Oh babel, ce bébé, ne l’avions nous pas vu naître prématurément au printemps des poètes ? N’étions nous pas parmi les membres de l’équipe néo-natale attentive à l’écoute de son premier cri ? Je me souviens du bonheur ressentit pendant sa venue au monde. Je revois tes yeux de jeune papa émerveillés devant le nouveau-né présenté par une maman enfantant avec beaucoup d’amour et de force. Ce petit bout à été posé en couveuse appropriée, celle d’un été, le temps nécessaire pour le terminer dans sa plus belle peau et jusqu’au bout des ongles. Ce bébé, babel, sera-t-il de sortie le premier jour d’automne à Nancy ? J’aimerais féliciter de vive voix les heureux parents réunis, toi babel, Catherine et Ptitanne.
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