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Bernard Belgique |
Posté le: 21/6/2007 03:00 | Sujet du message: RE: Tresses: suite Elisa à l'Elysée | |
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Oui, mais che(le)veux bien.
----- Message d'origine ----- C'est tiré par les cheveux...
----- Message d'origine -----
Quoi dire de plus sur mes tresses à part que j'en ai tresse à la douzaine
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Jilber France |
Posté le: 20/6/2007 20:34 | Sujet du message: RE: Tresses: suite Elisa à l'Elysée | |
| Site Internet: http://jilber.fr |
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C'est tiré par les cheveux...
----- Message d'origine -----
Quoi dire de plus sur mes tresses à part que j'en ai tresse à la douzaine |
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&lise France |
Posté le: 20/6/2007 10:20 | Sujet du message: RE: Tresses: suite Elisa à l'Elysée | |
Email: elise@jilber.fr | |
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Quoi dire de plus sur mes tresses à part que j'en ai tresse à la douzaine ----- Message d'origine ----- Réponse à Jilbert prince de Champigneulles suite à son texte sur les tresses dans le blog.
Quelle détresse serait-ce pour moi de voir notre Elise , notre Elisa sans tresses, elle serait, la pauvresse, dépossédée de sa joliesse, bien que ses tresses ne représentent quand même qu'un zeste de ses attraits de bougresse. Et quand avec adresse, elle lie tout en souplesse les 2 bottes de ses tresses, il me semble voir une antique et jeune déesse de la Gréce, du Péloponèse ou de Bourg en Bresse: ces pays où naissent à foison les muses, les déesses, les oiselles et les tendrons aux yeux de braise et aux cous longs. Julos |
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babel France |
Posté le: 20/6/2007 05:17 | Sujet du message: RE: Tresses: suite Elisa à l'Elysée | |
Email: babel@etoiles.net | |
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Ouf, quelle détresse, j'avais cru presse-que, que Élise avait détressé ses tresses Si les tresses d'Élise se détressaient, avec quelle stress les retressiorons-nous ? mazette, quel pataquès ! Déjà que sous ce chaud, je perds mon cerveau, à en jouer une nuit dans un mont intérieurement chauve, je me faisais des cheveux, mézigue, avec cette histoire……… |
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Julos Beaucarne France |
Posté le: 20/6/2007 00:53 | Sujet du message: Tresses: suite Elisa à l'Elysée | |
Email: pagodes@julos.be | |
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Réponse à Jilbert prince de Champigneulles suite à son texte sur les tresses dans le blog.
Quelle détresse serait-ce pour moi de voir notre Elise , notre Elisa sans tresses, elle serait, la pauvresse, dépossédée de sa joliesse, bien que ses tresses ne représentent quand même qu'un zeste de ses attraits de bougresse. Et quand avec adresse, elle lie tout en souplesse les 2 bottes de ses tresses, il me semble voir une antique et jeune déesse de la Gréce, du Péloponèse ou de Bourg en Bresse: ces pays où naissent à foison les muses, les déesses, les oiselles et les tendrons aux yeux de braise et aux cous longs. Julos |
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