Vous êtes dans la rubrique: Forum

Obtenez 1000 visiteurs rapidement !
Obtenez 1000 visiteurs rapidement !
Outils webmasters Compteur Chat Forum Sondage Découverte Référeur


M'inscrire M'inscrire Me connecter Me connecter Mot de passe oublié Mot de passe oublié Retour au forum Retour au forum



  Pages: 1
Poster un nouveau message Répondre au message
Auteur Message
   Trier par date décroissante
Richard
France
Posté le:
12/10/2006 18:22
Sujet du message:
LE MUR DU NORD S'ECROULE
Répondre            
Email:
juin1832vincent@hotmail.fr
 
La Garenne, le 12 octobre 2006
en la fête aragonaise du pilier de Saragosse
toutes nos meilleures pensées à Pilar Wayne

« LE MUR DU NORD S’ECROULE ! »
Depuis quelques mois des annonces « Hum ! Hum ! » s’engouffrent continûment dans ce forum (« endroit public » d’accord, mais tout de même !) via la brèche ouverte le 20 août dernier à 17 heures.
Devant le peu de réactions (voire !) que cette « intrusion rose » semble avoir suscité chez
le gardien du site (peut être a-t-il lui aussi succombé comme un « autre » dès la première « décharge ») et sur ses afférents on a décidé de réagir ici en tentant de reprendre le cap
de notre chère et héroïque boucherie.
Pour ce faire voici donc un descriptif plan par plan, au caractère un peu « occulte » et
« détaillé » (présente situation et «concurrence» obligent) de la sus-dite boucherie telle que
la Batjac l’a porté à l’écran. Si elle ne suscite aucune critique, rectification (l’erreur est humaine et mon matériel défectueux) ou commentaire, cette pochade (« tableau exécuté
en quelques coups de pinceau ») aura du moins pour un court moment rendu ce site à ses « obsessions » premières ainsi qu’à son caractère « botophobe » et …décent.

CASTING DEL EJERCITO MEXICANO
estimation à partir de la séquence « arrivée de Santa Anna à l’heure du T-bone steack »:
-the big « he-bull » himself
-un « staff » de 8 hommes ( 2 généraux, 2 officiers bleus, 2 officiers rouges et 2 dragons).
-6 dragons «Dolores»* portant drapeaux, encadrés à gauche et à droite par 2 autres dragons.
-une ligne de 10 dragons (2 drapeaux) avec sur la gauche 8 clairons « E. M. » (dolman noir)
-cette ligne est flanquée par deux ailes de quatre files d’environ 7 dragons.
puis de la gauche vers la droite :
-2 files de 20 ( ? ) « Presidiales » (lanciers bleus)
-1 colonne de « Toluca »* (tenues blanches à « distinctives » rouges), 2 drapeaux
-1 convoi d’artillerie estimée (mais pas ici) à 14 ou 16 canons :
2 pièces de « 12 », 12 pièces de « 9 » et 2 pièces courtes de « 6 » ( figurant des obusiers ?)
-1 colonne de «Vera Cruz»* (habits rouges de grenadier à la « Linati »)
-1 colonne de « Zapadores »* (tenue ocre, sombrero à cocarde rouge, buffleteries noires)
-1 convoi d’environ 15 chariots
-1 colonne de « Tres Villas »* ( portant quatre types différents d’habits bleus)
-1 colonne de « San Luis Potosi »* (habit «blanc cassé» à distinctives vertes)
-2 files de 20 ( ?) « Presidiales »
-1 convoi d’environ 15 chariots passant au « Sud » de « San Antonio-Villita »
enfin venant à la rencontre de Santa Ana et conduits par Carlos Arruza :
-10 rangs de 4 lanciers « Tampico »* (costume gris à distinctives vertes)
Il y a quatre files de 25 troupiers environ dans chaque colonne d’infanterie qui aligne donc cinq unités d’une centaine d’hommes
ce qui donnerait : 500 fantassins**
200 cavaliers : 80 dragons (« Dolores »)
120 lanciers ( 80 « Presidiales » et 40 « Tampico » )
80 artilleurs
70 divers ( officiers, musiciens et 30 carreteros )
Soit, sous toutes les « réserves » possibles, environ 850 hommes, Santa Anna compris.

*Tous les «noms» que portent ici les «unités» sont piochés dans ceux donnés par le script
du Waynamo (Vera Cruz), Potter (Tres Villas et Tampico) et l’ordre de bataille du 5 mars.
Pour être « complet » on conviendra que les bataillons Matamoros, Jimenes et Aldama sont « compris » dans les Tres-Villas puisque chez les « mousquetaires » ( « las tres villas eran quatro » ) de cette unité « bleue » on peut distinguer quatre tenues différentes.
Il manque seulement à l’appel le «Regular Allende» qui est cité par le seul et «controversé» de La Pena et qu’on peut à la rigueur entre-apercevoir dans les quatre extras en tenue de milice active «composée» aux plans (99) et (100).
**Si on admet que ces 500 extras figurent aux quatre fronts d’attaque du Waynamo-set
lors de l’assaut final on peut y voir les 2.000 fantassins présents à Bexar début mars 1836
. les 1500 mobilisés pour l’assaut
. les 500 « racailles » et « bleusailles » restées au camp selon Walter Lord.
-Plus « précis historiquement » seraient les chiffres :
.1715 dans les colonnes d’attaque (presque le «1718» qui est l’année de naissance d’Alamo)
. 185 dispensés comme «inaptes» (recrues) ou «peu sûrs» (soldats des sections disciplinaires).
Quant au 290 cavaliers (qui sont en fait, peut être, 310 sur le plateau) ils correspondent (mais en trois unités différentes) aux quelques 300 dragons du régiment Dolores.
L’artillerie seule est systématiquement hypertrophiée avec sa quinzaine de pièces à l’Alamo-village (moins d’une dizaine à l’Alamo tout court) et qui à l’écran en matérialisent le triple :
.la batterie de la Villita-San Antonio qui effondrera le bureau de Travis
.celle légèrement fantomatique du «Nord-est» qui « brèchera » le mur « Nord »
.et la batterie de la colline de la poudrière qui ouvrira le bal.

CASTING OF THE ALAMO
évalué d’après la séquence « 3 mars » juste avant les « pertes »
-chapelle : 7 hommes + Travis
-palissade : 25 h. en première ligne, 14 h. en seconde, 15 h. aux gunnades + Crockett
-low barracks : 11 h. + 11h. +15 h. + 6 artilleurs + Bowie et 7 h. dans la « cour » avec Jethro
-front « Ouest » : 7 h. à la barbette du « 18», 18 h. à la plate-forme « Parson »,
6 h. + 3 h. + 2 h. au-dessus du quartier « Crockett »
15 h. + 15 autres supposés sur le toit du long bâtiment « Ouest »
-front « Nord » : 5 h. à la barbette «Condelle» + Dickinson , 2 h. au « fronton-poterne »
7 h. sur l’estrade «Astérix» et 6 h. à la barbette «Teran»
14 défenseurs environ sur les toits des bungalows indiens
-« Grandes Casernes » : 7 h. sur l’ « atelier two-stories »,
10 h. sur l’« hôpital one-storie » (+ Seguin le 6 mars)
10 h. sur le bureau Travis
-5 artilleurs au tumulus « Dimmitt » au milieu de la Plazza, et 6 défenseurs à califourchon
sur le mur de la cour du couvent
Soit : 233 h., ce qui, avec disons 24 patients pour garnir « historiquement » l’hôpital,
donnerait les 257 défenseurs décomptés par José Juan Sanchez Navarro.

-Dans le Waynamo-set on compte 24 positions d’artillerie où apparaît, à un moment ou à
un autre, un canon ce qui confirmerait les dires de Travis à Crockett lors de la visite du fort..
En fait il semble qu’il n’y aient sur le plateau que 14 pièces (ce qui est d’ailleurs le nombre de canons donné par l’historien Potter) qui pour la plupart sont à rôle multiple et à savoir :
-2 « galopin-guns » sur affûts de « marine » et munis de visses de tourillons, d’où leur nom.
Il s’agit des deux pièces qui flanquent la porte-cochère placées sur le toit des Low-barracks,
le « Dennison » à l’« Est » et le « Bob » à l’« Ouest », référence à leur colocataire respectif
également « vissés » lors de l’arrivée des Tennesséens. On retrouvent ces deux pièces à la batterie du milieu de la Plazza où ils participent de la batterie « 3 »
-3 mortiers composant la batterie « 3 » avec les galopins, 2 gunnades et la pièce du tumulus
-2 « vieux espagnols » sur affût de « marine » que l’on voit dans la dernière peinture du générique et auxquels le pasteur apporte deux seaux d’eau lors de l’attaque du 3 mars, d’où
le nom d’«estrade Parson» qu’on donne ici à leur emplacement.
-3 pièces dites de « 6 pdr » si on suit Travis qui dit en avoir cinq.
Elles sont montées sur affût de campagne et on les trouve
.dans le rôle du 18 à l’angle Sud-ouest
.dans celui de la « caronade » de l’Ouest ( le « looping-gun » )
.dans celui de l’« historique » canon « Bonham » à l’angle Sud-ouest de la chapelle
.et dans celui des trois pièces de 8 de la batterie « Nord » (un à « Condelle », deux à « Terran »)
qui dans le Waynamo est la « batterie 4 » placée sous le commandement de Dickinson.
A ces 6 avatars il faut rajouter celui de la pièce du monticule-tumulus portant le «Dimmitt flag» ou « 1824 », canon qui dans le Waynamo joue le rôle de la pièce « Bonham ».
-3 gunnades à la palissade-area (peut être la « batterie 2 » jamais mentionnée) qui font aussi de
la figuration à la « Pizzeria-hutte » et au « Tagada-Starbuck » ( l’abreuvoir du corral ) dans la partie « Nord » de la Plazza.
-finalement, et la plus effacée de toutes (je n’ai pris conscience de son existence que grâce à la fabuleuse maquette de Kenn Pruitt, d’où son appellation ici de Kenny-gun), une petite pièce sur affût de «marine» qui s’est lovée sous les branches de la falling-cross au fronton de la chapelle où il compose avec le « Bonham » (« première pièce ») la « batterie 1 ».

GANCHO CIUDAD THROUGHT THE LOOKING POUND
« LE CLOS DU CROC* PAR LE MIROIR DE MARE »
( BRACKET(T)-VILLE signifiant « CROC-CITY» )
« THE ALAMO 34 / 36 »
Séquences des « chapitres » 34, 35, 36 du DVD 297 / VISA 023902
version courte « 18 / 16 »

N.B. : « Est »: orientation à San Antonio, à Brackettville topographiquement c’est l’Ouest
-La reconstitution de l’Alamo, à Brackettville, a été réalisée tête-bêche, le « Sud » au Nord
et le « Nord » au Sud. Le Waynamo est véritablement, en ce sens, un reflet de l’Alamo, et
reflet pourquoi pas « par » la surface miroir du pound de l’acequia lequel au Nord-est de l’Alamo historique à gardé à Brackettville un positionnement identique (donc fautif dans le contexte de la reconstitution ), au Nord-est du Waynamo.
Tout cela peut « donner » des choses amusantes et « significatives » comme par exemple
le signe d’une récupération par le Républicain (donc Nordiste) Wayne de la cause Démocrate Sudiste, où des télescopages complexes.
Ainsi quand Bowie, lors de l’assaut du 3 mars, envoie « au mur Nord », les hommes qu’il a été cherchés auprès de Dickinson, il dit topographiquement vrai, bien que le mur en question, effectivement situé au Nord du Waynamo, représente le mur « Sud » de l’Alamo historique.
Par contre lorsque Bob va annoncer à Crockett, d’un « North wall » expirant, l’intrusion des Mexicains par le côté où vient de tomber Travis, il « n’est » qu’historiquement correct puisque le dit mur est reconstitué à Brackettville au Sud du Waynamo.
Ce qui interpelle ici c’est le choc des deux propositions, correctes chacune à sa manière,
dans un dialogue qui en devient (voulu ou non) incohérent à moins qu’il soit zozotérique.

