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anouk Belgique |
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Etre et rester naïf, est-ce une preuve de rester jeune, de ne pas vieillir . . .peut être, sans doute. . . qui sait ?
----- Message d'origine ----- Je n'ai pas conservé de copie de mon "avis", je suis si naïf que je croyais le voir publié et je suis si naïf encore d'espérer qu'il y soit bientôt, ainsi que tous les autres d'ailleurs... Liberté d'expression? |
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Jilber France |
Posté le: 11/1/2007 02:38 | Sujet du message: RE: Contribution pour Julos | |
| Site Internet: http://jilber.fr |
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Je n'ai pas conservé de copie de mon "avis", je suis si naïf que je croyais le voir publié et je suis si naïf encore d'espérer qu'il y soit bientôt, ainsi que tous les autres d'ailleurs... Liberté d'expression? |
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Francine Belgique |
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Oui moi aussi j'ai réagis sur le site Evene,le message disait a peu près ceci:
Julos Beaucarne est un être qui as compris beaucoup de choses, et qui non seulement dit certaines choses, mais essaye en toute humilité de les vivre et de les partager. de ce fait il est ouvert au monde. Ce qui est important pour Julos c'est la circulation de la parole et ou se situent les limites de notre monde. C'est un être qui est a la bonne place au bon moment, les textes de ces chansons sont très interpellantes et Julos fait preuve de créativité en matière de partage pour qui est prèt et a envie de partager avec lui et tout un chacun. Julos est plus qu'actuel, c'est un poète fabuleux, et un être de joie! Il est lui tout simplement!
L'important c'est qu'on a pu témoigner ce que l'on partage ensemble par rapport a Julos. Nous ne connaissons pas a l'avance la bonne question a poser, et souvent nous ne la trouvons qu'au moment ou nous touchons une réponse...
Francine
----- Message d'origine ----- Nous avons été quelques uns à réagir à différents papiers sur le net, au sujet de Julos. Ces réactions ont parfois été confiées à l'oubli, qui, lui, retient tout dans ses plis. Alors, si vous avez posté un message ainsi négligé, n"hésitez pas ! Replacez-le ici, sur le forum, en indiquant quel site a ainsi "perdu par mégarde" votre point de vue.... voici ainsi ce que j'ai écrit en vain au site evene.fr, si vous avez connu semblable aventure...donnez-à vos mots une seconde chance d'être lus !
Chapitre UN M. Demets ne doit pas vraiment écouter son temps, trop occupé par une tendance qui tangue et danse parce que c’est l’heure de le faire. « … le chanteur ne fait rien pour séduire les réticents… ». C’est touffu, c’est tout faux ! Qui ne séduit pas n’a pas de public ! Selon ce critique, l’avantage de cet album est de ne pas déranger. Mais ne rien déranger est l’art de la tendance. Si vous vouliez des chansons sur des questions actuellement chantées, reportez-vous aux albums de Julos Beaucarne des années 90. Vous y trouverez le foulard islamique, le sida : mais à l’époque, ça ne faisait pas beaucoup de bruit… Pour d’autres questions actuelles, c’est le « Jaseur 2006». Il y chante l'Alzheimer, la maladie, mais oh, c’est la grande cause nationale de santé cette année…Il y chante ce nécessaire reflet du beau dans la vie. Cependant, (oublieux de ses coups de cœur ?) notre critique dit que les poètes sont « désuets au XXIe siècle », cela doit venir ou bien d’une scolarité ratée, ou bien d’un abus d’alexandrins de boutiquiers à la rime facile, scandés avec une rage feinte, je veux dire, le rap et autres bluettes. Ah la profonde poésie où « rime avec crime cime abime — le « ^ » c’est has been, Sabine ! - ; amour toujours Mansour ; ciel bleu tes yeux ; si t’es cité, à la cité, à comparaître t’es cité ! ». Savez-vous qui est cité dans les dernières éditions du célèbre dico de rimes ? Julos Beaucarne !
