joli, mais dans les faits, les codes du bal sont bel et bien surannés, voire même enterrés. Ils ont été à un eépoque bien particulière qui n'a plus rien à voir avec aujourd'hui. Est-ce discourtois de laisser la dame regagner sa place, c'est à dire de "la priver d'escorte", à une époque où elle est émancipée, indépendante et revendique le même statut que les "hommes", c'est çà àdire quand la moindre faveur en retour lui parait malvenue. Est-ce plus délicat ou plus léger de "l'accompagner" quand le bal d'aujourd'hui n'a plus du tout la même signification qu'antan, où draguer est devenu louche pour ne pas dire pire? il semblerait que l'hypocrisie non seulement n'a plus de bornes mais serve dorénanvant de simple paravent à la puérilité simple. Quand je contemple le désastre de nos milongas, je me rends compte du ridicule dans lequel nous nous noyons sous prétexte de nous bien conduire. Les bonnes maniières n'ont pas besoin d'être ostentatoires.

----- Message d'origine -----
Sans être aussi, ironique, je partage absolument cet avis: le comprtement des danseurs ici est souvent exterêmement cavalier, je n'y vois pas de malveillance, plutôt une résistance bien française aux règles qui seraient dépassées ou je ne sais quoi, alors que les codes du bal tango (prendre le temps de s'inviter par le regard, et donc laisser à la danseuse la possibilité d'exprimer, elle aussi et sans blesser personne, son désir, ses doutes ou son refus ; danser ensemble jusqu'à la fin de ala tenda ; raccomapgner sa danseuse et lui dire merci ; ne pas danser ensemble deux tendas d'affilée) sont essentiels pour dépasser la concurrence par la courtoisie, et donc avoir quelques chances de danser vraiment et non pas d'aligner des pas ou de draguer lourdement...


----- Message d'origine -----
C'est vrai que cela nous plait beaucoup de voir notre cavalier nous lâcher seulement si la danseuse convoitée et bien repérée est elle même libérée, et dans ce cas là il faut courir dans l'urgence vers cette nouvelle proie sans le temps même d'un regard ou d'une parole courtoise ... Bien entendu un raccompagnement serait un obstacle rédhibitoire à cette manoeuvre.... Avant même le raccompagnement, nous préférerions qu'au moins la totalité de la danse jusqu'à la dernière note nous soit consacrée.......

----- Message d'origine -----
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.


 

Diane
France
Posté le:
23/5/2007 00:54
Sujet du message:
RE: Explication de texte
Répondre            
 

Oh que si, je suis bien d'accord avec toi. Mais où tu te fous le doigt dans l'oeil ce n'est pas tant la faute aux mecs mais aux pimbêchettes qui sont toutes excitées que l'ensemble de la piste soit ouverte à leurs exhibitions


----- Message d'origine -----
Oh que si j'ai bien saisi! et puisqu'il faut tout expliquer: le dézastre des milongas, c'est voir des danseurs (parce que je vous le concède: la femme n'y peut rien) danser bien, ça oui! mais sans prêter attention aux autres couples, (je ne vais pas vous faire un dessin tout de même!? ) et en général c'est toujours une autre dame qui prend les coups. Ensuite de quoi, en dehors du bal c'est très facile de faire le galant, le joli coeur ou le politiquement correct ... comment ce fait-il que vous n'ayez pas capté cela??


