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   Trier par date décroissante
Francoise
Posté le:
4/11/2007 21:19
Sujet du message:
La poétesse avait dit la vérité...
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Trouvé ce matin dans la revue de presse…. La poétesse avait dit sa vérité….elle a été exécutée !

http://www.rtlinfo.be/news/article/53691/--Afghanistan:+Nadia+Anjuman,+poétesse+de+la+détresse+féminine,+tuée+il+y+a+deux+ans


 

Francoise
Posté le:
4/11/2007 22:04
Sujet du message:
RE: c'est peut-être plus simple comme ça
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"Francoise" a écrit:
Trouvé ce matin dans la revue de presse…. La poétesse avait dit sa vérité….elle a été exécutée !

http://www.rtlinfo.be/news/article/53691/--Afghanistan:+Nadia+Anjuman,+poétesse+de+la+détresse+féminine,+tuée+il+y+a+deux+ans




Afghanistan: Nadia Anjuman, poétesse de la détresse féminine, tuée il y a deux ans
MOYEN ORIENT lun 5 nov

Il y a deux ans, la police découvrait le corps inanimé de Nadia Anjuman, une jeune poétesse afghane de 25 ans déjà célèbre pour ses vers poignants sur la malédiction d'être femme en Afghanistan.

Elle avait été battue à mort par son mari le 4 novembre 2005 à leur domicile de Herat (nord-ouest), selon la police.

Aujourd'hui, l'affaire est classée avec la mention "suicide" et son époux élève librement leur petite fille, tandis qu'à l'étranger, ses poèmes en langue dari (langue soeur du persan) sont traduits cette année dans plusieurs langues.

"Espoirs envolés, désirs non exaucés, Je suis née en vain, c'est vrai", dit-elle dans un poème traduit en français par une spécialiste de la littérature de cette région, Leili Anvar.

Cette dernière évoque chez Anjuman "un immense chagrin directement lié à son statut de femme et d'Afghane, comme une douleur d'être et une difficulté à trouver une voix audible".

La condition de la femme dans ce pays guerrier, rude et montagneux, et déchiré par 30 ans de guerre, a encore souffert des cinq ans de pouvoir des islamistes fondamentalistes talibans entre 1996 et 2001. Les filles n'étaient plus scolarisées, les femmes interdites de travailler et confinées aux maisons et sans pouvoir de décision.

Malgré la chute du régime intégriste, mauvais traitements, abus sexuels et violences domestiques se poursuivent et certaines femmes choissent encore l'immolation par le feu, fréquente à Hérat, cité pourtant deux fois millénaire des arts, de la culture et des lettres.

Peu avant la disparition de la jeune femme, le président du Cercle littéraire de Herat (fondé en 1930), Ahmad Said Haqiqi, jugeait qu'elle était "en train de devenir un grand poète persan".

"Lorsqu'on songe à l'âge qu'elle avait, on est étonné de l'extrême maturité de son oeuvre", dit à l'AFP Leili Anvar, qui lui consacre d'importantes pages dans une anthologie de la poésie afghane en préparation. Anjuman "montre une grande maîtrise du vers libre persan et de la musique de la langue", dit-elle.

L'un de ses professeurs à l'Université de Herat, Mohammad Daud Munir, évoque "une pensée profonde et complète", dans des "poèmes jeunes, tout comme elle l'était".

"Son absence laisse un vide au sein de la communauté littéraire", dit-il à l'AFP.

Son premier recueil de poèmes, "Gul-e-dodi" ("Fleur rouge sombre"), a été publié en 2005, que cette jeune étudiante de l'Université ne meure. Récemment, le Cercle littéraire en a publié un second, de 80 poèmes, tandis que ses textes restent lus en public et imprimés régulièrement par les journaux, selon M. Munir.

A l'étranger, outre leur publication prévue en France, les vers d'Anjuman sont déjà traduits en anglais et en italien et un site internet à son nom présente en anglais depuis quelques semaines nombre de ses poèmes (http://nadia.afghanwire.org).

Le souvenir de la jeune femme reste vif parmi les siens.

Sa meilleure amie et camarade d'université, entrée depuis dans la fonction publique, Nahid Baqi, est amère. "Tout le monde veut l'oublier, dit-elle à l'AFP. Il y a eu des pressions sur les autorités pour qu'on conclue à un suicide, pour faciliter l'éducation de sa fille", ajoute-t-elle en larmes, à l'évocation d'Anjuman.

Pour le mari de la poétesse, Farid Ahmad Majeednia, ces vers appartiennent à la période taliban: "une narration de désarroi et de tristesse qui résulte de son emprisonnement derrière les murs de sa maison", dit à l'AFP cet intellectuel, directeur de la bibliothèque de l'Université de Herat.

"Deux ans après sa disparition, mes mains et mes jambes se mettent à trembler lorsque me reviennent sa mort et son absence, confie-t-il. Beaucoup de choses sont finies pour moi".




 

babel
Posté le:
4/11/2007 22:36
Sujet du message:
RE: La poétesse avait dit la vérité...
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Email:
babel@etoiles.net
Site Internet:
http://www.myspace.com/lebabel


Asleep in the dust

Blunt pains
Chronic pains in the vague cover of silence
They read elegies of mourning in your head
By showing their detestable face
They made your colour pale
Alas!
How poor you remained despite all the faithfulness
Nobody knows the ingenuity of pain
In your body
Nobody gives proper attention
To your ambiguous stare
Nobody to nobody
Reread your song of the night
And even the soil
Denies your long-standing relations to itself
Such that your childish words remain unspoken
Such that your poems are read by nobody
You are still sleeping in the dust
No one tears off the black veil
From your house
No one brings your closed lips
To the party of unspoken blossom
Don’t travel to the sky
And in the beautiful sorrow of separation, one star out of your orbit
Don’t cry for no reason
As this coy girl act
Isn’t sought by any person with a deep-seeking look
You have been left on time’s roadside.

2002

le site est là...
 

Francoise
Posté le:
5/11/2007 22:17
Sujet du message:
S.O.S....langue française!!!
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« Que l’on instaure un langage officiel de gestes communs à tous les pays, ce langage deviendrait la deuxième langue obligatoire enseignée dans les écoles après la langue maternelle et qui donnerait à tous les enfants du monde la possibilité de voyager et de communiquer extra-muros » Julos Beaucarne. Voyage à la lisière de l’infini. Page 112.

S.O.S. babel…..tes messages en anglais…je n’y comprend rien !
S.O.S. Agnès, Lol….le poème de Nadia Anjuman pouvez-vous nous le traduire ?


 

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