Chapitre deux Je voudrais qu’on m’explique aussi : « délires new-age parfois sibyllins », parce que cette langue de bois parfois parisienne, souvent rotative – en terme de presse - je ne la parle pas. Ce doit être « L’eau ». Ciel, mais on n’a pas traité Julos Beaucarne d’écolo ? Ah ! C’est devenu à la mode, pour remiser l’album, évitons d’en dire du bien ! Pour l’eau, svp, reportez-vous aux dernières études, et rendez-vous en été 2007, pas à Paris-Plage, ni devant un frigo à glaçons dans un spa climatisé, mais à Alger aux robinets secs. Idem, quelle myopie pour le lien entre « Les Zinnekes » et « Jaures » : certes, deux auteurs belges, mais quelle parenté entre le zoom sur les hommes serrés autour d’un grand défunt, et cette foule anonyme de zinneken d’aujourd’hui ? Encore une précision, Julos Beaucarne a bien des répétiteurs qui s’en vont citant l’un ou l’autre de ses vers, sans guillemets, bien sûr. Autoproduit avant les coupes sombres des majors pompées par le MP3, Julos Beaucarne ne fait pas de promo paillettes. Pas d’attaché de presse pour lui décocher une place chez un chroniqueur TV : donc, on le déclasse. Mais alors, pourquoi ces « fans » dont parle le début du papier. Vé, c’est un coup du sort ! On a le droit de ne pas aimer, mais de là à dire n’importe quoi… Je ne sais ce qui bouche les oreilles, ces jours, le cérumen, les petits fours ou les promesses d’ascenseurs à renvoyer, mais visiblement, à moins de cracher dans la soupe ou bien au bassinet, rien ne s’entend… |
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Olivette Canada |
Posté le: 10/1/2007 11:09 | Sujet du message: RE: Contribution pour Julos | |
Email: oluce@videotron.ca | |
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J'ai envoyé un message, je ne sais s'il a été publié, je ne sais plus trop l'écrit mais je disais que Julos chantais la paix, l'amour, la terre, qu'il était plus doux d'entendre ces mots que les cris et hurlements de haine, de rage.
----- Message d'origine ----- Certes, Julos Beaucarne n'est pas tonitruant : ni singe, ni loup, il ne hurle. Raison pourquoi, sans doute, les médis durs d'oreille ne l'entendent guère. Julos Beaucarne est un funambule du verbe, un agenceur de mots et sons fragiles ; soit : un poète. Ses textes et chansons explorent, avec l'humour et la pudeur des pointillés, un monde où serait enfin possible le vivre-avec - le concert -, en rimes ou pas et sans résonances sempiternelles de canons, mortiers mortifères et autres règles audimateuses préparant les cerveaux (ce qui en reste) à la consommation, goulue de la bouteille et/ou spirituelle, du Coca-Cola. En cela, probablement est-il trop "résolument moderne", selon le souhait de Rimbaud, et par là passe-t-il inaperçu de ceux qui ont déjà trop honte d'eux-mêmes pour trouver d'autres miroirs que les "variétés" télévisuelles, si variées qu'elles ne sont, chaque fois, que l'exacte copie de celles de la veille. Julos Beaucarne a compris, lui, que "tout le temps qui n'est pas consacré à l'amour est perdu" (Le Tasse) et se voue à l'ensorcelante douceur ; il ne perd pas son temps, fait exulter le nôtre.
----- Message d'origine ----- Nous avons été quelques uns à réagir à différents papiers sur le net, au sujet de Julos. Ces réactions ont parfois été confiées à l'oubli, qui, lui, retient tout dans ses plis. Alors, si vous avez posté un message ainsi négligé, n"hésitez pas ! Replacez-le ici, sur le forum, en indiquant quel site a ainsi "perdu par mégarde" votre point de vue.... voici ainsi ce que j'ai écrit en vain au site evene.fr, si vous avez connu semblable aventure...donnez-à vos mots une seconde chance d'être lus !