-Les rappels de plan sont entre parenthèses. Ainsi l’indication « -26 (16) » signale qu’au plan
26 on reprend le même cadrage, ou à peu près, qu’au plan 16.

1- crépuscule à Alamo Village pour « dernier matin » à l’Alamo.
( « Kenny-gun » repérable sous la « falling-cross » du fronton de la chapelle)
2- front « Nord »: 7 hommes sur la plate-forme « Astérix » des irréductibles Texans,
6 hommes « verrouillés » dans « Teran »
3 hommes sur toit du baraquement indien du « Nord-est »
3- baraquement indien du mur « Nord-est » : les 3 hommes de (2) ont disparu remplacés par
un Tennessien qui, au son des mexicains tambours, fait signe à un défenseur que l’on aperçoit furtivement « entre » deux pieux de la barbette « Teran »
4- Bull, Chuck, « It do » et 6 autres Tennessiens se précipitent dans la barbette « Teran » subitement en accès libre et dont les 6 précédents occupants sont désormais aux abonnés absents. Chuck désigne du doigt à « It do » ce qui pourrait bien dire ce qu’il croit.
5- « Salut oh mon dernier matin ! » : Jocko et 4 hommes autour du canon de « Condelle ».
A noter d’abord le judicieux pointage de la pièce prête à décaniller en enfilade toute la défense texane du mur «Nord». Où est passée la script-girl ?
A noter ensuite que ce même «plan» a déjà figuré sous un autre angle (on n’y voyait alors
que le « 6 pdr. », Jocko, le Tejanos et l’écouvillonneur) à la fin de la séquence « évacuation des non-combattants » qui précédait l’« assaut du 3 mars ». Antérieure incongruité qui montrait Jocko saluant au «Nord» et vers l’«Est» sa famille s’en allant au plein « Sud », et incongruité qui participe là encore à la saga de l’inversion des orients au Waynamo.
A noter enfin que c’est la seule apparition, « à » deux moments différents (3 mars et 6 mars), de Jocko au mur « Nord », son poste de combat étant plutôt au « Sud » et en ce matin du 6 mars à la barbette du « 18 » ce que l’on pourra constater dès (19).
Ce plan «mosaïque» (dans tous les sens du terme) a de fait un double caractère «prophétique».
-D’abord celui du personnage dont Jocko est presque certainement l’adaptation-waynamo. Ainsi positionné Jocko salue (peut être ne fait-il que protéger ses yeux) donc, vers l’Ouest,
le soleil « levant » du plan (1), autrement dit les deux orients l’ « Ancien » et le « Nouveau » (cf. le sermon Robertson lors de la « veillée d’armes ») :
.celui de la survie (ancien mode) de son modèle historique, Louis Rose dit « Moïse »
.celui du destin (nouveau mode) que lui assigne le script : Moïse restant sur le Nebo.
-Ensuite ce salut semble prophétiser l’« apocalypse » de l’ouverture des brèches :
.celle du mur «Nord », cf. plan (115), si on accepte ici sa présence à «Condelle», brèche qui entraînera la mise en batterie du canon de la barbette telle qu’on la voit ici par anticipation.
.celle du quartier Crockett, cf. plan (142), si on se réfère au poste «réellement » tenu par Jocko
à la barbette du « 18 », brèche près de laquelle on apercevra d’ailleurs son héroïque dépouille lors du départ du trio Dickinson.
Soit en ce plan complexe : deux saluts aux intrusions mexicaines, d’abord au « Nord-ouest », ensuite au « Sud-ouest », et deux adieux, en deux dates différentes, aux deux familles sortantes : les Robertson, « avant » (3 mars), les Dickinson, « après » (6 mars).
6- barbette « Condelle » : Travis a remplacé le « prophétique » Jocko.
Il est couvé du regard par son bourrou-fierra («clairon» en Bambara)
Derrière eux le canonnier Skully qui s’apprête à lancer la mode du bandana.
Ce plan aurait dû logiquement prendre place après (26).
7- Crockett, lui aussi «par anticipation», arrive à son poste de la palissade, entre « Bou » et « Bee ». En deuxième ligne, les « Dupond-Dupont » revenus de « Teran » (cf. (4)), tout comme Bull qu’on voit sur la droite. Derrière eux au serre-frein est le fidèle Jethro.
Ce plan aurait dû normalement prendre place après (2Cool.
Ca galéje pas mal sur les fronts « Nord » (avec et sans guillemets). Selon la lecture que l’on fait du plan (1), la script soit dort encore comme un loir, soit s’est couchée comme poule.
8- neuf tambours «Etat-major» avancent sur le flanc droit d’une compagnie « Toluca » en rangs par quatre. Apparemment ils vont vers le «Nord», vers le Q.G. de toile de Santa Anna, le front «Ouest» de fort Ybarra étant sur leur droite.
9- douze tambours «Vera-Cruz», en rang par quatre, se dirigent également vers le « Nord » sur le flanc gauche de leur unité. On est au pied de la hauteurs de la poudrière, le front « Est » de fort Banico (« pisé » en Bambara) étant sur la gauche des « Vera-Cruz ».
10- les 9 tambours de (Cool précédent des «Vera-Cruz», en rangs par quatre, marchant vers
le Q.G. mexicain. On aperçoit le banner-set des «Toluca» lequel semble suivre le standard
des unités nord-américaines : l’enseigne de l’unité et le battle-flag national.
Ce dernier est remplacé ici par les trois couleurs des Trois Garanties de 1824.
Y aurait-il là subtilité idéologique ?
11- treize ou quatorze tambours « bleus » (wings rouges ou bleus) encadrant un banner-set.
Le nom de Matamoros est peut être inscrit sur le drapeau régimentaire.
Ils ouvrent la marche d’une unité « Tres Villas » déployée sur deux rangs et qui semble s’engager dans le « couloir » entre le mur « Est » et les hauteur de la poudrière.
Derrière eux s’avance une ligne de « Tampico ».
12- quatre « Toluca » avec deux drapeaux précèdent une ligne de deux groupes de huit tambours « bleus » (un officier est sur leur droite cf. (4Cool) précédant eux-mêmes un double rang de « Toluca ». La ligne fait conversion à droite comme pour se ranger face à la hauteur du vieux moulin. Derrière, sur la crête « Nord » (la vue est prise vers le Sud, face au soleil), des dragons en colonne par deux se dirigent vers la droite, vers l’« Est » et la hauteur de la poudrière. Au pied du repli de terrain se trouve une ligne de « Tampico ».
13- au fond l’éminence des « jumelles Sud-est » (figurant peut être les hauteurs d’Alazan ).
Au premier plans deux files de « Vera-Cruz » font marche vers le « Sud ».
Derrière, flag-set en tête, deux autres files « Tres Villas » se dirigent vers le « Nord ».
Au troisième plan, en position, une unité de dragons sur la gauche (drapeaux à droite), puis à leur gauche des « Toluca » sur deux rangs, drapeaux au centre, puis au loin des « San Luis » encore sur deux rangs devant une unité de cavalerie qui forme l’aile gauche de tout ce corps de troupes. Au fond une trentaine de chariots se dirigent vers le « Sud-ouest ».
14- aile gauche des « Toluca » du (12). De 8 les tambours « bleus » de droite sont passés à 9.
Ils continuent leur conversion « à droite ». Derrière eux, environ 70 « Tres Villas » (drapeau unique sur leur droite) font conversion « à gauche », un officier sur leur droite contrôle l’alignement. Au troisième plan une unité de « Vera-Cruz », drapeau à gauche, puis une de « Zapadores » avec à sa gauche des « San Luis », sont déjà en position sur deux rangs..
Derrière, sur le versant où la tête de colonne des dragons de (12) file toujours vers la droite, une demi-douzaine de canons attelés à leur caisson « montent » la pente. Ils ont presque atteint l’extrémité « Nord » de la position où doit être établie la batterie (22).
Les « Tampico » (12), avec deux drapeaux, sont toujours en position au pied de la hauteur,
sur la droite de la colonne d’infanterie qui fait face à la colline du vieux moulin..
15- une ligne de 15 dragons précède deux rangs de « Présidiales » (2 drapeaux).
Ils semblent marcher sur les pas de la colonne (8 / 10), vers le Q.G. Santa Anna.
16- toit des «lows barracks» : Flinn, Dickinson, Travis, Crockett et deux rangs de défenseurs. Double rang également (de 20 h. environ) à la palissades-area qu’on voit en contre-bas.
Il n’y a décidément pas de crise d’effectifs pour tenir le périmètre de défense au Waynamo.
« Dans la plaine » vers le « Sud-est », les troupes de la colonne (13) « backées »
par une unité de dragons sur leur arrière droit, une de « Presidiales » ( ?) et une de « San Luis » ( ?) sur leur arrière gauche.
17- palissades-area : 25 h. en première ligne, parmi eux Bull, monsieur Denisson et, encadrés par les « Dupond-Dupont », Chill Will, Bowie et Gambler.
Que peut bien raconter Bowie à Gambler ?
De l’autre côté, derrière ses deux drapeaux, l’unité « Vera-Cruz » (13), une centaine d’hommes, poursuit sa progression vers le « Sud » et les chariots itou.
18- devant le « village », une dizaine de canons en position. Derrière sont une unité de « Tres Villas » et une de « Zapadores ». Toutes les deux déployées s’avancent vers le mur « Sud ».
Derrière eux deux files de « Toluca » venues de l’« Est » prennent position.
En troisième ligne une file de cavalerie, venue de l’«Ouest» s’arrête et fait conversion au «Sud» sur une ligne, tandis que, derrière, passe une autre file de cavaliers en direction de l’ «Ouest». A l’extrême droite sont des chariots à l’arrêt.
19- toit des « lows-barracks » côté « Sud »: un seul rang de 9 défenseurs et 3 artilleurs au « Bob-gun », plus loin à l’angle « Sud-ouest » Jocko évalue l’étendue du « problème ».
Avec lui se trouvent deux artilleurs (team « casquette » les trois autres hors champ) et deux défenseurs. Il y a 10 hommes à la batterie « Parson », et deux autres sur le toit du « sautoir » du même nom (cagna gauche du campement Crockett, voir « assaut du 3 mars ») lequel a
été remis en « conformité ».
« Dans la plaine » la bretelle « Ouest / Est » bordant le « pound » et qui relie le périphérique Waynamo au super-périphérique passant par les hauteur « Nord » et « Est ».
Sur le périphérique, à gauche de la bretelle, une unité déployée de « Zapadores », unité
qu’on appellera désormais les « Précoces » (voir en (42) pourquoi ) s’avance vers le mur « Ouest ». Plus loin sont des « Vera Cruz », peut être ceux de (10). A droite de la bretelle
une unité de « San Luis » devant des « Tres Villas » se dirigent, comme les « Précoces »
vers le mur « Ouest ».
Derrière eux (mais passant devant les « Vera Cruz ») une batterie de 12 canons (le dernier restant en rade) se dirige vers le « Nord ».
On aperçoit le Q.G. « de toile » de Santa Anna encadré par des cavaliers (14 à gauche et
7 à droite) en position sur le super-périphérique lequel « encagé » vers la droite par deux lignes d’une cinquantaine de cavaliers. D’autres cavaliers sont à l’arrière droit du Q.G..
Sur la colline du vieux moulin présence d’un convoi arrêté d’une vingtaine de chariots. Derrière lui se trouve ce qui pourrait passer pour quelques tentes.
20- au premier plan, sous le Dimitt’s flag, la batterie du « Tumulus », 5 artilleurs (team « red rover » ainsi nommé à cause du canonnier à chemise rouge qui servait précédemment le «Bob-gun» sur les low-barracks ). Sur la partie médiane du front « Ouest » deux hommes sur le mur du Buffalo-Grill et deux sur la cagna « Nord » du quartier Crockett. Plus au Sud trois hommes juchés sur trois échelles, puis 5 autres aux « Planches », enfin 13 sur le toit des bâtiment « Ouest ».
« Dans la plaine » le dernier canon de la colonne d’artillerie (19) est toujours en panne sèche.
Le drapeau du Q.G. de monsieur Padilla semble « répondre » au « 1824 » du Waynamo.
N.B. ici « s’achève inachevé » le tour d’horizon commencé au (17).
21- retour secteur (16) : la colonne « Vera Cruz » (13) poursuit toujours sa progression.
Plus loin les chariots font toujours du sur-place « mouvant ».
22- sur les toits du «one story» des Grandes casernes : Seguin et 5 hommes.
Devant eux on aperçoit le toit des bathrooms ( c’est à dire les toilettes mêmes du plateau