----- Message d'origine -----

Vous n'avez pas très bien saisi l'affaire, Horace. Oui, nous travaillons, payons notre loyer, conduisons notre voiture de façon indépendante. Mais dans une milonga, de par les codes de base, nous redevenons des petits objets soumis, jeu auquel nous nous prêtons volontiers même si pour cela nous devons dépasser parfois certaines blessures d'amour-propre. Mais si nous acceptons bon gré mal gré le côté macho de ces codes surannés, ce petit détail, dois-je la nommer, qui s'appelle la COURTOISIE, nous comblerait... Baybay
PS C'est koi le dézastre des milongas ?
REPS on vous aime bien quand même, même avec ou sans vos gros sabots
Message d'origine -----
Tout cela est bien joli, mais dans les faits, les codes du bal sont bel et bien surannés, voire même enterrés. Ils ont été à un eépoque bien particulière qui n'a plus rien à voir avec aujourd'hui. Est-ce discourtois de laisser la dame regagner sa place, c'est à dire de "la priver d'escorte", à une époque où elle est émancipée, indépendante et revendique le même statut que les "hommes", c'est çà àdire quand la moindre faveur en retour lui parait malvenue. Est-ce plus délicat ou plus léger de "l'accompagner" quand le bal d'aujourd'hui n'a plus du tout la même signification qu'antan, où draguer est devenu louche pour ne pas dire pire? il semblerait que l'hypocrisie non seulement n'a plus de bornes mais serve dorénanvant de simple paravent à la puérilité simple. Quand je contemple le désastre de nos milongas, je me rends compte du ridicule dans lequel nous nous noyons sous prétexte de nous bien conduire. Les bonnes maniières n'ont pas besoin d'être ostentatoires.

----- Message d'origine -----
Sans être aussi, ironique, je partage absolument cet avis: le comprtement des danseurs ici est souvent exterêmement cavalier, je n'y vois pas de malveillance, plutôt une résistance bien française aux règles qui seraient dépassées ou je ne sais quoi, alors que les codes du bal tango (prendre le temps de s'inviter par le regard, et donc laisser à la danseuse la possibilité d'exprimer, elle aussi et sans blesser personne, son désir, ses doutes ou son refus ; danser ensemble jusqu'à la fin de ala tenda ; raccomapgner sa danseuse et lui dire merci ; ne pas danser ensemble deux tendas d'affilée) sont essentiels pour dépasser la concurrence par la courtoisie, et donc avoir quelques chances de danser vraiment et non pas d'aligner des pas ou de draguer lourdement...


----- Message d'origine -----
C'est vrai que cela nous plait beaucoup de voir notre cavalier nous lâcher seulement si la danseuse convoitée et bien repérée est elle même libérée, et dans ce cas là il faut courir dans l'urgence vers cette nouvelle proie sans le temps même d'un regard ou d'une parole courtoise ... Bien entendu un raccompagnement serait un obstacle rédhibitoire à cette manoeuvre.... Avant même le raccompagnement, nous préférerions qu'au moins la totalité de la danse jusqu'à la dernière note nous soit consacrée.......

----- Message d'origine -----
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.



 

Kaillra
France
Posté le:
26/5/2007 14:55
Sujet du message:
Jusqu'au portail
Répondre            
 

Si je synthétise, vous ne nous raccompagnez pas à la fin d'une tenda parce que :
Explication masculine :
? ? Guest fait une pirouette
?? Tis est un râleur et trouve que c'est de notre faute
?? Horace, Ah, Horace, il faut qu'il danse avec l'élégante Diane pour échanger quelques pas aussi gracieux que leur vocabulaire.
Franck, lui n'est pas sûr que cela nous plaise !!!!!
Explication féminine :
Kathy pense que vous êtes déjà en embuscade vers une autre proie. A-t-elle tort ?
Anne croit qu'en tant que français, vous êtes définitivement rebelles à toutes règles. A-t-elle tort ?
A la fin de cet échange moyennement productif,
Je n'en sais guère plus. Je garde donc toujours ma petite idée, vous nous lâchez comme une vieille chaussette parce que vous avez une peur bleue qu'on vous colle. A ce propos, rassurez-vous, on aime se blottir dans les bras des grands et des gros et des doux et des puissants et des nerveux et des transpirants et des raffinés et des timides et des Don Juan et des vieux...., donc on vous lâchera, n'ayez crainte.
Mais peut-être ai-je atteint mon but, vous questionner, Messieurs. Au fond, vous êtes des gentils. Alors, pourquoi se comporter dans une milonga comme un bof dans sa voiture et non pas comme un hôte acceuillant qui vous raccompagne doucement jusqu'au portail ? A bientôt






----- Message d'origine -----

Oh que si, je suis bien d'accord avec toi. Mais où tu te fous le doigt dans l'oeil ce n'est pas tant la faute aux mecs mais aux pimbêchettes qui sont toutes excitées que l'ensemble de la piste soit ouverte à leurs exhibitions


----- Message d'origine -----
Oh que si j'ai bien saisi! et puisqu'il faut tout expliquer: le dézastre des milongas, c'est voir des danseurs (parce que je vous le concède: la femme n'y peut rien) danser bien, ça oui! mais sans prêter attention aux autres couples, (je ne vais pas vous faire un dessin tout de même!? ) et en général c'est toujours une autre dame qui prend les coups. Ensuite de quoi, en dehors du bal c'est très facile de faire le galant, le joli coeur ou le politiquement correct ... comment ce fait-il que vous n'ayez pas capté cela??


