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babel
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Vous ne saurez jamais combien j’aime Julos. Il en va des rosés qu’on boit en vacances, dansant sous une fine étoffe moirée, tandis que le jour prend son temps autour de nous, comme des rengaines qui ne passent pas l’automne. Il y a des fûts que je tiens au creux de mes caves intimes, et qui, à chaque soif du cœur, ne me déçoivent pas, et sans cesse les foudres s’y emplissent d’accalmies. Alors, goulu, je bois à traits mesurés ou ravageurs Vogoul comme Wallon. Là, mes chancellements ne me quittent pas. Non : ils se mettent en place et d’un balancement à l’autre, d’un swing à une rime, d’une fragilité à l’autre, sur la pointe des orteils et des espoirs : je marche. En marmonnant un refrain, une perle de Julos, je reprends un de ces chemins de la vie. Vous ne saurez jamais combien j’aime Julos. Parce qu’aimer ce bon homme bon ne se compte pas plus qu’aimer le bruit chantant des feuilles qui bruissent quand la pluie frotte le figuier entre la pierre et le chambranle. Qui a su compter l’amour et l’amitié ? Et les silences s’emplissent d’un sourire, à l’idée que ceux que j’aime vivent en ce moment, se lèvent et se couchent… Vous ne saurez jamais combien j’aime Julos. |
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anouke
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Posté le: 28/10/2007 07:18 | Sujet du message: Combien | |
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Combien j'aime Julos aussi, mais "COMBIEN" se calcule comment ? |
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Agnès |
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Combien, comment, pas facile d'en parler. Mais on sait Pourquoi.
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jacques |
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| "Agnèsb" a écrit: | | Combien, comment, pas facile d'en parler. Mais on sait Pourquoi.
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bien le bonjour j'aurai plutot tendance à approcher le comment plutot que le pourkoi au théatre de la Vie l'autre samedi, il y avait Julos dans tous les registres, et aussi du profondément bondissant ce soir là sa voix éraillait passagèrement, il n'en avait cure, s'amusant du fait, l'essentiel étant ce qu'il y avait à dire, transmettre et être je n'aurai pas les mots pour dire sa recherche de saluer tous les présents après le concert, son enclin de l'Autre... nous nous en fûmes le coeur heureux, il était bon d'être belge ce soir là, en Passants, le cercle des foraimeux lègèrement agrandi, l'hospitalité de Moinette fit le reste, et les restes, c'est tout bon... à bientot soudain djak |
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nayan |
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Julos aime si tant Intensément Qu'il se produit Comme une vague De retour
nayan |
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Murielle |
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Ô Nayan, ça fait du bien de te lire… Je me suis rendue à ta recherche dans les allées du site afin d’y cueillir quelques notes enchanteresses que tu nous « jases si boréalement » J.B. Au plaisir de te lire à nouveau, on ne s’en lasse pas de cet élixir dont tu fais l’offrande. Julielle |
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marina |
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c'est si gai de vous lire raconter notre amour pour notre julos pas mesurable en quantité, immensémment,infinimment en galaxie d'étoiles...après un temps d'absence, c'est si bon de vous lire... |
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