de l’Alamo-set, lesquelles sont d’ailleurs fort historiquement situées) et la pile «Nord»
du portail de la cour du couvent.
Sur la colline de la poudrière la batterie (14) est en position sur le super-périphérique.
23- colline de la poudrière: derrière une ligne de broussailles courre le périphérique derrière lequel se trouve la douzaine de canons (14 / 22) en batterie puis 4 unités en trois lignes.
D’abord à gauche les « San Luis Potosi » et à droite les « Zapadores », puis les « Toluca »
et enfin les « Vera Cruz ». Toutes ces unités sont déployées sur deux rangs.
Derrière, une soixantaine de dragons (ceux de 12 / 14 qui rebroussent chemin ?) se dirigent lentement vers le « Nord » ( si ce sont bien ceux du (12 / 14 ) les chevaux, effectivement, doivent en avoir ras les paturons). Sur la crête une ligne d’environ 100 «lanciers» monte la garde ( peut être on trouve ici rassemblés l’ensemble des extra «Tampico-Presidiales» ).
24- secteur (16) : la tête des « Vera-Cruz » fait halte. Pour les chariots c’est moins sûr.
25- Q. G. de toile de Santa Anna : le généralissime est sur son « cheval blanc ».
Son beau-frère ( ?) vient de monter sur celui que lui a maintenu un dragon, à pied et obligeant.
Devant la tente principale (deux plantons « Toluca » sous l’auvent de part et d’autre de la « table de maître ») disposée sur deux rangs se trouve la garde « Toluca » du généralissime dont le drapeau « general en jeffe » salue, contrairement à celui des « Trois Garanties » qui reste dressé (y a t il une intention « cachée » ?).
En arrière de la garde, 6 tambours présentent les baguettes. Ce ne sont donc pas eux qui relaient pour le « Deguello » le roulement de tambour qui a accompagné la mise en position des troupes et que semble avoir justement suspendu les tambours « Tres Villas » qu’on voit sur l’écran. Peut être, hors champ, sont ce les tambours « Etat Major » du (8 / 10) enfin parvenus au Q.G. qui embrayent maintenant sur le « Thiomkin ».
N. B. : Les « Toluca » de (8 / 10), à en croire la façon dont ils tenaient leur fusil, n’avaient point l’air d’aller prendre une « faction-planton ». Ils ont dû aller s’aligner en (32).
Santa Anna, avec « Cos », se dirige vers la colline du vieux moulin située plus au « Nord ».
Ils sont suivis de 3 généraux, 3 officiers « bicornés » ( 2 rouges et 1 bleu), 6 drapeaux (représentant ici les 6 unités historiques de l’assaut ?) et pour finir, en quatre rangs de « 4 cuivres », de 16 musiciens d’« Etat Major » à cheval qui viennent d’« attaquer » le « Thiomkin ». Derrière la cavalcade on aperçoit des «Vera Cruz» à gauche, des «Zapadores» à droite, et plus loin le complément des extras, le tout figurant peut être les réserves du corps de bataille placé ici au Nord / Nord-est du compound, donc « historiquement » situées.
26- secteur (16) : Travis envoie « aux pelotes », lui compris, les « gentlemen » in charge.
(le boiteux « I’Claudius », mon préféré côté texan, est au premier rang,).
Derrière Travis on voit les « Vera Cruz », maintenant en position, qui rectifient leur alignement avant de faire conversion face au front « Sud ».
Au fond les chariots avancent toujours en « sur-place ».
Plus loin, derrière les « San Luis », l’unité de cavalerie fait mouvement sur sa droite.
27- la théorie « Santa Anna » aborde la pente de la colline du vieux moulin, passant devant
les réserves. Les « Vera Cruz » de la première ligne sont flanqués par les « Zapadores ».
Plus loin les « San Luis » et les « Tres Villas » et encore plus loin la cavalerie.
Martin Cos est maintenant rentré dans le rang laissant seul, devant, son beau-frère Antonio
dont le cheval blanc a le crin écourté mais n’a pas « la queue basse ».
Il y a désormais un deuxième officier bleu et les cuivres se sont augmentés d’un cinquième rang dont apparaît un tuba « de droite », en grève syndicale ou technique.
28- secteur (17) : Marion Morrison arrive à la palissade. Au loin la colonne des chariots n’en finit toujours pas de se diriger vers le « Sud-ouest ».
29- colline du vieux moulin : la théorie Santa Anna continue de gravir la crête.
La fanfare aligne maintenant en pleine vue l’ensemble de sa vingtaine de cuivres.
Au dernier rang le tuba de droite apparu en (27) est toujours en stand by.
Au premier plan une autre garde d’honneur « Toluca », sur quatre rangs, présente les armes.
30- barbette « Condelle »: Travis se découvre et tend son chapeau à son bourrou-fierra qui lui remet « en échange » une lunette télescopique que le Carolinien déploie.
Le canonnier Skully a déjà converti ses 4 collègues au port du bandana.
Dickinson se démarque en nouant le sien autour de la gorge (symbole ?) tout en considérant d’un regard critique ce poseur de Travis « tenir son personnage ».
Pas fashion et fort « reluctant » le Dick.
Le fronton de la « poterne » est intact et il y a 6 guerriers sur l’Astérix.
On distingue très bien la saignée de l’acequia d’Alamo allant vers le périphérique « Nord ».
Au fond, sur le « super » la batterie de la colline de la poudrière que soutient une ligne ténue de « San Luis », cf. (41). Sur la gauche derrière les pièces sont une quarantaine de «Tampico» et sur la droite, étagés sur la pente, des « Zapadores », puis des « Toluca », puis des « Vera Cruz ». Sur la crête il y a une centaine de lanciers (ça nous en ferait donc 20 en trop) et sur leur gauche la tête de colonne des indécis dragons (23) qui, semblant finalement avoir trouvé position à leurs « sabots », s’arrêtent pour faire conversion « à gauche ».
La fanfare aussi s’arrête, mais non point les tambours.
31- colline du vieux moulin : la cavalcade elle aussi s’est arrêtée. Elle regarde vers l’Alamo.
Santa Anna devant, puis les 4 généraux, puis les 4 officiers, puis la fanfare en stand by
qui aligne de nouveau 16 musiciens. Le tuba « de droite » a dû en débaucher trois autres.
32- vue générale depuis le secteur du Q.G. : au fond on distingue la colline de la poudrière couronnée par un rang de cavalerie et sur sa pente ce qui semble être la batterie (14 / 22).
A part « ça », y’a plus rien sur les pentes.
L’Alamo au centre, in full view. Le bâtiment « Travis », cadré derrière le centre du mur « Ouest » doublement ébréché, fait la « tête de hibou ».
Face au mur « Ouest », en avant du super-périphérique, courre une ligne ténue de dragons.
A part la quarantaine de « Précoces » on ne voit plus d’unités sur le périphérique (cf. 19))
Derrière le périphérique encore une ligne de dragons qui ne semble pas s’étendre au-delà de
la bretelle de raccordement. Il est possible de distinguer 2 ou 3 canons attelés sur l’arrière de la dite ligne. Plus proches il y a des «Tres Villas» et, à leur droite, la garde « Toluca » de (25). A droite du Trigano présidentiel, il y a d’autres « Toluca » (ceux de (8 / 10) ?).
Encore plus proches deux rangs de 30 « Zapadores » (avec les 40 « Précoces » ça fait
le compte) et sur leur droite un canon attelé ( peut être celui en rade de (19 / 20) ).
Au premier plan trois rangs d’infanterie bleue « Tres Villas » font face à l’Alamo:
un rang d’habits « bleu-clair », suivi d’un autre à wings rouges (stock « Last Command » ?), en avant d’un troisième « bleu-violet » à wings ourlées.
Au « Sud » d’Alamo on distingue deux ou trois lignes de cavalerie, et derrière la chapelle l’unité des dragons (en restent-t-ils en stock ?) de (13 / 16).
33- palissade : Bowie et les vedettes du Tennessee-band. Les tambours viennent de se taire
ce qui provoque chez Chuck une immédiate « question ».
Sur «It do» aussi. Il en a même failli parler le premier pour une fois !
34- secteur « jacales et arcades », à la jonction des fronts d’attaque « Sud » et « Ouest » :
derrière leurs deux drapeaux et armes au pied, deux rangs de « San Luis Potosi ».
Derrière eux des «Tres Villas »», puis des «Zapadores», puis des « Toluca ».
Au cinquième rang on trouve des dragons à gauche et des lanciers à droite.
Plus loin des « Vera Cruz », puis encore des lanciers.
Toutes les « compagnies » d’infanterie sont sur deux rangs, toutes celles de cavalerie sur un, et tout le plan un avatar de la séquence « sortie des non-combattants » du « 3 mars ».
35- versant « Sud » de la colline « Nord » (au milieu on voit une dépression caractéristique):
au premier plan (en potence par rapport au front « Nord » ), et derrière leurs deux drapeaux, les deux rangs des « Toluca » du (12), arme au pied, regardent en direction de la hauteur
du vieux moulin, c’est à dire vers Santa Anna. Les tambours « bleus » qui les précédaient
se sont rangés sur leur gauche devant deux lignes de «Tres Villas» (un seul drapeau) c’est
à dire devant leur unité propre.
N. B. : les Milices Actives du Waynamo, bien qu’elles fournissent la garde d’honneur (emblématiquement « look-péon ») du Presidente en personne, n’ont apparemment pas
les moyens de s’offrir de batterie propre ( métaphore pour des sous-développés ?).
Sur la pente, derrière les « Tres Villas », qui sont à gauche d’une unité de « Tampico », deux lignes de « Vera Cruz », à droite desquelles sont les « San Luis ». En arrière de ces unités une ligne de dragons courre tout le long du super-périphérique.
Sur la crête, à droite, 70 « Presidiales ».
36- semble-t-il même endroit que (35) mais plus à gauche :
unité « bleue » au garde à vous sur le front d’attaque « Nord » ( ?) avec au premier plan quatre drapeaux : un tricolore des « Trois Garanties »
un « general en jeffe » ( allusion à Santa Anna ? )
un « ? caballeria » ( allusion au « toque de caballeria Deguello » ? )
un « Tres Villas » ( allusion au « deguello » de Goliad ? )
Tout cela est bien confus !
Derrière ces bannières le double rang de « Tres Villas » est disposé en 2 sections.
Plus loin, sur la gauche, des « Tampico », en avant d’eux des « Toluca » et quatre drapeaux (donc normalement présence d’une autre unité) et aussi des tambours « bleus ».
A droite deux rangs de « Vera Cruz » suivis de deux rangs de « Milice ». Ces troupes semblent elles aussi être disposées en deux sections. Entre elles et les « Tres Villas » du premier plan, derrière un unique drapeau, d’autres « bleus » en potence.
Tout cela est bien compliqué !
Sur la pente, plus loin, des canons encore attelés (ceux de (14) ?), peut être « dans le script » ceux de la colonne (19 / 20) qui attendent que les troupes aient avancé pour venir se mettre
en batterie sur le « super » au (56), avant que de gagner le pied de la colline face au mur
« Nord » en (114) pour y ouvrir la brèche (115).
Tout cela est bien aléatoire !
37- plan (33) : Chuck se donne « réponse » à son orale surprise. « It do » là encore a remué
les lèvres mais décidément, comme la nymphe Echo, il ne peut rien prononcer le premier.
38- plan (31) : cavalcade « Santa Anna »
39-plan (32) : vue générale vers l’« Est ».
40- Ruben-Antonio, d’un geste sec et romain, donne le signal de l’ouverture du bal.
41- secteur (23) colline de la poudrière : « gardiennée » maintenant par une ligne de «Toluca» (cf. (30)) la batterie de 14 pièces* (et qui a de bons yeux) réceptionne le signal et ouvre le feu,
de façon crédible pour une fois et pas pièce après pièce comme pour les deux futures bordées.
(*de droite à gauche : un «12» long , quatre « 9 », un « 4 » court
un «12» long, un « 4 » court, six « 9 ».
Derrière sont deux lignes de « Zapadores », deux lignes de « Toluca » et, en haut de la colline,
deux lignes de «Vera Cruz». Sur la droite de ces troupes se trouvent des « lanciers ». Plus loin sur la droite «a gap», puis, au loin, sur un repli vers le « Nord-Oues t» d’autres troupes.