Chapitre UN M. Demets ne doit pas vraiment écouter son temps, trop occupé par une tendance qui tangue et danse parce que c’est l’heure de le faire. « … le chanteur ne fait rien pour séduire les réticents… ». C’est touffu, c’est tout faux ! Qui ne séduit pas n’a pas de public ! Selon ce critique, l’avantage de cet album est de ne pas déranger. Mais ne rien déranger est l’art de la tendance. Si vous vouliez des chansons sur des questions actuellement chantées, reportez-vous aux albums de Julos Beaucarne des années 90. Vous y trouverez le foulard islamique, le sida : mais à l’époque, ça ne faisait pas beaucoup de bruit… Pour d’autres questions actuelles, c’est le « Jaseur 2006». Il y chante l'Alzheimer, la maladie, mais oh, c’est la grande cause nationale de santé cette année…Il y chante ce nécessaire reflet du beau dans la vie. Cependant, (oublieux de ses coups de cœur ?) notre critique dit que les poètes sont « désuets au XXIe siècle », cela doit venir ou bien d’une scolarité ratée, ou bien d’un abus d’alexandrins de boutiquiers à la rime facile, scandés avec une rage feinte, je veux dire, le rap et autres bluettes. Ah la profonde poésie où « rime avec crime cime abime — le « ^ » c’est has been, Sabine ! - ; amour toujours Mansour ; ciel bleu tes yeux ; si t’es cité, à la cité, à comparaître t’es cité ! ». Savez-vous qui est cité dans les dernières éditions du célèbre dico de rimes ? Julos Beaucarne !
Chapitre deux Je voudrais qu’on m’explique aussi : « délires new-age parfois sibyllins », parce que cette langue de bois parfois parisienne, souvent rotative – en terme de presse - je ne la parle pas. Ce doit être « L’eau ». Ciel, mais on n’a pas traité Julos Beaucarne d’écolo ? Ah ! C’est devenu à la mode, pour remiser l’album, évitons d’en dire du bien ! Pour l’eau, svp, reportez-vous aux dernières études, et rendez-vous en été 2007, pas à Paris-Plage, ni devant un frigo à glaçons dans un spa climatisé, mais à Alger aux robinets secs. Idem, quelle myopie pour le lien entre « Les Zinnekes » et « Jaures » : certes, deux auteurs belges, mais quelle parenté entre le zoom sur les hommes serrés autour d’un grand défunt, et cette foule anonyme de zinneken d’aujourd’hui ? Encore une précision, Julos Beaucarne a bien des répétiteurs qui s’en vont citant l’un ou l’autre de ses vers, sans guillemets, bien sûr. Autoproduit avant les coupes sombres des majors pompées par le MP3, Julos Beaucarne ne fait pas de promo paillettes. Pas d’attaché de presse pour lui décocher une place chez un chroniqueur TV : donc, on le déclasse. Mais alors, pourquoi ces « fans » dont parle le début du papier. Vé, c’est un coup du sort ! On a le droit de ne pas aimer, mais de là à dire n’importe quoi… Je ne sais ce qui bouche les oreilles, ces jours, le cérumen, les petits fours ou les promesses d’ascenseurs à renvoyer, mais visiblement, à moins de cracher dans la soupe ou bien au bassinet, rien ne s’entend…
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François France |
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Certes, Julos Beaucarne n'est pas tonitruant : ni singe, ni loup, il ne hurle. Raison pourquoi, sans doute, les médis durs d'oreille ne l'entendent guère. Julos Beaucarne est un funambule du verbe, un agenceur de mots et sons fragiles ; soit : un poète. Ses textes et chansons explorent, avec l'humour et la pudeur des pointillés, un monde où serait enfin possible le vivre-avec - le concert -, en rimes ou pas et sans résonances sempiternelles de canons, mortiers mortifères et autres règles audimateuses préparant les cerveaux (ce qui en reste) à la consommation, goulue de la bouteille et/ou spirituelle, du Coca-Cola. En cela, probablement est-il trop "résolument moderne", selon le souhait de Rimbaud, et par là passe-t-il inaperçu de ceux qui ont déjà trop honte d'eux-mêmes pour trouver d'autres miroirs que les "variétés" télévisuelles, si variées qu'elles ne sont, chaque fois, que l'exacte copie de celles de la veille. Julos Beaucarne a compris, lui, que "tout le temps qui n'est pas consacré à l'amour est perdu" (Le Tasse) et se voue à l'ensorcelante douceur ; il ne perd pas son temps, fait exulter le nôtre.