----- Message d'origine -----

Vous n'avez pas très bien saisi l'affaire, Horace. Oui, nous travaillons, payons notre loyer, conduisons notre voiture de façon indépendante. Mais dans une milonga, de par les codes de base, nous redevenons des petits objets soumis, jeu auquel nous nous prêtons volontiers même si pour cela nous devons dépasser parfois certaines blessures d'amour-propre. Mais si nous acceptons bon gré mal gré le côté macho de ces codes surannés, ce petit détail, dois-je la nommer, qui s'appelle la COURTOISIE, nous comblerait... Baybay
PS C'est koi le dézastre des milongas ?
REPS on vous aime bien quand même, même avec ou sans vos gros sabots
Message d'origine -----
Tout cela est bien joli, mais dans les faits, les codes du bal sont bel et bien surannés, voire même enterrés. Ils ont été à un eépoque bien particulière qui n'a plus rien à voir avec aujourd'hui. Est-ce discourtois de laisser la dame regagner sa place, c'est à dire de "la priver d'escorte", à une époque où elle est émancipée, indépendante et revendique le même statut que les "hommes", c'est çà àdire quand la moindre faveur en retour lui parait malvenue. Est-ce plus délicat ou plus léger de "l'accompagner" quand le bal d'aujourd'hui n'a plus du tout la même signification qu'antan, où draguer est devenu louche pour ne pas dire pire? il semblerait que l'hypocrisie non seulement n'a plus de bornes mais serve dorénanvant de simple paravent à la puérilité simple. Quand je contemple le désastre de nos milongas, je me rends compte du ridicule dans lequel nous nous noyons sous prétexte de nous bien conduire. Les bonnes maniières n'ont pas besoin d'être ostentatoires.

----- Message d'origine -----
Sans être aussi, ironique, je partage absolument cet avis: le comprtement des danseurs ici est souvent exterêmement cavalier, je n'y vois pas de malveillance, plutôt une résistance bien française aux règles qui seraient dépassées ou je ne sais quoi, alors que les codes du bal tango (prendre le temps de s'inviter par le regard, et donc laisser à la danseuse la possibilité d'exprimer, elle aussi et sans blesser personne, son désir, ses doutes ou son refus ; danser ensemble jusqu'à la fin de ala tenda ; raccomapgner sa danseuse et lui dire merci ; ne pas danser ensemble deux tendas d'affilée) sont essentiels pour dépasser la concurrence par la courtoisie, et donc avoir quelques chances de danser vraiment et non pas d'aligner des pas ou de draguer lourdement...


----- Message d'origine -----
C'est vrai que cela nous plait beaucoup de voir notre cavalier nous lâcher seulement si la danseuse convoitée et bien repérée est elle même libérée, et dans ce cas là il faut courir dans l'urgence vers cette nouvelle proie sans le temps même d'un regard ou d'une parole courtoise ... Bien entendu un raccompagnement serait un obstacle rédhibitoire à cette manoeuvre.... Avant même le raccompagnement, nous préférerions qu'au moins la totalité de la danse jusqu'à la dernière note nous soit consacrée.......

----- Message d'origine -----
Vous avez raison, nous devrions vous ramener à votre place. C'est du moins ce qu'on m'a enseigné dans mon école de danse. Mais êtes-vous sûre que cela plaise à Toutes ? En tout cas cela ne se pratique pas beaucoup dans nos Milongas.


----- Message d'origine -----
Siouplait, m'sieurs, terminez votre travail ; on veut bien attendre un bail, être choisies comme sur le foirail, guidées comme du bétail tout en souriant vaille que vaille mais nous serions sensible à un petit détail : ramenez nous doucement vers notre éventail au lieu de nous plantasser au milieu de la pistaille.




 

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