42- plan (32) : panaches de fumée dans l’Alamo (vers le tumulus et au fronton de la chapelle). Sans plus attendre les « Précoces », au loin sur la droite, se lancent à l’attaque.
43- neuf clairons d’« Etat Major » lancent les onze première notes de l’attaque.
44- officier « Tres Villas » : « A l’attaqua ! » (dans la v.f., quoique j’en sois plus très sûr)
(c’est ici qu’on s’aperçoit le mieux du mixage des tenues « bleues » dans le Waynamo)
45- officier « Zapadores » : « A la carga ! » (coupé dans la version courte)
46- officier « Vera-Cruz » : « Adelante ! »
47- officier « Toluca » (c’est mon préféré côté mexicain) : « Adelante ! »
48- secteur (23) : deux lignes de « Zapadores » ont traversé la batterie de la poudrière.
Les A.D.S. « Toluca » de (41) ont dû les précéder. Derrière les « Zapadores » s’avancent les « Toluca » suivis des « Vera-Cruz », suivis à leur tour par deux rangs de 15 tambours bleus menés par un officier qui a sabre levé, cf. (12). Plus haut sur la colline les incorrigibles dragons (23 / 30) ont de nouveau la bougeotte et reprennent une progression vers le « Nord », bloquant ainsi du même coup la ligne « Tres Villas » qui couronne la crête.
49- secteur (16) : la ligne des « Vera-Cruz » s’avance. Leurs « premiers pas », filmés sous un autre angle plus proche, ont déjà figuré dans la séquence « assaut du 3 mars », juste après la sonnerie des six « cornettes ». Puis très vite le premier rang met genou à terre et fait feu, répondant à un ordre crié en espagnol. Du coup le Dennison-gun en fait de même.
« I Claudius » est au quatrième rang.
Au loin la colonne de chariots semble avoir finalement renoncé à son avance « Sud Ouest ».
50- secteur (1Cool : les deux dummies sont en place. Celui de l’« Ouest » a remplacé mon préféré « Claudius » et son voisin de droite.
On compte 14 canons à la batterie de la Villita. Elle vient d’être dépassée par deux rangs de 50 «Tres Villas» à la face desquels éclatent les « impacts » du tir «Dennison» (49) puis de celui du «Bob».
Derrière la batterie deux rangs de « Toluca » sur la gauche et 2 rangs de « Zapadores » sur
la droite. Plus loin, en quinconce, trois lignes de cavalerie.
Il semble que l’assaut du « 3 mars » ait eu des conséquence répulsive sur la concentration
des troupes d’assaut sur le front d’attaque « Sud », d’où peut être la position en potence,
ou refusée, de la colonne mexicaine au « Sud-est » de la chapelle.
51- barbette « Sud-ouest » : Jocko fait feu en même temps que le « 18 » lequel est servi par les cinq artilleurs du « casquette-team ». Le boute-feu, qui s’est mis au bandana, aidé de Jocko
et de trois de ses collègues, remet la pièce en batterie (normalement c’est trop tôt) tandis que le cinquième servant trempe et tourne son écouvillon dans le baquet.
Au premier plan un très élégant tireur, très propre sur lui et « veste-daim », pose une ultime cerise sur la magnifique volée de la barbette.
52- les deux dummies* en prennent plein la paillasse derrière un Flinn qui, dos au désastre,
arrive à rester à peu près imperturbable.
(*celui de gauche a été bousculé par son extra-voisin. Pour lui donner un coup de «vrai»?)
53- plan (51) : en « retour de cerise » la position du « 18 » se choppe une grosse prune.
54- plan (20) : le « 6 pdr » du tumulus, toujours servi par l’équipe « red-rover » ouvre le feu
sans recul comme c’est toujours le cas quand la pièce est vue «en pied» à l’écran, cf (5Cool.
A cela une exception : les canons de la barbette Teran (cf. 66), qui quand ils tirent ne hoquettent pas mais « vomissent ».
Un impact éclate de l’autre côté du mur « Ouest ». Soit le projectile du tumulus aura eu
une forte déviance droitière, soit le canon mexicain en rade au Q.G. est devenu opérationnel.
Sur le tumulus l’écouvillonneur trempe son instrument.
N. B. : Le service des canons est en règle général assez crédible dans le Waynamo.
C’est une toute autre histoire en ce qui concerne le « devenir » des projectiles
55- vue générale des toits des bâtiments encadrant la cour de la chapelle.
Les 5 servants de la pièce « number one » la remettent en batterie. Le Kinny semble avoir été démonté (par l’impact du (42) ?). Le fronton de l’entrée des Low-barracks est intact malgré l’impact du (52).
Difficile d’« encaisser » le caractère farfelu des postes de tir des 6 ou 7 types qui se sont juchés sur le mur du couvent.
Où donc est passé Flinn ? Un tir du Bob-gun masque la scène avant qu’on puisse répondre à l’angoissante question mais qu’un simple retour en arrière permet d’élucider :
le truculent irlandais est le premier à se baisser (pour recharger ?),
derrière le fronton scandaleusement intact.
56- versant colline au « Nord » ( ?) dans le prolongement de celle de la poudrière.
Une batterie (celle de (19 / 20 / 36) ?) est plus ou moins sur le « super ».
Devant elle se trouve deux lignes de « San Luis » suivies par deux autres de « Vera Cruz ».
Derrière la batterie, un peu n’importe comment, une «ligne saupoudrée» de « Tres Villas »,
de «Toluca» et sur la droite de «Zapadores». Sur la crête les derniers dragons de la « file de la poudrière » (cf. 23 / 4Cool se dirigent toujours vers le « Nord ».
57- plan (17) : à droite d’un défenseur « retraitant » on peut voir Bull qui tire, Chuck ( ?) qui recharge, « It do » qui en fait autant, Chill qui se redresse, Crockett qui arme son fusil, Bowie qui ajuste longuement son volley-gun, tout comme, près de lui, le fait de sa pétoire un « I Claudius bis », deuxième jambe raide d’Alamo.
58- Bonham à la batterie du « tumulus » laquelle en plan américain fait donc feu en ruant.
Entre elle et le corral sont disposés en arc de cercle 2 « galopins » ( le Bob et le Dennisson descendus du mur « Sud » ?) et 3 mortiers servis chacun par 2 ou 3 canonniers.
Le gable du fronton de la « poterne » a disparu. Pas pour longtemps d’ailleurs (cf.. 115)
Au delà du mur on distingue déjà la ligne fatale des « Vera Cruz » (cf. 117).
A leur droite des « Zapadores ». Derrière la route il semble bien y avoir une batterie d’une douzaine de pièces (à moins que ce ne soit des cavaliers en paquets) et qui semble très proche. Des lanciers sont sur la crête. Une dizaine de défenseurs sur l’ « Astérix » lance une volée. Réponse en «signal de fumée» des mousquets mexicains de l’autre côté du mur vers la murée poterne avec son fronton à géométrie étonnement variable.
59- vue (55) : les 2 gunnades sont prêtes à faire feu. Un impact écorne le mur de la cour du couvent, deux des « mal-assis » sont envoyés aux dunlopilos et des débris sur les gunnades
60- mur extérieur des « low barracks » : Bowie est sur le mur, le Dennisson-gun tire, un des défenseur passe par dessus-bord et tombe à la base du mur au moment où y explose un « obus ». Un autre « projectile » tranche le mur du local miteux déjà dévasté au début du siège par le gros canon « whiskicide ». C’est encore, mais là sous un autre angle et plus complet, un des avatars des plans de l’attaque du « 3 mars ».
61- un « paquet » de « Toluca-Vera Cruz » puis un « paquet de « Tres Villas » chargent au deuxième plan, sur la gauche d’une file de «Tampico».
Au premier plan arrive un autre paquet de « Zapadores » et sur leur droite des « Presidiales ».
Le « bordel ambiant » commence à s’instaler dans les lignes mexicaines.
62- palissade en contre plongée, rangée de tireurs (pas de bonnets de fourrure).
63- impacts sur une unité des «Toluca», derrière avancent des « Vera Cruz » avec un drapeau.
64- volée de carabines depuis le parapet rongé de l’estrade « Astérix ».
65- impacts sur une unité de « Tres Villas » vue en gros plan et au ras des pâquerettes.
Mention spéciale pour l’écroulement très réussie d’une péritonite à front renversé.
Sur la gauche des navrés se trouvent des lanciers, et sur leurs talons des « Zapadores ».
66- tir des 2 canons « sans-recul » de « Teran » (cf. 54), personne sur le mur Ouest.
67- impacts sur une colonne de «Presidiales» chargeant depuis la Villita, sur leur droite autre colonne de lanciers. Entre les deux colonnes, un canon et quelques fantassins (file « Toluca » à gauche et file « Zapadores » à droite ? ), derrière le tout chargent deux lignes de dragons..
Au premier plan surgit un officier de « Zapadores ».
68- palissade : volée des V.I.P. de la « Crockett-band»
69- impacts sur unité « Tres Villas » précédant des « Zapadores ».
Deux chevaux sans cavalier virevoltent sur la gauche, (cf. 75).
70-Pizzeria-hutte : tir de la gunnade servie par la bande des « tricots rouges » (cf. 125).
Derrière un «Tennessien», portant blessé sur les épaules, fait plus le badaud que le secouriste.
71- impact de la gunnade sur des « Tampico ».
72- regard fusillant du Morrison (il vise des deux yeux, ça cela se trouve dans le « Frazee »)
73- impact sur deux des «Presidiales» qui chargent en colonne sur la droite d’un mexicain canon (allusion à un célèbre coup double de la légende « Crockett » ?)
Sur la gauche du sus-dit canon, colonne chargeante de « Tampico »
74- volée des longues carabines de «Teran». Les deux «sans-recul» canons restent silencieux.
75- impacts sur une unité « Tres Villas », 2 chevaux virevoltent à gauche (cf.. 69)
76- tir des 2 gunnades de la cour de la chapelle.
Malgré la « pluie d’adobe » du (59) il y a toujours 7 servants.
(l’un des « dunlopillos » est remonté sur le mur et a trouvé confortable l’encoche y pratiquée)
77- impact sur des « Zapadores » des gunnades (76)
78- palissade : une volée se prépare mais à peine a t elle commençée que le tout disparaît dans la fumée d’une explosion.
79*- Bowie est touché, Morrison en profite pour prendre encore des décisions à sa place.
(*c’est pas très net, mais il semble qu’on ait changé de plan)
80- Bob et un quidam, en bandana intégral, emportent le Bowie récalcitrant qui engueule d’importance «le-monsieur-il-a-dit». Serviable et discret Jethro se contente du « portable ». Des hommes viennent renforcer la défense de la palissade, parmi eux une « jambe raide », peut être mon « I Claudius » préféré, ou bien la troisième « patte folle » de l’Alamo.
81- tir de la batterie mexicaine de la Villita-San Antonio.
82- sale série d’impacts sur le bureau de Travis: trois défenseurs sont carrément catapultés dans la cour du couvent, 11 autres (ou à peu près) dégringolent du toit.
Au cours du désastre une dizaine d’hommes gagnent en courrant la cour du couvent.
On vient d’annoncer l’attraction « Looping » à l’estrade des planches.
Avides d’y mater deux défenseurs du mur « Ouest » s’y précipitent.
83- Attraction «Looping»: « It do » au boutefeu (que fait-il là « tout seul »)
Reyllis à l’écouvillon (les Tennessiens sont décidément partout).
C’est l’unique apparition du « 6 pdr » de l’estrade des planches, près de la véranda « Bowie ».
Il sera bientôt remplacé par un « vieil espagnol » (cf. (101) & (103)), et mentionne peut être ici l’« historique » gunnade du mur Ouest..
84- l’évacuation du toit «Travis» se poursuit. Une douzaine d’hommes semblent concernés ici par cette «mesure».
85- sous l’héroïque effort d’un « défenseur-croupier » au bout du rouleau, Thimblerig s’offre un dernier quart de tour de roulette. Gambler est son nom et la « banque » a sauté.
Au dessus de lui on aperçoit en position fœtale «j’avais-entendu-dire-qu‘on-partait» qui, n’ayant pas eut son comptant de gnons lors du saut Parson du 3 mars, est venu chercher ici
un dernier « pain » en guise de viatique.
86- affalé au milieu des gravas Thimblerig d’un ultime coup d’œil estime qu’il est bien temps pour lui de prendre son congé. Remettant son chapeau tout en restant couché (ça on l’savait déjà il a horreur de se lever) il tire sa révérence pour un somme éternel, gratuit et mérité.

