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nayan |
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Enseveli sous la neige Criquet ne peut pas Hiberner en paix
O comme il aimerait être Une pieuvre ou avoir l'aide De quatorze
Mais seulement avec Noémie Pour venir à bout de l'hiver Ses pattes rêves en vert
Heureusement qu'ils se parlent En bleu et qu'ils écrivent en rouge Avec toutes leurs pattes Ils s'épatent
nayan |
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anouke
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Posté le: 4/2/2008 03:42 | Sujet du message: Foutu' | |
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Avec ce sal'temps Pas de vacance, Avec Noëmie Nous écrirons Des poésies
Rendez-vous Au coin du feu. Criquet |
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nayan |
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Et c'est ainsi que Le criquet mi fin à sa faim En partant en vacances
nayan |
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Francois |
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| "Martine" a écrit: | | Sur la petite place devant chez moi, quelqu'un, pendant la nuit, avait gravé sur le gravier en grandes lettres majuscules NOEMIE Etait-ce le criquet venu m'annoncer ses fiançailles avec son amie la fourmi? Ou la cigale grippée ne pouvant plus chanter? Quoi qu'il en soit, cette découverte en sortant de chez moi m'a mise en joie pour toute la journée ! |
Somnoler, vague et dispos, au pied du mur à l’ombre sous le figuier ; entendre, dans le roncier proche et la haie, fête et fuite de merles, glissements de couleuvre, de lézard ou vipère. Dans les fissures de l’allée ou sur la vesce velue, suivre les va-et-vient industrieux des fourmis. Discerner, dans les feuillages, l’énigmatique vibrement de coquillages fort lointains cependant que le pin crépite de cigales. Puis, avançant vers l’éblouissante lumière, soupçonner, morne prodige, les multiples vies, leurs tourments dans la marche qui suit le mur au faîte hérissé de tessons.
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Francoise |
Posté le: 30/1/2008 07:14 | Sujet du message: Cric-crac | |
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Cric-crac….j’arrive au bal Cric-crac….le plancher craque Cric-crac…c’est parce que le criquet s’est caché Cric-crac ….sous le plancher, il fait son nid douillet. Cric-crac….A-t-il pensé à prévoir un grenier ? Pour mettre les provisions de Noémie. Est-ce que ça hiberne les criquets ? |
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nayan |
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À demi endormi Criquet pensait à ce que Noémie lui avait dit En langue fourmi
Mais comme une fourmi Est à peine audible Criquet était pris Dans la tour de Babel
Comment déchiffrer un langage Qui vient de labyrinthes Moi qui ne parle qu'ailé
nayan |
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nayan |
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Monsieur criquet fût aperçu Dans une crique entrain de se baigner
Il avait beaucoup d'entrain À respirer l'air salin
Non loin il y avait Une humaine qui inventait De petites pagodes Avec les roches du littoral
Le criquet très intriqué Se demandait pourquoi Les humains passaient tant de temps À méditer
nayan
Et merci aurélie
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aurelie
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| "nayan" a écrit: | | Monsieur le criquet se réveilla Avec un arc-en-ciel Dans les yeux
Il se sentait En très grande forme Avec la cigale et la fourmi Les jambes lui fourmillaient Tellement qu'il fît un bond De géant
Il atterrît sur une île Où volaient des grands ailés
C'était l'île de la respirance Celle dont il venait De rêver
nayan
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Nayan, c'est joli joli veux tu venir faire un tour à notre atelier d'écriture? merci d'avance aurélie |
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nayan |
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Et c'est ainsi que fût créé La danse du rebond Car notre bon criquet Rappelez-vous excelle Dans les bonds de géants
Et ce n'est pas un adon
Parfois il volette Avec la belle Adonisse Son amie qui papillonne Jusqu'à la fin de l'automne
Et pour se donner de l'élan De temps en temps Criquet a recours À ses bonds de géants
nayan |
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babel
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N'ayant aucun pouvoir, je ne peux que déclarer que cette redondance est un refrain.... |
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nayan |
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Si le concierge peut enlever La redondanse Je vous reviens avec la suite Sans hoquet
NB Je n'avais pas vu Qu'il y avait une page deux
nayan |
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nayan |
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Assis sur un piquet Le criquet écoute le poète Qui écrit en chuchotant
Mais qui mangera le noir
Est-ce la lune En faisant la ronde Ou Dame musique En ses silences si denses
Mais chut écoutez Écoutez le vent qui se lève Nous allons assisté À la danse des herbes
nayan |
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anouke
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Posté le: 24/1/2008 21:58 | Sujet du message: Hocquet | |
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Le silence attrappa le hocquet, En équilibre sur la croche, Il évita la danse Et la portée l'emmena Bien loin de son refrain |
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babel
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Pourquoi se sortir de là... pensaient-ils chacun dans les facettes de leurs yeux ? si nous avons des enfants, ce seront des cri-mies ou des four-quets ! Les fourquets dineront de mie au Fouquet's et les crimies trouveront en Crimée des âmes soeurs Pourquoi se sortir de cet embarrassade-là ? Qui peut jurer n'avoir jamais sous la lune d'une île chercher quelques bras où y dormir ? Et de ceci la cigale avisée fera un show, mais sous contrat, pour quand les bises auront cédé la place à la bise... |
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anouke
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Posté le: 24/1/2008 08:56 | Sujet du message: Fezt Noce | |
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Martine, Martine, préviens le concierge De préparer les invitations pour la fête, A l'arrivée de Louise, tous ensemble Nous marierons le criquet et Noémie Sur un air de flûte à Dzairtik Pour la naissance, encore un peu de patience ... |
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nayan |
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Assis sur un piquet Le criquet écouta le poète Qui écrivait à haute voix
Mais qui mangera le noir
Est-ce la lune en faisant La ronde ou Dame Musique Qui l'enveloppera par ses silences
Ici le silence est si dense
Écoutez la danse des herbes Chut Le vent va se lever
nayan
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Martine |
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Sur la petite place devant chez moi, quelqu'un, pendant la nuit, avait gravé sur le gravier en grandes lettres majuscules NOEMIE Etait-ce le criquet venu m'annoncer ses fiançailles avec son amie la fourmi? Ou la cigale grippée ne pouvant plus chanter? Quoi qu'il en soit, cette découverte en sortant de chez moi m'a mise en joie pour toute la journée ! |
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anouke
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Posté le: 24/1/2008 03:44 | Sujet du message: écriture | |
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Une plume d'oiseau, posée sur le sol Lui servit de marque-page, Le carnet dans la poche Il se releva, enfourcha sa bicyclette. Demain, le poète reviendra s'asseoir Au pied de l'arbre, Pour écrire la suite de l'histoire |
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Martine |
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En errance sur l'île de la respirance sans espérance de la moindre pitance le criquet traqué par ces tracas, craqua! Il trébucha et patatras, se fracassa à grand fracas contre un bout de bois ... Assommé, un peu sonné, encore ensommeillé, il se réveilla tout emmêlé entre les six pattes de la si jolie Noémie, son amie la fourmi, bien endormie. Il se vit dans l'embarras, dans de beaux draps! Comment sortir de là? ....... |
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nayan |
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Monsieur le criquet se réveilla Avec un arc-en-ciel Dans les yeux
Il se sentait En très grande forme Avec la cigale et la fourmie
Les jambes lui fourmillaient Tellement qu'il fît un bond De géant
Il atterrît sur une île Où volaient des grands ailés
C'était l'île de la respirance Celle dont il venait De rêver
nayan |
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