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Françoise Belgique |
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Antenne Centre Télévision a rencontré la famille. Vous pouvez voir le reportage (3ème sujet) sur http://www.antenne-centre.be/fullscreen.php5?file=2007-08-01-mercredi.flv
Merci à ceux d’entre vous qui ont signé la pétition. http://www.lapetition.be/petition.php?petid=363 Cette pétition a surtout pour but de montrer aux autorités "décidantes et dicidantes des droits de l'homme" qu'un grand nombre de personnes n'acceptent pas leur politique d'exclusion. Nous avons récolté environ 200 signatures sur papier au marché la semaine du 21 juillet et depuis d'autres viennent s'ajouter spontanément. Avec la pétition en ligne, nous espérons en avoir au moins 1000 en tout!
Merci de diffuser l’info là où vous croyez qu’elle pourra être entendue.
----- Message d'origine ----- Nous habitons réellement en Absurdistan ! Un témoignage ( parmi tant d'autres),dans l'édition du Soir de ce 01 août, http://www.lesoir.be/actualite/belgique/angelica-le-recit-de-la-fuite-2007-08-01-542522.shtml
----- Message d'origine -----
Quand je lis des choses comme ça j'en ai des frissons. Une chance que la société change mais il reste de grandes lacunes. La femme n'a droit à aucune erreur mais l'homme dans plusieus situations est peu de fois pris en faute, il faut qu'il en fasse des conneries avant qu'il soit pénalisé devant les tribunaux. Et entre deux actes, qui est la plupart du temps, brutalisée, blessée et bien des fois y perd la vie, la femme.
----- Message d'origine ----- En effet Martine, cette nouvelle ne me réjouit pas. Un scénario trop courant, répété dans des mises en scènes souvent différentes. A chaque fois, c’est l’humiliation et le découragement. Cette femme avait pu échapper à la violence et en protéger ses enfants… ils sont pris en otage par le bourreau!
----- Message d'origine ----- Voici une nouvelle qui ne va pas te réjouir Françoise:
Hospitalisée en 2003 après avoir été victime de violences de la part de son mari, Aynour B. avait été orientée par les services sociaux vers l'association d'aide aux femmes battues Sedire, à Dunkerque. Elle a été hébergée pendant 7 mois par cette structure avec ses enfants, et pour se protéger n'a pas communiqué sa nouvelle adresse à son mari. Elle avait ensuite déposé plainte pour violences, plainte classée sans suite en raison du départ de son mari pour la Turquie. Hier le tribunal correctionnel de Dunkerque, sur plainte de cet homme, l'a reconnue coupable de "soustraction d'enfants" et l'a condamnée à trois mois de prison avec sursis. La décision de la cour a bien sûr déclenché la colère des associations qui se battent sans relâche pour aider et soutenir ces femmes en détresse.
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Marie-Ange Belgique |
Posté le: 1/8/2007 05:23 | Sujet du message: RE: In - justice | |
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Nous habitons réellement en Absurdistan ! Un témoignage ( parmi tant d'autres),dans l'édition du Soir de ce 01 août, http://www.lesoir.be/actualite/belgique/angelica-le-recit-de-la-fuite-2007-08-01-542522.shtml
----- Message d'origine -----
Quand je lis des choses comme ça j'en ai des frissons. Une chance que la société change mais il reste de grandes lacunes. La femme n'a droit à aucune erreur mais l'homme dans plusieus situations est peu de fois pris en faute, il faut qu'il en fasse des conneries avant qu'il soit pénalisé devant les tribunaux. Et entre deux actes, qui est la plupart du temps, brutalisée, blessée et bien des fois y perd la vie, la femme.
----- Message d'origine ----- En effet Martine, cette nouvelle ne me réjouit pas. Un scénario trop courant, répété dans des mises en scènes souvent différentes. A chaque fois, c’est l’humiliation et le découragement. Cette femme avait pu échapper à la violence et en protéger ses enfants… ils sont pris en otage par le bourreau!