-Coupure « Coma Gambler »

87- batterie de la Villeta : quelques dragons sautent par dessus les débris d’un canon délabré. L’un des cavaliers en profite d’ailleurs pour faire du « stunt ».
88- impact d’«obus» sur une ligne de dragons chargeant devant une ligne de « Tampico ».
89- précédant une unité de « San Luis » ( ? ) 40 dragons en deux lignes chargent sur la palissade dont 11 défenseurs sont visibles. Au moment de la volée, à droite des V.I.P. Crockett, le laxiste Dennison cherche encore à biaiser.
90- impacts de (89) sur 9 dragons de la première ligne. La seconde n’insiste pas.
91- angle « Condelle » : on peut voir tout l’étendue du front « Ouest », de même que les toits des « Low barracks » où il n’y a presque personne au fronton des dummies ( les deux « galopins » font pour l’heure de la figuration à la batterie des mortiers), mais sur sa droite se trouve encore un rang serré de défenseurs.
Sur « Condelle » Travis et un « bras cassé » semblent se demander par où bien continuer.
A leur droite un type décide qu’il est plus sage de quitter la partie « à la foot italienne ».
Au fond des «Vera Cruz» font jonction en équerre, au «Sud Ouest» du fort, avec les Actives
milices attaquant le front « Sud ». A leur gauche des « Tres Villas » apportent une échelle et, plus proches encore, des « San Luis » en font autant.
92- plan au ras des pâquerettes avec au fond les hauteurs d’Alazan : on est dos au front «Sud» et voit de trois-quart un rang de « Zapadores » arrivent en courrant portant une dizaine d’échelles. Derrière eux un panaché de « Toluca » et de « Vera Cruz ».
93- volée d’une quinzaine de carabines derrière un parapet (mur « Sud » ?)
94- impacts sur les « Zapadores » de (92) vue de front
95- volée de 5 carabines de « Teran » dont les canons ne sont plus visibles.
96- plan (92) : impacts sur sept « scale-teams » de « Zapadores », deux restent opérationnels.
97- colonne de « Zapadores » (deux échelles en tête) passant par dessus les corps étendus de leurs camarades. Derrière un ligne de dragons les accompagnent.
98- trois échelles sont apportées par des « Zapadores ».
Derrière eux il y a un peu de tout, d’ailleurs assez clairsemé.
Deux échelles sont apposées contre « un » mur, et celle de droite est gravie aussitôt par
un barbu fort peu « greaser ».
99- à l’extrémité « Nord » du mur « Ouest » un officier et trois hommes « Allende » entrent en piste et apposent deux échelles. Sur leur droite des « San Luis » en apportent d’autres. Entre les deux groupes un impact pulvérise du banico près de la crête du mur.
100- plan (91) : Travis, l’épée déjà sanglante, « péritonite » le premier grimpeur « Allende »
et repousse son échelle. Dick d’un coup de crosse expédie l’officier mexicain et ses barreaux itou. Un troisième « Allende » est emporté dans la dégringolade. Skully sautant sur un praticable, par dessus le rang de pieux contenant la barbette, est venu aider mais trop tard Dickinson à finir le travail. Exit ou, pour parler un bon latin, exeunt les « Allende ».
Entre-temps, au premier plan, « bras cassé » n’a cessé de faire du « fil à la patte », tandis
que plus loin, par contre, ça ne chômait guère sur le mur « Ouest ».
A la dernière seconde de ce plan quelque chose ( mais quoi ? ) à l’extérieur du mur éveille
très vivement la curiosité de Travis.
101- cagna « Nord » du Buffalo-Grill : le lieutenant Flinn qui a quitté les « Low-barracks »
est venu faire du « Crockett » (la proximité du campement « Davy » y est elle pour quelque chose ?) sur un « Tres Villas » qui vient d’embrocher un défenseur.
Aux « planches » un des canons « espagnols » de la batterie Parson a remplacé le Looping-gun. Le « 6 pdr » du tumulus fait du panache blanc.
La défense de tout l’angle « Nord-est » semble ne reposer que sur une dizaine d’hommes.
On en distingue 7 autres sur les toits des « one story » des « grandes Casernes ».
Au loin les hauteurs de la « Poudrière » sont toujours tenues par des lanciers.
Devant eux à droite deux lignes de Milice Active.
102- « Condelle » : on voit toute la partie « occidentale » de la Plazza, sa batterie de mortiers
et un « galopin ». Trois échelles dépassent le haut du mur « Ouest ».
Sur la barbette Travis et maintenant Dick ont le regard fixé sur le «on ne sais quoi» du (100).
Skully repasse la rangée de pieux pour rejoindre les 4 canonniers qui rechargent le « 6 pdr. ».
Impact sur le mur entre la « poterne » et « Condelle ». Derrière ce mur doit être un praticable
amovible (on ne le verra jamais), 4 h. garnissant, lors du «gnon», cette portion des remparts.
103- plan (101) : un mexicain, les pieds encore sur les barreaux de son échelle, baïonnette
un défenseur qui est projeté dans le vide. Un homme quitte l’« espagnol » des « Planches » pour venir le remplacer. On recharge la pièce du tumulus.
En bas à droite le puit « Crockett ».
Le lieutenant Flinn, « teneo lupem auribus », vient de se faire une levée de mah-jong,
la célèbre « j’ai-les-mains-pleines-de-Toltèques ». Un galonné «Tres Villas» en profite pour graffiter une entaille « canyon » sur la gidouille du baptisé.
104- une vigoureuse rotule envoie aux pelotes le graveur importun de gras-double irlandais.
La contre-plongée ainsi dégagée, l’héroïque whipper, sans lâcher sa donne, se jette en hurlant sur sa couette de lauriers. Remplaçant les deux «Bleus calottés», deux autres se font le mur «Ouest» d’une surprenante aisance.
105- suivis de « Tampicos », saut de 12 « Dolores » par dessus la palissade derrière laquelle s’est accroupie une quinzaine de défenseurs lesquels en profitent pour recharger leurs armes.
Le « trop-plein », de la charge à fait conversion, qui vers la gauche, qui vers la droite.
Au premier plan un second rang de défenseurs (on en voit 8 genou à terre) font feu sur les intrus qui sont anéantis. Les « Tampicos » derrière la palissade n’insistent pas (re-conversions qui à gauche, qui à droite). Un impact a lieu sur l’extrémité droit du retranchement. Un des hommes qui vient de faire feu est touché a son tour (par qui grands dieux !). Sous l’effet du choc (à moins que ce ne soit nerveux) il est projeté « tout naturellement » en avant.
A noter quand même, toujours à propos de rotules, la belle agonie de genou de cet extra.
106- plan (102) : il reste deux hommes au praticable. Plus loin un « San Luis » arrive sur le toit de l’extrémité « Nord » du long bâtiment « Ouest ».
Sur « Condelle » on continue de recharger le « 6 pdr. » tandis que le bourrou-fierra, servant enfin dans sa spécialité, se met à corner «au renforts !».
Six hommes se précipitent vers la barbette, si proches d’ailleurs que trois sont déjà sur la rampe quand que le blondin s‘époumone.
107-« Condelle » : un dummy-gun à remplacé le «6 pdr.» de la barbette. Il est entouré des 5 servants «bandana» du-dit «6 pdr.». Travis regarde maintenant vers le « Nord » (toujours couvé du regard par son bourrou-fierra) alors que l’attention de Dickinson reste toujours dirigée vers le « Sud-Ouest ».
Les 6 h. de renfort se sont évaporés, la Météo-Bowie avait décidément raison. Il fait chaud..
D’ailleurs un des canonniers vient de tomber la chemise (peut être déjà dès (102)) tandis que d’autres « calories » s’annoncent de l’autre côté du mur : 70 lanciers environ sur la hauteur et deux rangs de «Vera Cruz» avec des «Zapadores» sur leur droite, en avant de la « batterie » devinée ou imaginée au (5Cool.
Le dummy-gun explose.
108- roulé-boulé de Travis qui, une fois sur ses pieds, en appelle au Samu (Sécu oblige) dans la vf., et à la gunnade « battery 3 » ( jusque là inexistante ) dans la v.o..
Le praticable à gauche de la poterne a disparu.
Le bourou-fierra est sonné, mais « torse-nu » se relève avec le dos en « Club-Med ».
109- clôture « Sud » du corral : à la voix du Travis la gunnade « battery 3 » s’est matérialisée avec ses 5 servants qui l’embarquent aussitôt. Au deuxième plan le « Tagada Starbuck ».
A remarquer dans l’« équipe » un des servant du « 18 » avec un très beau chapeau à queue de raton. Au fond, à « Condelle », on voit Travis, « torse-nu » et le bourou-fierra qui s‘est
finalement relevé. On remarque qu’une torche « s’est fichée » on ne sait trop comment dans
la tonnelle près de la forge de la Plazza. Dans la v.f. on entendra en (11Cool, par exigence cartésienne sans doute, quelque chose à ce propos : « mettez le feu aux fagots »
110- plan (107) : sur la barbette où ne restent opérationnels que Travis, le bourrou-fierra.
et Dickinson qui sous l’effet de (107) est devenu la toute nouvelle « patte-folle » d’Alamo.
Dick prie Scully d’aller se faire voir chez Doc. Le Bandana-master ne se fait pas prier et bouscule même Travis en partant.
Sur le sol de la barbette demeurent deux « mal-en-point ».
Derrière le mur : double rang de « Vera Cruz » qui genou à terre déchargent leur mousquet. Derrière le « Périphérique », dans la broussaille, la « batterie mexicaine » de (5Cool semble maintenant n’avoir jamais été autre chose que des « paquets » de chevaux au milieu des « proposis » si chers à Walter Lord.
Sur la crête on distingue une centaine de lanciers.
111- plan (109) : la gunnade se dirige vers « Condelle ». Tractée par ses 4 servants elle croise
les trois « sonnés » du dummy-gun qui se diligentent vers l’infirmerie (Skully et « Club-Med » soutenant un troisième navré). Muni d’une longue carabine Dickinson va se mettre en position derrière le parapet « Nord » comme pour tirer des pipes.
Il y a quatre défenseurs sur l’« Astérix ».
La torche (109) attaque maintenant la tonnelle. C’est le début de la destruction systématique et par le feu de tous les couverts inflammables d’Alamo (y a t-il intention symbolique ?).
Le fronton de la poterne est toujours arasé (cf. 5Cool. Au premier plan, à la place qu’occupait
la gunnade en (109), un gros mortier noir à visses de tourillon lâche une prune.
112- « Condelle » : la gunnade est hissée sur la rampe de la barbette. Pour une fois Will Travis met la main à l’affût aidé par le bourrou-fierra qu’en rate pas une pour fayoter.
