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Auteur Message
   Trier par date décroissante
Kerka
France
Posté le:
11/9/2006 17:54
Sujet du message:
avec la sncf c'est possible
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On est encore à la boure avec les traveaux sur la rame 14 du metro ><
On marche d'un pas vif sur les quai de la gare, comme à mon habitude je te demande de sotir les billet pour vérifier une eniéme fois que nous ne nous trompons pas de wagon, et que tu me redises les places.
L'air est frais, et malgrés cette cource effrainer a travers les rues de Paris, nos pulls et la veste que l'on c'est mise sur le dos, on réalise que tout cela fait bien legé.
Je te prend la main et malgrés ma grande taille je nous entraine nous faufilans entre les moutons qui peuple la gare de Lion. voix E, on remonte le quai en doublant quelque personne, avant de sengoufrer dans la rames 14.
Notre TGV et a deux étages, et nous avons nos place a l'étage. N°87 et 88. situer en bou compler de la rame. je prend ton sac pour le metre en hauteur et tu te place du coter de la fenetre. Je sort mon ordinateur portable il doit me rester 1h50 de baterie. tu tinstalle tant bien que mal, tu pose ta veste sur tes genou, visiblement ils ont pas encore desider d'allumer le chauffage dans le train. Avec tes pied tu calle ton petit sac a dos sous le siége.
Je massois descent la tablette, pose lordinateur dessus et lalumme. Tu remonte lacoudoir et saisi mon bras de peur que je parte. je nous met down of the dead, un ptit film de zombi ou le réalisateur essaye de montrer que les gens ce comporte comme des zombi dans une sociéter de consomation toujour plus importante. je tourne ma téte et je tembrasse. Mélange toujour magique du sucre et du sel, tu repose ta téte dans le creu de mon épaule. Le film commence, l'action ne tarde pas a venir.
Je glisse ma main sur tes genou la callant entre tes deux jambes juste sous ta veste dans lespoir que celle ci la rechauffe.
le train démare, le film te passione pas des masse, et ta des dificulter a te concentrer.
Tu sent se corps etranger sur tes cuisse efleurer ta peau a travers ton jeans.
Remontant doucement le long de celle ci tu commence a oublier le film et tu te demande quand elle saretera.
je me retourne et je te rembrasse. un baisser plus long que precedament, ma langue efleure tes lévres tu ferme les yeux; ma main se plaque contre les bouton de ton jean tu sere tes jambes.
mon visage seloigne de toi tu reouvre les yeux et tu te rebloti contre moi passant ton bras autour de mon ventre.
ma main toujour sous ta veste kite momentanement tes jambes.
tu la sent exercer une pretion sur le bouton de ton pentalon.
Arret sur image, tu ne veus pas ca, mais au lieu de la repousser, tes yeux regarde la configuration de wagon, casiment desert. personne a coter de nous, juste un couple de vieux amoureux devant nous, sous la veste personne ne verer rien.
premier bouton qui sote, tu frissone, ton coeur commence a saccelérer, jicler dadrénaline dans ton cerveau.
2eme bouton qui sote, tu sent mon pouce contre ton ventre
3eme et 4 eme bouton qui céde en meme temps tu comence a entendre les batements de ton corps raisoner dans tes timpans.
ma main se plaque sur ton ventre 2eme decharge dadrénaline, elle est chaude tu est froide.
mon premier doight sengoufre doucement sous ton shorti, et tel un serpent rempant il grapille quelque milimitre, pui kelke centimétre. Tu ferme les yeux.
Tu as complaitement quiter le film.
Ces la douceur de mes levre qui te les fait les reouvrir. je me suis pencher sur toi pour tembrasser. et au moment ou je me remet en place, tu sent ma main plonger. 4eme decharge dadrenaline. tu nentant plus le film, seul les batement de ton coeur resone dans ta téte. plus la force de pencer tu sent cette chaleur contre toi, tu sent la mouateur entre tes jambe.
tu es bien.
tu ferme les yeux et tessaye de tout oublier.
deja le desir grimpe en toi.
tes jambe fourmille et tu sent se vide se former dans ton ventre.
Un vide qune seule chose peu remplir.
ta téte contre moi tu la reléve me reclament a nouveau un bisous.
Souai imédiatement exauser. mes doights avant imobile sactive contre ta peaux.
le vide dans ton ventre continu de sagrandir.
tu essaye tan bien que mal de te reconcentrer sur ce foutu film.
le temps passe et le desir augmente.
tu ferme les yeux tu abandone le film
tu sen ma main remonter et sorti
tu reouvre les yeux pour voir se qui ce passe
je tembrasse
je te demande de filer dans les toilette en bas, et de ne pas en sortir avant que je frape a la porte.
tu rigole
non tu glousses
tu me crois fou
mais c'est toi qui est folle
on se leve et tu comence à descendre
je prens mon sac dans le quel je range delicatement mon ordinateur, de la poche en fermeture eclair je sort un foulard que je glisse ds mon jeans.
Je range le sac en hauteur, dessent les marche qui me sépare des wc.
Je tape 3 fois, tu mouvre, tes yeux pétille deja.
en un eclair je rentre a lintérieur.
lespace est exigu, juste une lunette de toilette et un evier surplomber dune grand vitre.
je me glise dans ton dos,fesant fasse au miroir, jembrasse ton cou.
tu te tourne et tu membrasse
met main caresse ton ventre, et descende vers tes hanches.
tu te retourne et tu scrute mon regard, essayant de lire a travers moi en vain, tu as deja essayer des centaine de fois, jamais tu na su se kil me passer par la téte.
je sort le foular de ma poche et que je glisse sur tes yeux.
Dabor la douseur de la soie, ensuite la force du noeux autour de tes yeux.
tu ne voie plus
tu devines
tu devines mes mains caressant tes bras
tu devines mes main caressant ton ventre
tu devine la premiére pretion de ton bouton qui lache
les un apres les autres, biento ton pentalon ne reste sur toi que parceke je le retien
tu te tourne et tu devine mes levre
la chaleur de mon soufle ds ton coup
tu ferme les yeux et tu savoure le moment
le pentalon lache et glisse sur tes jambes
tu te demande si cest lair frais du wagon ou si ce sont mes doight qui te fon frissoner.
je dessent ton shorti et je place tes affaire a coter du lavabo
je fai glisser tes mains ds la continuiter des mienne que je positione de part et dotre du lavabo.
tessaye de deviner a traver le foular la forme de mon corps...
je dessent mon pentalon.
ton ritme cardiaque accelére
ton soufle devien sacader
une nouvelle chaleur entre en toi.
 

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