le forum de julos

Forum créé le 15/10/2003 12:08

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   Trier par date décroissante
Benoît Coppée
Belgique
Posté le:
3/1/2007 02:59
Sujet du message:
ô Julos
Répondre            
Email:
benoit.coppee@skynet.be
 
Julos, je pense beaucoup à toi. Lorsqu’en ces jours-ci des vœux s’échangent à tous vents. Comme des feux d’artifices. Portés par des mains, des ondes, des satellites, des fils, des voix et des joues. Des explosions de désirs et de bienveillances. En ces temps-ci. Et c’est beau. Dans le cœur de certains, c’est chaque jour l’an neuf en son mouvement, tel un hoquet, un sursaut, une difficulté à dormir, qui rappelle à l’amour nécessaire. Dans ton cœur, ô Julos, dans tes mains sur la guitare, dans ton souffle sur l’arc-en-ciel, c’est chaque instant, depuis toujours, instant de souhait, instant de vœux. Tantôt murmurés, tantôt hurlés, tantôt ris, tantôt pleurés. Tes vœux sont toujours tournés vers le ciel pour que les oiseaux entendent et qu’ils contaminent le monde à leur mesure, à leur façon. Ô Julos, toi qui fais de ta vie l’écriture à flux continu de vœux les plus tendres et les plus exigeants. Pour notre Terre et son humanité, tu nous aides à aimer. C’est peut-être cela, le sens du poète : une vie pour écrire des vœux. Voeux les plus tendres et les plus exigeants. Pour l’univers et son humanité. Ô Julos, tu es à la tête d’une multinationale, une fabrique de vœux que nous nous récitons entre nous, que nous nous partageons entre nous, que nous continuons de distiller aux quatre coins. Nous sommes les oiseaux. Tu nous donnes le la. Tu nous offres tes mains et ton souffle. Avec tant d’amour. L’autre nuit, chez des amis, avec deux guitares, nous avons joué et chanté la Lettre à Kissinger. Ta Lettre à Kissinger. J’accompagnais la femme qui chantait. Elle avait quitté le Chili. Elle est restée discrète. Elle connaissait trop bien ce qui s’est passé en septembre septante-trois. Et nos enfants écoutaient. Et c’était beau. Tu vois, ô Julos, nous sommes les oiseaux de l’île nouvelle. A nos mesures. A nos façons. Nous chantons les chansons que tu as mises dans nos cœurs. Et qu’on ne me dise pas que ça ne sert à rien. Avec une larme belle en te le signifiant, je t’envoie mes vœux les plus tendres et les plus exigeants.

Benoît Coppée
 

lol
France
Posté le:
3/1/2007 03:23
Sujet du message:
RE: ô Julos
Répondre            
Email:
ersatz_66@hotmail.com
 
oh oui. merci de dire si bellement ce que nous sommes nombreux à penser et éprouver ici et ailleurs.
lol


----- Message d'origine -----
Julos, je pense beaucoup à toi. Lorsqu’en ces jours-ci des vœux s’échangent à tous vents. Comme des feux d’artifices. Portés par des mains, des ondes, des satellites, des fils, des voix et des joues. Des explosions de désirs et de bienveillances. En ces temps-ci. Et c’est beau. Dans le cœur de certains, c’est chaque jour l’an neuf en son mouvement, tel un hoquet, un sursaut, une difficulté à dormir, qui rappelle à l’amour nécessaire. Dans ton cœur, ô Julos, dans tes mains sur la guitare, dans ton souffle sur l’arc-en-ciel, c’est chaque instant, depuis toujours, instant de souhait, instant de vœux. Tantôt murmurés, tantôt hurlés, tantôt ris, tantôt pleurés. Tes vœux sont toujours tournés vers le ciel pour que les oiseaux entendent et qu’ils contaminent le monde à leur mesure, à leur façon. Ô Julos, toi qui fais de ta vie l’écriture à flux continu de vœux les plus tendres et les plus exigeants. Pour notre Terre et son humanité, tu nous aides à aimer. C’est peut-être cela, le sens du poète : une vie pour écrire des vœux. Voeux les plus tendres et les plus exigeants. Pour l’univers et son humanité. Ô Julos, tu es à la tête d’une multinationale, une fabrique de vœux que nous nous récitons entre nous, que nous nous partageons entre nous, que nous continuons de distiller aux quatre coins. Nous sommes les oiseaux. Tu nous donnes le la. Tu nous offres tes mains et ton souffle. Avec tant d’amour. L’autre nuit, chez des amis, avec deux guitares, nous avons joué et chanté la Lettre à Kissinger. Ta Lettre à Kissinger. J’accompagnais la femme qui chantait. Elle avait quitté le Chili. Elle est restée discrète. Elle connaissait trop bien ce qui s’est passé en septembre septante-trois. Et nos enfants écoutaient. Et c’était beau. Tu vois, ô Julos, nous sommes les oiseaux de l’île nouvelle. A nos mesures. A nos façons. Nous chantons les chansons que tu as mises dans nos cœurs. Et qu’on ne me dise pas que ça ne sert à rien. Avec une larme belle en te le signifiant, je t’envoie mes vœux les plus tendres et les plus exigeants.