Dick est à son stand de tir.
113- plan (110) : la gunnade est mise en batterie sur les débris du gummy-gun. Dickinson renonçant à ses pipes vient aider à la manœuvre.
114- feu « roulant » de 15 ou 16 canons. Il semble que ce soit la batterie « Villita-Bexar »
de (80) qui tient place ici de la problématique batterie « Nord » qu’on a aperçue en ( 19)
et supposée en (5Cool.
115-« Condelle » : impacts à répétition sur le « mur-poterne » qui venant tout juste de recouvrir l’intégralité de son « galbe » s’écroule pour de bon. Comme pour se mettre à hauteur de ce nouveau péril la gunnade « battery 3 » a revêtue la forme, plus significative,
d’un conséquent « 6 pdr. » lequel, illico, est poussé contre le palis de la barbette
pour couvrir la fraîche brèche (tient une allitération !). Travis trouvant peut être qu’il a assez bossé a subrepticement « laisser tomber » sa ceinture-arsenal. Les deux mains occupées à tenir son épée le laisse libre pour mater le poussiéreux gâchis.
Juste derrière le mur sont maintenant une centaine de « Vera Cruz » sur quatre rangs, puis deux autres de 30 « Zapadores », puis encore deux autres de « San Luis », avec sur leur gauche un rang de 40 « Tampicos ». Plus loin dans la broussaille pas l’ombre d’un canon sur la pente, mais environ 40 dragons ( ? ) à la hauteur de quelques tentes « perdues » dans la végétation. Rien sur la crête, à part, vers la droite, une cinquantaine de lanciers (« Presidiales » ?). Il y a 4 défenseurs à l’« Astérix ». Au premier plan un défenseur du mur « Ouest » retire la baguette du canon de son fusil (analogie avec (116) ?).
116- Travis dégaine son épée. A sa gauche la gueule du canon est pointée en déclinaison.
Dickinson prend le commandement de la pièce mais de la gauche a repris son fusil.
117- tonnelle-forge : au premier plan le feu de la torche (109) se propage sur la tonnelle. Dans le nuage de la « poterne-brèche » apparaissent les tout premiers « Vera Cruz ».
118- Travis jette son fourreau vers l’ « intrusion » et sa personne vers le bas de la rampe.
Dick bras levé s’apprête à donner l’ordre de tirer.
119- vue (117) : Travis au milieu de la fumée se jette en travers des Mexicains et « engage » un fusillero.
120- vue (11Cool : Dick donne ordre de tirer « à la Santa Anna », dont acte.
121- fronton-poterne : sous l’impact la lèvre droite de la brèche se transforme en « mitraille-banico » sur laquelle les Santanistas semblent attirés comme limaille vers electro-aimant.
Sale temps pour la vraisemblance et merci pour les Astérix !
122- tonnelle-forge : Travis désentripaille un deuxième fusillero, à moins que ce ne soit toujours celui de (119). Un autre soldado est passé au fil de la Travis-épée quand surviennent deux gradés « Vera Cruz ». Celui de droite (un barberousse pas très mariachi ) ébrèche le bras gauche du Lithuanien, tandis que l’autre s’essaye sur un des T-bone du même Sud-africain.
Le British enragé expédie le rouquin et péritonite son collègue. Tandis qu’un bout de fusil fait du pont-levis au premier plan, deux détonation ont raison de l’entaillé qui vacillant sous les décibels, prend appui sur son épée.
Sur le toit du bâtiment « Ouest » présence de « Tres Villas » avançant vers le « Sud ».
123- Travis last stand : En haut toujours sur le mur « Ouest », devant quelques shakos, deux défenseurs retraitent vers des imperturbables. Travis grimaçant de son tibia brise sa « canne-épée », lance en ultime défi un shakespearien pommeau et s’affale langoureux sur ses rotules et la Plazza. Tandis que de part et d’autre de son corps étendu défilent à l’écran dix paires de zapatas, l’artiste salue les Folks d’un « morrison » mutin, badin et inversé.
124- plan (116) : on finit de recharger le « 6 pdr. », Dick épaule son fusil mais un impact
venu de la gunnade de la Pizzeria, ou un coup « foireux » du canon de la barbette, l’oblige à suspendre son tir.
125- plan (11Cool : Dick fait feu, on écouvillonne le canon ( c’était donc un coup « foireux »).
Une balle atteint le jeffersonien lequel en tombant se prend les rotules ( encore du genou !) dans les pieux. Par dessus les dits pieux bourrou-fierra n’a plus qu’à constater qu’il n’y
a désormais personne pour qui corner.
126- Embouteillage des « Vera Cruz » passant la brèche.
Un gradé s’est chargé de la circulation.
127- Pizzeria-hutte : la gunnade fait feu sur la cohue (127). Tout comme sa collègue du corral elle a pris une « gueule » d’occasion et, la plate forme du tumulus étant vide (comme
le reste d’ailleurs), on aurait bien des doutes sur l’identité de ce canon (ne serait-ce pas le
« 6pdr » du tumulus ?) à moins de remarquer la présence du « badaud » du (70) toujours là avec sa « viande » désormais avariée. Si ce qui est filmé ici est très certainement le « 6pdr » du tumulus il tient ici le rôle de la gunnade (70).
Ce n’est d’ailleurs pas le dernier mixage de ces deux pièces. Toutes deux évacuées vers
la barricade « Crockett », la gunnade en (129) et le canon du tumulus en ( 147) elles re-fusionneront en (157), sous l’apparence de ce dernier pour la salve finale.
128- impact sur la lèvre droite de la brèche et pluie mortifère de banico sur le débit maintenant devenu fluide des « Vera Cruz ». L’officier du (124) a donc bien travaillé.
129- plan (125) : évacuation de la gunnade ( qui a retrouvé sa « gueule ») par ses 6 servants. Emportant le baquet du canon un septième décampe. Le badaud-secouriste en fait autant avec son «urgence» sur l’épaule, suivi d’un neuvième quidam. Un dixième « tricot rouge » lance sa balle du Parthe mais se fait dégommer en tournant les talons.
130- plan (124) : ça bouchonne « Vera Cruz » de nouveau à la brèche où l’on s’efforce de contourner un gros tas de navrés. Pas d’officier pour gérer cette cohue dont les deux drapeaux pénètrent maintenant dans le Waynamo.
131- barrière « Sud » du corral : un rang de 9 défenseurs lâche une volée et retraite aussitôt laissant « aux simagrées » sept « agonisants ».
Derrière, sur le toit du bâtiment « Ouest » s’avance une file de « Zapadores ».
132- extrémité « Nord » du bâtiment « Ouest » : un « galopin » abandonné se remarque sur la droite. Deux échelles ont été descendues vers la Plazza par les « Tres Villas » qui foisonnent sur le toit. Une troisième est mise en place. Un « Tres Villas », tenant une grenade dans la main gauche, assure du pied gauche l’échelle la plus proche. Deux soldados en sautent mais sont immédiatement abattus par deux carabines qui ne font pas de l’«œil à la fenêtre» comme gouaillait la goualeuse, mais depuis une porte sur la gauche. Le cale-pied « Tres Villas » qui jusque là papotait avec ses camarades « d’en haut », se précipite alors et balance sa «fourrée» ( allumée au feu de la prunelle ?) par la fenêtre de la meurtrière cagna. L’explosion subséquente semble fortement commotionner le grenadier-cale-pied qui s’appuie contre le montant d’une porte sur la droite. On voit issir de la sus-dite et meurtrière cagna deux défenseurs fuyant la fournaise et quelque peu fumants (tient encore des allitérations).
Ils sont immédiatement couchés au sol par les mousquets de deux des trois soldats descendus de la troisième échelle.
A noter que l’exécuteur programmé du premier défenseur (très belle et fort blanche dentition texane) a des problème de platine et que c’est le troisième soldado qui tire un post-daté coup fatal sur « blanches quenottes », lequel, ayant « timé » son jeu, est déjà sur le carreau.
Les « Tres Villas » » poursuivent leur avance suivis par le grenadier-cale-pied qui subitement est de nouveau en forme (encore un italien ?). Le soldat au mousquet enrayé suit le mouvement tout en essayant laborieusement de décoincer son « batjac ».
Un officier « Zapadores » et un activo se sont joints aux « Tres Villas ».
La tonnelle de la forge est maintenant en pleine incandescence.
133- palissade area : 12 hommes à la barricade font du tir à la cible sur la cavalerie qu’on voit au loin vers San Antonio. En deuxième ligne, il y a quatre « délabrés » (l’un d’eux se fait piquer son fusil par Chuck). Derrière, « dans les buts », the Crockett avec Beekeeper en « juge de touche » lequel gagné par la mode, s’est mis au bandana.
Bob titubant et « visiblement » amoché, surgit de la gauche et vient s’affaler sur une gunade guère en forme qu’il prend comme « speakeasy ».
A son appel Crockett, très « père du régiment », se précipite alors pour lui prendre le pouls. Beekeeper aussi a entendu le sympathique portier , mais avant que d’aller « bober » il a guetté d’abord la réaction du chef.
Impact sur le mur extérieur de la chapelle. Chuck fait feu de sa rapine, « It do » recharge.
Un pétard-siffleur lancé depuis la gauche vient faire rampette sur la façade de la chapelle
avant de retomber au pied de la fenêtre de la poudière.
Crockett ayant pris connaissance des « North-wall news », d’un coup d’œil se fait sa sombre idée et lance presto la procédure « barricade ». Seuls semblent l’entendre « It do » et Chuck qui se retournent vers l’Old buck. Mais non ! Une demie douzaine de Tennessiens ont capté la consigne et se grouillent vers l’matos. Chuck continue donc de recharger le fruit de sa rapine tandis que Bob, contrairement à Gambler, se découvre mine de rien devant sa fatale échéance.
Laissant ses hommes à leur « beurikeid atitioude », Crockett diligente Beekeeper sur les Low-barracks en flanc gauche, et lui même, en « right frontal attack », vers le tumulus.
134- retraite des défenseurs sur le toit du long bâtiment « Ouest ». Depuis (122) ils ont dû quand même regagner pas mal de terrain. Quant aux « Tres Villas » de (132) ils sont allés s’évaporer dans la Plazza, canicule oblige. La défense dans son recul laisse un châssis d’artillerie (de mortier ou de « galopin ») roulettes en l’air, indécent. Face à eux une dizaine de « Tres Villas » qui sont montés sur le toit par les cinq échelles que l’on voit appuyées contre le fait du mur et sur lesquelles des collègues patientent prudemment. Il y a deux autres échelles vers le praticable « Scully » que viennent « recycler » quelques « Tres Villas ».
