| khbayl |
Posté le:
1/1/2008 18:34 | Sujet du message:
Hier, aujourd'hui et demain | |
Email:
jzeghni@yahoo.fr | |
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Poètes d’antan,
Conteuses des jours d’avant,
Poétesses de maint’ nant,
Conteurs contemporains,
Oh! Toi l’écrivain des temps anciens usant des mots parfait,
Pour vanter les charmes de la muse, au mieux des tes souhaits,
Tu complaint les pieux gens, éternellement opprimés,
Tu parles odieusement aux grands, soucieux de tes pensées,
Vêtu de belles Jaquettes et de gants blancs dentelés,
Nul ne se moque de voir ta plume au quatre vents agitée,
Mendiant les mimiques magiques qui feront ton inspiration,
Tu retranscris à merveille l’amour de ton humble passion,
Considéré comme le tsar des syllabes et des lettres,
Firmament de ton art que d’être désigné poète,
Eh! Toi joute verbeur, poseur de rimes,
Qui laisse couler ses pleures en déballant ses mots sublimes,
Jactant sans peur, à tout bout d’chant, et en verlan la primes. . .
Tu grave les larmes de ta reine,
Et ancre à l’encre quotidienne,
Cette chienne de rage plus forte que la haine,
Cause de tout tes actes, et raison te tes chaines,
Poète des temps modernes, victimes du changement qui s’impose,
De mœurs, de cultures, et d’état comme dit la raison qui s’y oppose,
En état de cause, état du monde, et la prose, et tas d’chose,
Etre gouberné ok!, mais ca rest’le même destin morose,
Sans coup d’mytho, à la fin c’est la mort qui nous attend!, si j’ose. . .
Quoi qu’il soit question, d’appeler ou d’annoncer,
De dénoncer ou d’épeler,
D’injustice, de souvenirs ou d’aventure, une chose est sure,
Vous y êtes convié, même grand’ment priés,
Faite que l’encre se répande sur les siècles à venir et loin dans le futur,
Que nul ne cesse d’exprimé les maux d’hommes et de femmes,
Pris de vos belles mixités, Extraite de vos poignantes âmes.
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