----- Message d'origine ----- Nous avons été quelques uns à réagir à différents papiers sur le net, au sujet de Julos. Ces réactions ont parfois été confiées à l'oubli, qui, lui, retient tout dans ses plis. Alors, si vous avez posté un message ainsi négligé, n"hésitez pas ! Replacez-le ici, sur le forum, en indiquant quel site a ainsi "perdu par mégarde" votre point de vue.... voici ainsi ce que j'ai écrit en vain au site evene.fr, si vous avez connu semblable aventure...donnez-à vos mots une seconde chance d'être lus !
Chapitre UN M. Demets ne doit pas vraiment écouter son temps, trop occupé par une tendance qui tangue et danse parce que c’est l’heure de le faire. « … le chanteur ne fait rien pour séduire les réticents… ». C’est touffu, c’est tout faux ! Qui ne séduit pas n’a pas de public ! Selon ce critique, l’avantage de cet album est de ne pas déranger. Mais ne rien déranger est l’art de la tendance. Si vous vouliez des chansons sur des questions actuellement chantées, reportez-vous aux albums de Julos Beaucarne des années 90. Vous y trouverez le foulard islamique, le sida : mais à l’époque, ça ne faisait pas beaucoup de bruit… Pour d’autres questions actuelles, c’est le « Jaseur 2006». Il y chante l'Alzheimer, la maladie, mais oh, c’est la grande cause nationale de santé cette année…Il y chante ce nécessaire reflet du beau dans la vie. Cependant, (oublieux de ses coups de cœur ?) notre critique dit que les poètes sont « désuets au XXIe siècle », cela doit venir ou bien d’une scolarité ratée, ou bien d’un abus d’alexandrins de boutiquiers à la rime facile, scandés avec une rage feinte, je veux dire, le rap et autres bluettes. Ah la profonde poésie où « rime avec crime cime abime — le « ^ » c’est has been, Sabine ! - ; amour toujours Mansour ; ciel bleu tes yeux ; si t’es cité, à la cité, à comparaître t’es cité ! ». Savez-vous qui est cité dans les dernières éditions du célèbre dico de rimes ? Julos Beaucarne !
Chapitre deux Je voudrais qu’on m’explique aussi : « délires new-age parfois sibyllins », parce que cette langue de bois parfois parisienne, souvent rotative – en terme de presse - je ne la parle pas. Ce doit être « L’eau ». Ciel, mais on n’a pas traité Julos Beaucarne d’écolo ? Ah ! C’est devenu à la mode, pour remiser l’album, évitons d’en dire du bien ! Pour l’eau, svp, reportez-vous aux dernières études, et rendez-vous en été 2007, pas à Paris-Plage, ni devant un frigo à glaçons dans un spa climatisé, mais à Alger aux robinets secs. Idem, quelle myopie pour le lien entre « Les Zinnekes » et « Jaures » : certes, deux auteurs belges, mais quelle parenté entre le zoom sur les hommes serrés autour d’un grand défunt, et cette foule anonyme de zinneken d’aujourd’hui ? Encore une précision, Julos Beaucarne a bien des répétiteurs qui s’en vont citant l’un ou l’autre de ses vers, sans guillemets, bien sûr. Autoproduit avant les coupes sombres des majors pompées par le MP3, Julos Beaucarne ne fait pas de promo paillettes. Pas d’attaché de presse pour lui décocher une place chez un chroniqueur TV : donc, on le déclasse. Mais alors, pourquoi ces « fans » dont parle le début du papier. Vé, c’est un coup du sort ! On a le droit de ne pas aimer, mais de là à dire n’importe quoi… Je ne sais ce qui bouche les oreilles, ces jours, le cérumen, les petits fours ou les promesses d’ascenseurs à renvoyer, mais visiblement, à moins de cracher dans la soupe ou bien au bassinet, rien ne s’entend… |
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babel |
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Nous avons été quelques uns à réagir à différents papiers sur le net, au sujet de Julos. Ces réactions ont parfois été confiées à l'oubli, qui, lui, retient tout dans ses plis. Alors, si vous avez posté un message ainsi négligé, n"hésitez pas ! Replacez-le ici, sur le forum, en indiquant quel site a ainsi "perdu par mégarde" votre point de vue.... voici ainsi ce que j'ai écrit en vain au site evene.fr, si vous avez connu semblable aventure...donnez-à vos mots une seconde chance d'être lus !