Plus loin sur « Condelle » il ne reste que le Dickinson-gun. Il n’y a plus personne à l’« Astérix » (mais ne ça va pas durer), et c’est pareil à « Teran » (et là c’est pour de bon). L’incendie de la tonnelle de la forge est toujours à sa fête.
On pourrait dire qu’ici la forge rugit plus haut que son feu.
La fin de colonne (squelettique) des « Vera Cruz » de la brèche ouverte à (115) défile vers
le « Sud » longeant le côté « Ouest » du corral où « quelque chose » explose.
Venu de la gauche deux files de « Tampico », drapeaux en tête, galopent vers la brèche.
De l’autre côté du mur « Nord » deux lignes de « Vera Cruz ». Sur leur arrière droit 50 « Toluca » sur deux lignes, puis deux lignes de « San Luis ». Sur leur arrière gauche des « Vera Cruz », encore deux lignes de « Toluca » puis deux lignes de « Tampico ».
Tout cela progresse gentiment vers le mur.
135- plan (5Cool batterie Bonham sur le tumulus: le Dimmitt-gun envoie un « projectile »
sur l’extrémité « Nord » du long bâtiment, qui fait disparaître sous la fumée le check-point-Charlie des « Tres Villas » mais ceux-ci sont déjà aux abonnés absents car à part le bout
d’une échelle, rien ne bouge sur le toit. Les « Vera Cruz » de (130) arrivent à la hauteur de
la Pizzeria où un mortier s’en prend à la « moquette » (à moins qu’il se soit en « auto-destruction »). Un autre mortier renversé est au pied du tumulus. On remarque aussi
un « galopin » qui est abandonné par une ligne de 6 retraitants Texans.
Sur le tumulus, à part Bonham et les 5 artilleurs du « gapette-team » (voir (51) en fait le Dimmitt-gun et ses servants ne sont autres que l’équipe « 18 pdr » venu faire ici de la figuration). Présence discrète du Morisson venu chaperonner son lardon. Celui-ci prend
d ‘ailleurs très vite le large pour aller vers le « Sud » où selon lui ça craint.
La tête de colonne des « Tampico » a pénétré dans la Plazza.
Derrière le mur « Nord » les deux lignes de « Toluca », plus loin une ligne de cavalerie et une file de 6 ou 7 chariots dans les broussailles.
136- Pizzeria-hutte : le mortier moqueticide de (135), la gueule encore fumante. A droite au pied du fournil et à plat ventre est un texan survivant très visiblement conscient de l’intérêt qu’il y a à « rentrer sous terre » (c’est peut être d’ailleurs ce qu’a essayé de faire le sus-dit mortier). Près de lui passent trois « Vera Cruz » dont le dernier a le port du mousquet plutôt raide. Les « Tampico » toujours précédés de leurs deux drapeaux (qui ont d’ailleurs rétrogradé depuis le plan précédent) cavalent vers le « Sud ». Il y a des « Tres Villas » de nouveau sur le toit du bâtiment « Ouest » et deux autres sur « Condelle ».
137- angle « Sud Ouest » de la Plazza : Bonham arrivant de la droite (donc du tumulus) d’un coup de pistolet « gauche » abat un dragon arrivant de la gauche (faut vraiment être bien latéralisé pour suivre toute cette affaire !) et qui précède un deuxième sur sa droite. Par où sont-ils passés ? Chill Will aurait-il pris encore prit sur lui d’ouvrir les portes ?
Il y a 6 ou 7 hommes aux batteries « Sud-est », 3 à l’escalier « Parson » et 4 autres sur le mur.
138- Bonham, d’un estoc de l’épée, péritonite le deuxième dragon ou égorge sa monture (au choix de la S.P.A.). Le tout va au tapis. Il y a 4 défenseurs au cantonnement « Crockett », un officier « Zapadores » et deux échelles à la cagna « Flinn », deux autres aux « planches »,
et 8 défenseurs sur le bâtiment « Ouest » qui font face aux « Tres Villas » (deux drapeaux)
qui progressent sur le toit.
Du « Nord » de la Plazza une charretée compacte de Mexicains s’avancent en « badauds ».
Une carreta batjac « souligne » la scène.
139- espace Plazza au « Sud » du tumulus: y a encore un mortier opérationnel (c’est le quatrième, ou le cinquième avec celui supposé du toit « Ouest », cf. (134)) ce que font d’ailleurs savoir ses deux servants par une ultime salve.
Au premier plan un dragon pointe son sabre sur Bonham. Il est suivi d’un deuxième.
140- le campement Crockett : le feu a « enfin » pris à la tonnelle « Crockett ». Plus personne sur le mur « Ouest ». Sous les calories plafonnières du « Buffalo-Grill », un Texan agenouillé est en joue derrière le barbecue. Plus à droite un vaillant grisonnant, tout en retraitant (c’est de son âge), épaule sa longue carabine. La carreta « batjac » est maintenant renversée (y a de la racaille dans le coin ?). Quatre dragons, dont un porte drapeau (à noter qu’on ne voit que la partie haute de cette chevauchée) cavalent vers le « Nord ».
141- plan (140) mais « plus-bas » : le corps de Bonham, terrassé, est projeté vers la droite sous l’effet d’un coup de sabre dont le « kit » est resté dans le patient. Bonham, sous le choc, met d’ailleurs un certain temps pour s’en apercevoir et adopter la gestuelle conforme à la vraisemblance de sa situation. Des canassons dragons, le long de son corps épinglé, font
une « conduite Travis » et à front renversé.
Les deux épaulant de la tonnelle « Crockett » épaulent toujours, menaçants.
142- campement Crockett, côté barbecue : le vaillant cheveux gris lâche enfin son coup de feu et l’agenouillé de même. Derrière eux le dummy-wall explose. « Grison » bien que « touché » fait gaffe à ses arthrites et cherche où s’écrouler. L’autre, plus jeune donc plus souple, a déjà valdingué. Maintenant qu’il y a «de quoi» avec cette explosion ça crame de plus en plus au dessus des deux navrés.
143- plan (13Cool : le feu et les deux déglingués (142) sont là où ils doivent être. Tout cela s’enchaîne bien. La script s’est enfin décidée à faire un petit cou-cou.
Passage de 6 dragons « Chill Will » galopant vers le « Nord ».
144- plan (142) : sous la tonnelle en feu des « Zapadores » suivis de leur drapeau s’invitent dans la Plazza en empruntant la brèche du dummy-wall.
145- angle « Sud-Ouest » : précédés par leur officier qui les presse d’avancer trois « Zapadores » ont débouché du campement « Crockett ». L’un d’eux s’écroule.
Des artilleurs Mexicains pénètrent par des échelles sur la barbette « Sud-ouest ».
Les premiers arrivés sont entrain de descendre le « 18 » (le Dimmitt-gun revenu du tumulus entre deux prises) de sa rampe. Non seulement cohérent mais ça devient « historique ».
146- plan (142) : d’autres « Zapadores » puis des « Vera Cruz » et des « Toluca » continuent d’arriver sous un surcroît de calories qui s’abattent sur le sol.
147- « Tumulus » : le canon (le « 18 » de (147) bien sûr, fôh chouivre !) est descendu à la main et à la bricole par ses 5 servants. Crockett, dans tous les sens du terme, supervise la manœuvre. Derrière, sur le mur « Ouest », 6 défenseurs se retranchent à l’escalier des « Planches ». Un septième est encore sur le toit du long bâtiment, faisant face, dérisoire, aux « Tres Villas » qui arrivent toujours avec leurs drapeaux, cf (13Cool.
148- haut du « tumulus » : Crockett croque (ça veut dire « gauler » en vieux français) comme de juste un dragon. Un drapeau passe dans la Plazza. Il y a maintenant 7 hommes retranchés aux « planches » (le « dérisoire » a compris mais à quoi ça va l’avancer ?) qui attendent « marches fermes » l’arrivée des « Tres Villas » et de leurs maintenant trois drapeaux.
Un dragon se dirige vers Crockett.
149- Wayne sur son « fort Crockett » : au pied du tumulus le mortier renversé de (135).
Le cavalier « Dolores » (14Cool a manifestement rétrogradé. Il n’en re-gravit pas moins le monticule pour entreprendre le « boss ». Un flot de « Vera Cruz » et de « Tampico » s’écoule de part et d’autre du monticule laissant complaisamment ses deux compétiteurs s’expliquer.
150- Crockett sur le pré-cénotaphe désarçonne le « Dolores » par les brides.
A remarquer comment le Morrisson pratique son adversaire. Il n’en ferait pas autrement d’un homard brûlant tiré trop tôt du court-bouillon.
151- front « Nord » vu depuis la roue droite du canon de « Condelle » : et c’est reparti à
l’« Astérix » (la script s’en est allée de nouveau retrouver sa « peluche ») et le « Pécan tree »
( après tout c’est encore un couvert ) vient de prendre feu à son tour.
Peut être «incandescende» t-il depuis l’«impact-corral» de (134).
Deux files de « Presidiales » passent par la brèche avec leurs deux drapeaux.
Devant « Teran » «un peu de génie», comme aurait dit Dick, a certainement dû aménager
une sorte de rampe d’accès qu’empruntent maintenant des « Dolores » pour franchir le mur
« Nord » via la barbette. Deux dragons passent. Le deuxième bute sans « gadiner » sur un yiribolo (« branche d’arbre » en Bambara) tombé de l’arbre « Pécan ». Puis arrivent deux porte-drapeaux, une enseigne et encore deux dragons ( 7 en tout, nombre apocalyptique ! ).
Au fond, sur l’extrémité «Nord» des baraquements indiens, un groupe de Toluca «cousinent» avec une explosion.
152- Chill Will, sur le palier de l’escalier des Low-barracks, fait du « Fess Parker » sur
les « Tres Villas » qui gravissent « après » lui. Un soldado « Vera Cruz », armé d’un sabre-briquet participe complaisamment au fait d’arme en se positionnant en conséquence.
Un « Tres Villas », lui aussi armé d’un briquet, se décide plus sagement pour une position « traître ». A sa gauche un « Vera Cruz » embroche un défenseur, également au briquet.
A droite, pour changer, un défenseur prend un coup de crosse au menton.
153- milieu du front « Nord » vu de l’entrée du corral : le « Pécan tree » joue les buissons ardents, tandis qu’à travers la fumée une file de « Dolores » galope vers l’écran.
Après un porte-drapeau et trois autres dragons arrive un quatrième qui donne, on ne sait pourquoi, de grands coups de sabre dans le vide. Sa monture trébuche sur le yiribolo (151) dont un rameau coupé par le sabre s’en va, avec le dit coupe-chou, « paraboler » vers la droite. Entre-temps le cavalier et sa monture se sont ramassés un gadin radical, voilé et
sans dommage.
154- “far away from the Waynamo” : Buck (en bandana) s’affale sur « It do » (en stand by) contre une quelconque muraille.
