Ce matin aux infos, j'ai entendu que le ministre Dardenne promettait de débloquer des finances pour améliorer les pistes cyclabes et le Ravel en Wallonie : A suivre
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Mmmmmh... chais pas... pourquoi gratuit ? Rien n'est gratuit... Diviser par deux, d'accord. Mais gratuit, non. C'est pas non plus parce qu'il faut payer son abonnement qu'il y a la pauvreté, ça frôle l'amalgame. A ce train-là il faudrait aussi donner tinternet à tout le monde, et aussi un bic et un crayon, et aussi, et aussi... Mmmmh, l'église au milieu du village quand même. Certains disent aussi que rendre gratuit les transports en commun déresponsabiliserait beaucoup trop les gens, mais là je ne fais que répéter, je n'en sais rien en fait, je n'ai pas fait des études de sociologie. Mais bon, je chicane, je chicane, bien évidemment que c'est sans doute une direction à prendre. Amen.
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Allez mon cher Bernard… Si tu te mets sur les listes aux prochaines élections et que tu promets un vélo à chacun et des transports en commun gratuits…. Je vote pour toi…. Promis ! Mais attention…. Après…. je contrôle que chacun ai bien son vélo, que tu organises des pistes cyclables pour relier la méditerranée et que les bus, trains et avions sont gratuits.
Tiens …à propos….va voir sur http://petitions.agora.eu.org/libreparcours/index.html
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Je me relis, ouais, bon, pas de malentendu hein, Bush... moi aussi je lui dis aussi beuuuurk... que ce soit clair...
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Merci, Marie-Ange pour ce texte, moi aussi j'adore ! Un peu le style François Béranger. Sous les ponts de Paris coule la Seine, et la...
Tout-à-fait vrai aussi, Jenofa, ce que tu dis, celui qui ne fait que revendiquer, c'est qu'il ne sait pas profiter de la vie, et s'il ne sait pas profiter de la vie, ma foi, à quoi sert-il de la vivre...
C'est pourquoi aussi, autant la mono-politique-poly n'est pas ma tasse de thé, autant je trouve que c'est trop facile, trop politiquement correct même - quelle horreur ! - de leur tirer constamment dessus, fusse-t-il Bush, mon cher Julos. Car celui qui n'est pas d'accord, eh bien "yaka" le faire lui-même !
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Superbe!
Comme je le vis, ce texte!
J'ai la sensation, bien que ne l'ayant pas écrit, de le porter en moi depuis que je suis sortie du ventre de ma mère et peut-être même avant, allez savoir!
Mais cette rage, cette colère qui, pour ne pas devenir haine et déni, ont besoin, un besoin vital de ce jardin intérieur ou bien extérieur, me conduit à l'action. A mettre en quelque sorte, les mains dans le cambouis.
L'action a sans doute besoin d'être la fille de la rage comme elle se doit d'être la soeur du rêve.Je suis Verte de rage, de colère d'idignation, mais aussi d'émerveillement, de rêve et d'amour.
Et lors de cette campagne électorale dont je suis l'une des actrices à mon petit niveau, j'ai encore ressenti à quel point travailler ensemble à un même projet avec des amis, sincères et au coeur grand comme ça, pouvait être source de joie. Et oui, la politique source de vraie joie pleine! Je sais que je vais en étonner certains!
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Vert de rage (Yane Malléjac Jégou/Olivier Trévidy)
Olivier Trévidy , barde breton
http://www.trevidy.fr/
Je crache sur vos villes
Et je hais vos cités
Et de plus j’abomine
Tout vos supermarchés
« Marina » pieds dans l’eau
Et « Merlin « sur vos plages
Me laissent le coeur gros
Et j’en crève de rage
Vous nous volez le ciel
Détruisez l’horizon
Par vos “Créteil soleil”
Et vos murs de béton
Vous creusez sans pitié
Le ventre de la terre
En l’entendant crier
Je ne peux plus me taire
Il vous faut aujourd’hui
Supprimer les pigeons
Sans pitié c’est ainsi
Ils portent la pollution
Alors que vous videz
Votre maudit pétrole
A côté de Calais
Ou des plages bretonnes
Vous nous parlez d’argent
De profit et de sexe
Et en cinémascope
Vous nous montrez vos fesses
Vous salissez l’amour
Etouffez la tendresse
Heureusement pour moi
Il me reste un jardin
Petit morceau de terre
Où poussent des sapins
Au matin sur leurs branches
Chantent les tourterelles
Au-dessus de mon toit
Vogue un morceau de ciel
C’est ici chaque jour
Que je me débarrasse
De vos honteux discours
Enfin de votre crasse
C’en est fini messieurs
Je vous laisse la place
Vous allez vous détruire
Et de vos propres mains
Assis sur vos dollars
Vous tremblerez de peur
Quand l’homme rendra l’homme
A sa juste valeur
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