Chapitre UN M. Demets ne doit pas vraiment écouter son temps, trop occupé par une tendance qui tangue et danse parce que c’est l’heure de le faire. « … le chanteur ne fait rien pour séduire les réticents… ». C’est touffu, c’est tout faux ! Qui ne séduit pas n’a pas de public ! Selon ce critique, l’avantage de cet album est de ne pas déranger. Mais ne rien déranger est l’art de la tendance. Si vous vouliez des chansons sur des questions actuellement chantées, reportez-vous aux albums de Julos Beaucarne des années 90. Vous y trouverez le foulard islamique, le sida : mais à l’époque, ça ne faisait pas beaucoup de bruit… Pour d’autres questions actuelles, c’est le « Jaseur 2006». Il y chante l'Alzheimer, la maladie, mais oh, c’est la grande cause nationale de santé cette année…Il y chante ce nécessaire reflet du beau dans la vie. Cependant, (oublieux de ses coups de cœur ?) notre critique dit que les poètes sont « désuets au XXIe siècle », cela doit venir ou bien d’une scolarité ratée, ou bien d’un abus d’alexandrins de boutiquiers à la rime facile, scandés avec une rage feinte, je veux dire, le rap et autres bluettes. Ah la profonde poésie où « rime avec crime cime abime — le « ^ » c’est has been, Sabine ! - ; amour toujours Mansour ; ciel bleu tes yeux ; si t’es cité, à la cité, à comparaître t’es cité ! ». Savez-vous qui est cité dans les dernières éditions du célèbre dico de rimes ? Julos Beaucarne !
Chapitre deux Je voudrais qu’on m’explique aussi : « délires new-age parfois sibyllins », parce que cette langue de bois parfois parisienne, souvent rotative – en terme de presse - je ne la parle pas. Ce doit être « L’eau ». Ciel, mais on n’a pas traité Julos Beaucarne d’écolo ? Ah ! C’est devenu à la mode, pour remiser l’album, évitons d’en dire du bien ! Pour l’eau, svp, reportez-vous aux dernières études, et rendez-vous en été 2007, pas à Paris-Plage, ni devant un frigo à glaçons dans un spa climatisé, mais à Alger aux robinets secs. Idem, quelle myopie pour le lien entre « Les Zinnekes » et « Jaures » : certes, deux auteurs belges, mais quelle parenté entre le zoom sur les hommes serrés autour d’un grand défunt, et cette foule anonyme de zinneken d’aujourd’hui ? Encore une précision, Julos Beaucarne a bien des répétiteurs qui s’en vont citant l’un ou l’autre de ses vers, sans guillemets, bien sûr. Autoproduit avant les coupes sombres des majors pompées par le MP3, Julos Beaucarne ne fait pas de promo paillettes. Pas d’attaché de presse pour lui décocher une place chez un chroniqueur TV : donc, on le déclasse. Mais alors, pourquoi ces « fans » dont parle le début du papier. Vé, c’est un coup du sort ! On a le droit de ne pas aimer, mais de là à dire n’importe quoi… Je ne sais ce qui bouche les oreilles, ces jours, le cérumen, les petits fours ou les promesses d’ascenseurs à renvoyer, mais visiblement, à moins de cracher dans la soupe ou bien au bassinet, rien ne s’entend… |
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