Selon « It do » c’est une séquence John Ford donc tournée on ne sait-z-où.
155- plan (152) : dernière réplique de Chill Will s’en allant vers du « grave » ponctué par de
l’« aigu » modulé en clochette.
Un Texan se précipite vers la cause du « grave » et l’entreprend sévère.
156- plan (154) : fin des Dioscures sous fusil « pont-levis ».
157- palissade area : 14 défenseurs font du tir à la cible sur une unité de milice (derrière elle mouvement de cavalerie). Des « Tampico » passent à l’ « Est » de la chapelle dont la position d’artillerie « number one » a été détruite (une fumigation en témoigne).
Le chambranle droit de la porte prend un gnon.
Ca barricade fort au premier plan autour de la grosse cloche grippée.
On apporte du « roulant » (dont de la frêle calèche) par l’arcade de la cour du couvent.
Dans une solution de continuité de la chétive et symbolique défense les 5 servants du tumulus font glisser adroitement leur canon tout frais venu de (147).
Pendant l’élégante manœuvre deux cavaliers « Tampico » battent l’estrade vers le « Nord » et deux Tennessiens en font autant vers le « Sud ».
Les deux « couples » en se croisant s’ignorent complètement.
158- derrière la barricade : un servant vient d’achever de « refouler » la charge du canon côté jardin (la Plazza) et passe côté cour (palissades-area) par dessus l’essieu droit de la pièce.
Les 5 artilleurs (dont le boute-feu s’est mis au bandana) se disposent autour du canon comme à l’exercice. Un « Tampico » bat l’estrade devant le front de la barricade. Derrière une vague compacte comprenant un peu de tout (il y a même du dragons démonté) s’avance résolument vers le rhétorique obstacle. Crockett arrive in extremis par la cloche grippée, pressé du geste par un texan qui venait tout juste d’épauler.
159- barricade vue du « Sud » et côté défense : derrière le groupe compact des Mexicains de la Plazza il n’y a que des artilleros sur le mur « Ouest » et des « Presidiale » à pied sur le « tumulus ». Ca commence à tomber côté Texan. Le boute-feu au bandana abaisse sa torche.
160- barricade : au premier plan le bourrou-fierra de Travis (qu’est-ce qu’il fait encore là ?)
se prend une prune et une bordure de fascine dans le poing pour faire sa «Dickinson».
Sur le tumulus des « Tampico » à cheval ont remplacé les « Presidiales » à pied. Ils portent
des drapeaux (« Victoire ! ») mais on notera que le « Dimmitt flag » flotte toujours.
161- la gueule du « Dimmitt-gun » : y’a du pisé qui vole. La torche du « bandana » s’abat (de nouveau ?) et le canon décharge.
162- plan (159) : coup but en blanc et mêlée renversée. Au premier plan des Mexicains franchissent déjà la barricade.
Les Texans tombent ou se replient dont, presque dernier, Marion Morrison.
163- barricade vers le fronton de la chapelle et côté « cohue » : « les Mexicains tels des moutons franchissant une barrière… » Steve Frazee.
164- palissade area : dos de Wayne qui a nationalisé la torche du « boute-feu-bandana ». Pendant qu’il exécute une conversion à gauche par l’une de ses célèbres rotations iliaques
la caméra descend pour cadrer 25 « Presidiales » chargeant la palissade.
L’officier qui est à leur tête franchit déjà l’obstacle.
165- palissade area : l’officier (164) est déjà hors champ. Deux rangs de « Presidiales » sautent à leur tour dans les buts à Crockett.
166- on doit être au fond du « parking-remise » qui jouxte la chapelle ( on repère vers la droite la brèche donnant dans la sacristie ) et dont les cannisses ont dû brûler (un châssis noirci posé contre le mur semble en témoigner) comme tous les ombrages du Waynamo.
Bull fait du « crockett-last-stand » tenant en respect tout un paquet serré de soldatesque humanité. Par effet ucronique les « Presidiales » de (165) sont déjà là pour mettre fin à toute cette crocketterie. Un lancier « bleu » porte un essai au costaud emplumé que transforme aussitôt un deuxième cavalier. Derrière d’autres comme à la curée continuent à fureter.
167- plan (159) barricade : les Mexicains continuent de franchir le matériel roulant.
Le tas du (162) gène l’affluence.
L’un de « ses » extras en profite pour faire du «Travis» avec ses pieds.
168- portion « retable » de la façade de la chapelle : deux « Vera Cruz » en faction sous la fenêtre gauche. Deux « Presidiales » passent; le deuxième s‘affale.
Crockett, venant de la gauche en courrant, enjambe l’affalé. Les deux factionnaires tentent
de l’entreprendre mais sont expédiés par compostage « Betsy » quand Crockett parvient à la porte de la chapelle dont l’intérieur est envahi de Mexicains qu’on imagine passés par la brèche (166) de la sacristie (logique de lieu mais, par rapport à la suite, aucune logique d’action). De ces intrus un troisième « rouge » et vindicatif s’annonce.
169- battant gauche de la porte de la chapelle : le vindicatif annoncé est désormais hors champ, mais un « Tres Villas », non moins pugnace, est très visible à sa droite.
Morisson torche tout ça avec l’instrument du même nom. C’est alors que surgit au premier plan un « Presidiales » lance pointée et brandie à deux mains.
170- plan (169) rapproché : l’« Alamo de Parras » du (169) affirme ses droits historiques
de premier occupant juste au-dessous du plexus du député anglo.
171- plan (169) : le flambeau de la Liberté balance une objection qui chavire l’arriéré en brisant du même coup son pointu argument, lequel d’ailleurs donnait du mou dans le corps
du sujet. Ce dernier, néanmoins vacillant, titube vers la sainte-barbe laissant fichée sur le bois une flamme torchon et ensanglantée (brandon oblige(.
172- porte de la poudrière : malgré une colonne vertébrale manifestement perforée le nouvel Evans réussit un très beau jet de torche qui se « cale » en beauté.
173- angle « Sud Ouest » de la chapelle : les deux plantons (16Cool ont été relevés par un « bleu » et un « rouge ». Ceux-ci sursautent quand la sainte-barbe explose.
174- côté « Sud » de la chapelle qui vomit entre deux contreforts un flux de banico.
Après ce relent, et contre toute logique pyrotechnique, le transept « Sud » explose.
175- buen retiro-sacristie : la fumée se dissipe révélant un Bowie alité, calé dos
au mur et assez agité. A sa gauche, dans la position du tireur à genou, est le fidèle Jethro
qui posément épaule.
176- buen retiro-sacristie : vers la gauche on découvre le passage menant au transept «Nord» dans lequel s’est manifesté un « Toluca ». Jethro, en « social-traître », liquide l’anti-esclavagiste ce qui attire l’attention d’un deuxième « Toluca » qui avec un collègue achevait du blessé (discrète et historique mention du « no quarter » dans l’hôpital).
Bowie braque son volley-gun.
177- passage vers le transept « Nord » : 6 « Tolucas » arrivent. Le compte est bon pour les 6 balles du volley-gun dont les trajectoires performantes laissent sans voix.
Pour la vraisemblance et la script y’à longtemps qu’on s’est fait une raison, d’ailleurs Bowie dirige déjà son caractériel regard vers d’autres facéties.
178- mur extérieur de la sacristie : attirés, semble-t-il, par le boucan qu’ont fait les pétoires des deux « confédérés », des « Vera Cruz » passent la brèche de la sacristie et se dirigent mauvais, par l’emplacement même du lit Bowie, vers le transept « Nord » à la recherche des impétrants.
179- Bowie-bed : Big Jim défouraille sur ces « irréalistes ».
180- position Jethro : le gospel-singer prend du regard la « mesure » vers le « pour », puis la « mesure » vers le « contre ».
181- passage du transept « Nord » vers sacristie : trois « Toluca » viennent rejoindre les « Vera Cruz » enfin ramenés aux réalités mais en complète gabegie.
182- plan (180) : même jeu qu’en (180), mais Jethro prend parti pour le contre en se jetant sur le pour, c’est à dire sous les « contres ».
183- plan (179) : trois baïonnettes « contres » compostent le dos de l’affranchi.
Bowie, qu’en a maintenant plein sur les rotules, tente de se saisir de son ayatollah.
184- position « Bowie » : Big Jim a saisi l’opinel qu’aussitôt un « Vera Cruz » essaye.
185- plan (181) : rien à ajouter, c’est toujours la gabegie.
186- plan (184) rapproché : trois baïonnettes se partagent entre plexus et banico.
187- nef de la chapelle : des « Tampico » y pénètrent passant par le transept « Nord » arasé ; Arruza est là. Surgissent sur la gauche trois « Vera Cruz » en chasse et qui dans l’instant vont repérer leur proie.
188- fond de la chapelle : à droite se devine l’autel, à gauche entre deux rangs de barils Texaco une bâche recouvre on ne sait quoi. Devant, gardien semble-t-il du dépôt, Doc fait
feu d’un unique pistolet face à la caméra. Conséquence du coup apparaît au premier plan un des trois « Vera Cruz », qui s’abat comme pantin désarticulé. Un « deuxième surgissant » vient empaler le doc. Les deux disparaissent hors champ emportés par le mouvement.
Le troisième « Vera Cruz », intuitif, saute sur un bloc de maçonnerie, met le pied sur un baril et d’un coup de baïonnette soulève la bâche préservative (ça sent son divan).
189- contenu « Texaco » ou les trois fondamentaux de la société sudiste.
-Happy-Joe : l’ « or noir » du présent en attendant de l’autre
-Susannah : la dame « Mélanie Wilkes » des valeurs du passé
-Angelina : la descendance « Scarlet » des prospérités futures
190- le « débâcheur » scarface (qui sait ce qui peut bien l’avoir arrangé comme ça? Peut être la gabegie (179)), la bâche ( elle s’est accrochée à un élément de charpente effondré. Est-ce un symbole ? ) au bout de la baïonnette, regarde sa découverte. Arrivent deux autres « Vera Cruz », deux autres « Tres Villas » (dont un papy) et, sur leurs talons, Carlos Arruza.
191- plan (189) : Suzannah récupère de sa frayeur
192- plan (190) : Arruza et les cinq mexicains lourmant visiblement de suffêtes pensées.

-Coupure « Shrine »
 

Poster un nouveau message Répondre au message
  Pages: 1

M'inscrire M'inscrire Me connecter Me connecter Mot de passe oublié Mot de passe oublié Retour au forum Retour au forum