----- Message d'origine ----- Voici une nouvelle qui ne va pas te réjouir Françoise:
Hospitalisée en 2003 après avoir été victime de violences de la part de son mari, Aynour B. avait été orientée par les services sociaux vers l'association d'aide aux femmes battues Sedire, à Dunkerque. Elle a été hébergée pendant 7 mois par cette structure avec ses enfants, et pour se protéger n'a pas communiqué sa nouvelle adresse à son mari. Elle avait ensuite déposé plainte pour violences, plainte classée sans suite en raison du départ de son mari pour la Turquie. Hier le tribunal correctionnel de Dunkerque, sur plainte de cet homme, l'a reconnue coupable de "soustraction d'enfants" et l'a condamnée à trois mois de prison avec sursis. La décision de la cour a bien sûr déclenché la colère des associations qui se battent sans relâche pour aider et soutenir ces femmes en détresse.
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Olivette Canada |
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Quand je lis des choses comme ça j'en ai des frissons. Une chance que la société change mais il reste de grandes lacunes. La femme n'a droit à aucune erreur mais l'homme dans plusieus situations est peu de fois pris en faute, il faut qu'il en fasse des conneries avant qu'il soit pénalisé devant les tribunaux. Et entre deux actes, qui est la plupart du temps, brutalisée, blessée et bien des fois y perd la vie, la femme.
----- Message d'origine ----- En effet Martine, cette nouvelle ne me réjouit pas. Un scénario trop courant, répété dans des mises en scènes souvent différentes. A chaque fois, c’est l’humiliation et le découragement. Cette femme avait pu échapper à la violence et en protéger ses enfants… ils sont pris en otage par le bourreau!
----- Message d'origine ----- Voici une nouvelle qui ne va pas te réjouir Françoise:
Hospitalisée en 2003 après avoir été victime de violences de la part de son mari, Aynour B. avait été orientée par les services sociaux vers l'association d'aide aux femmes battues Sedire, à Dunkerque. Elle a été hébergée pendant 7 mois par cette structure avec ses enfants, et pour se protéger n'a pas communiqué sa nouvelle adresse à son mari. Elle avait ensuite déposé plainte pour violences, plainte classée sans suite en raison du départ de son mari pour la Turquie. Hier le tribunal correctionnel de Dunkerque, sur plainte de cet homme, l'a reconnue coupable de "soustraction d'enfants" et l'a condamnée à trois mois de prison avec sursis. La décision de la cour a bien sûr déclenché la colère des associations qui se battent sans relâche pour aider et soutenir ces femmes en détresse.
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Françoise Belgique |
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En effet Martine, cette nouvelle ne me réjouit pas. Un scénario trop courant, répété dans des mises en scènes souvent différentes. A chaque fois, c’est l’humiliation et le découragement. Cette femme avait pu échapper à la violence et en protéger ses enfants… ils sont pris en otage par le bourreau!
----- Message d'origine ----- Voici une nouvelle qui ne va pas te réjouir Françoise:
Hospitalisée en 2003 après avoir été victime de violences de la part de son mari, Aynour B. avait été orientée par les services sociaux vers l'association d'aide aux femmes battues Sedire, à Dunkerque. Elle a été hébergée pendant 7 mois par cette structure avec ses enfants, et pour se protéger n'a pas communiqué sa nouvelle adresse à son mari. Elle avait ensuite déposé plainte pour violences, plainte classée sans suite en raison du départ de son mari pour la Turquie. Hier le tribunal correctionnel de Dunkerque, sur plainte de cet homme, l'a reconnue coupable de "soustraction d'enfants" et l'a condamnée à trois mois de prison avec sursis. La décision de la cour a bien sûr déclenché la colère des associations qui se battent sans relâche pour aider et soutenir ces femmes en détresse.
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Martine France |
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Voici une nouvelle qui ne va pas te réjouir Françoise:
Hospitalisée en 2003 après avoir été victime de violences de la part de son mari, Aynour B. avait été orientée par les services sociaux vers l'association d'aide aux femmes battues Sedire, à Dunkerque. Elle a été hébergée pendant 7 mois par cette structure avec ses enfants, et pour se protéger n'a pas communiqué sa nouvelle adresse à son mari. Elle avait ensuite déposé plainte pour violences, plainte classée sans suite en raison du départ de son mari pour la Turquie. Hier le tribunal correctionnel de Dunkerque, sur plainte de cet homme, l'a reconnue coupable de "soustraction d'enfants" et l'a condamnée à trois mois de prison avec sursis. La décision de la cour a bien sûr déclenché la colère des associations qui se battent sans relâche pour aider et soutenir ces femmes en détresse.
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