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Auteur Message
   Trier par date décroissante
nayan
Posté le:
2/2/2007 15:47
Sujet du message:
Vers l'infini
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Email:
dzairtik@hotmail.com
 
L'amour est aussi le vide
Qui remplie l'espace
Il s'éclaire d'étoiles
Filantes vers l'infini

Mes étoiles filantes
Volent de leurs ailes
L'amour se déploie
Dans le vide vers l'infini

Volez belles demoiselles
Vers le ciel qui vous appellent
L'amour donne des élans
Et berce tout le temps

nayan
 

Agnès
Royaume-Uni
Posté le:
2/2/2007 22:45
Sujet du message:
Vénus
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Email:
zen23512@zen.co.uk
 
Vous souvenez vous de l’intensité de la présence de Peter O’Toole quand à trente ans, en 1962, il était Laurence d’Arabie ? Cette présence on la retrouve dans un film merveilleux, Vénus.

Vénus, c’est la tendresse tissée dans le réalisme du corps qui vieillit tandis que l’esprit s’émerveille de beauté comme il le faisait à vingt ans.

Pas facile à traduire, le script poignant d’Hanif Kureishi, je m’imagine. Quand ils se rencontrent, O’Toole demande à Jodie Whittaker quelle carrière elle espère poursuivre à Londres. Whittaker/Vénus répond, la bouche remplie de crisps, ‘Modelling’. Maurice/O’Toole comprend ‘Yodelling’ et cette malentente capture l’espace générationnel exploité con brio par le directeur, Roger Michell.

Vous connaissez la formule : empruntez, volez, mendiez, faites n’importe quoi pour aller le voir ce film.

----- Message d'origine -----
L'amour est aussi le vide
Qui remplie l'espace
Il s'éclaire d'étoiles
Filantes vers l'infini

Mes étoiles filantes
Volent de leurs ailes
L'amour se déploie
Dans le vide vers l'infini

Volez belles demoiselles
Vers le ciel qui vous appellent
L'amour donne des élans
Et berce tout le temps

nayan
 

François
Grèce
Posté le:
3/2/2007 01:36
Sujet du message:
RE: Vénus
Répondre            
Email:
francois.laur@wanadoo.fr
 
Corps accrochés qu'expose le vivier, chacun s'asphyxiant au contour de sa peur, n'endurons-nous cet effroi du linteau que pour laisser les reliquats plonger à leur tour dans l'affre ? Secousse, compénétration, d'un râle naît et s'abolit l'enfance.

Bave brûlante aux commissures, muscles roidis, langues mordues, corps violents, convulsés, sans mémoire : une présomption de basalte tourne au sommeil le plus morbide.

Qui sort de la rade n'est plus celui qui n'avait pas quitté le quai. Quelle rive inconnue se fera tout accueil pour celui qui n'avait pas quitté le pont ? Parviendra-t-il à tolérer quelque rêveuse flottaison légère ?

Toi qui m'as fait naître autre sang autre peau lorsque l'air s'effritait, ouvert la chance, offert le privilège des chemins, toi musicienne de musiques aux étranges silences où montaient confiance et promesse - tes oasis et tes îles nouvelles ignorées du savoir et de ma folie, pèlerin sans coquille ni bourdon du mystère je les découvrirai entre songe et souvenir de songe - sauvageries, couleurs, parfums, passions (in dreams begin responsabilities), oublieux de l'angoisse garrottante, du gouffre. Il n'y aura pas de nostalgie. L'amour nouveau réduit l'antan : la levée des brouillards donne envie de se fondre dans les bleus et verts révélés.


----- Message d'origine -----
Vous souvenez vous de l’intensité de la présence de Peter O’Toole quand à trente ans, en 1962, il était Laurence d’Arabie ? Cette présence on la retrouve dans un film merveilleux, Vénus.

Vénus, c’est la tendresse tissée dans le réalisme du corps qui vieillit tandis que l’esprit s’émerveille de beauté comme il le faisait à vingt ans.

Pas facile à traduire, le script poignant d’Hanif Kureishi, je m’imagine. Quand ils se rencontrent, O’Toole demande à Jodie Whittaker quelle carrière elle espère poursuivre à Londres. Whittaker/Vénus répond, la bouche remplie de crisps, ‘Modelling’. Maurice/O’Toole comprend ‘Yodelling’ et cette malentente capture l’espace générationnel exploité con brio par le directeur, Roger Michell.

Vous connaissez la formule : empruntez, volez, mendiez, faites n’importe quoi pour aller le voir ce film.

----- Message d'origine -----
L'amour est aussi le vide
Qui remplie l'espace
Il s'éclaire d'étoiles
Filantes vers l'infini

Mes étoiles filantes
Volent de leurs ailes
L'amour se déploie
Dans le vide vers l'infini

Volez belles demoiselles
Vers le ciel qui vous appellent
L'amour donne des élans
Et berce tout le temps

nayan

 

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