Benoît Coppée
 

Léon
France
Posté le:
3/1/2007 10:45
Sujet du message:
RE: ô Julos
Répondre            
 
Oui, c'est beau. J'approuve du fond du coeur.

Léon


----- Message d'origine -----
oh oui. merci de dire si bellement ce que nous sommes nombreux à penser et éprouver ici et ailleurs.
lol


----- Message d'origine -----
Julos, je pense beaucoup à toi. Lorsqu’en ces jours-ci des vœux s’échangent à tous vents. Comme des feux d’artifices. Portés par des mains, des ondes, des satellites, des fils, des voix et des joues. Des explosions de désirs et de bienveillances. En ces temps-ci. Et c’est beau. Dans le cœur de certains, c’est chaque jour l’an neuf en son mouvement, tel un hoquet, un sursaut, une difficulté à dormir, qui rappelle à l’amour nécessaire. Dans ton cœur, ô Julos, dans tes mains sur la guitare, dans ton souffle sur l’arc-en-ciel, c’est chaque instant, depuis toujours, instant de souhait, instant de vœux. Tantôt murmurés, tantôt hurlés, tantôt ris, tantôt pleurés. Tes vœux sont toujours tournés vers le ciel pour que les oiseaux entendent et qu’ils contaminent le monde à leur mesure, à leur façon. Ô Julos, toi qui fais de ta vie l’écriture à flux continu de vœux les plus tendres et les plus exigeants. Pour notre Terre et son humanité, tu nous aides à aimer. C’est peut-être cela, le sens du poète : une vie pour écrire des vœux. Voeux les plus tendres et les plus exigeants. Pour l’univers et son humanité. Ô Julos, tu es à la tête d’une multinationale, une fabrique de vœux que nous nous récitons entre nous, que nous nous partageons entre nous, que nous continuons de distiller aux quatre coins. Nous sommes les oiseaux. Tu nous donnes le la. Tu nous offres tes mains et ton souffle. Avec tant d’amour. L’autre nuit, chez des amis, avec deux guitares, nous avons joué et chanté la Lettre à Kissinger. Ta Lettre à Kissinger. J’accompagnais la femme qui chantait. Elle avait quitté le Chili. Elle est restée discrète. Elle connaissait trop bien ce qui s’est passé en septembre septante-trois. Et nos enfants écoutaient. Et c’était beau. Tu vois, ô Julos, nous sommes les oiseaux de l’île nouvelle. A nos mesures. A nos façons. Nous chantons les chansons que tu as mises dans nos cœurs. Et qu’on ne me dise pas que ça ne sert à rien. Avec une larme belle en te le signifiant, je t’envoie mes vœux les plus tendres et les plus exigeants.

Benoît Coppée

 

Francine
Belgique
Posté le:
4/1/2007 03:07
Sujet du message:
RE: ô Julos
Répondre            
Email:
psyfrancinematthys@hotmail.com
 
Aaah! Oui c'est beau et en effet Lol, nous sommes tellement nombreux a le penser. Merci benoit.

Francine


----- Message d'origine -----
oh oui. merci de dire si bellement ce que nous sommes nombreux à penser et éprouver ici et ailleurs.
lol


----- Message d'origine -----
Julos, je pense beaucoup à toi. Lorsqu’en ces jours-ci des vœux s’échangent à tous vents. Comme des feux d’artifices. Portés par des mains, des ondes, des satellites, des fils, des voix et des joues. Des explosions de désirs et de bienveillances. En ces temps-ci. Et c’est beau. Dans le cœur de certains, c’est chaque jour l’an neuf en son mouvement, tel un hoquet, un sursaut, une difficulté à dormir, qui rappelle à l’amour nécessaire. Dans ton cœur, ô Julos, dans tes mains sur la guitare, dans ton souffle sur l’arc-en-ciel, c’est chaque instant, depuis toujours, instant de souhait, instant de vœux. Tantôt murmurés, tantôt hurlés, tantôt ris, tantôt pleurés. Tes vœux sont toujours tournés vers le ciel pour que les oiseaux entendent et qu’ils contaminent le monde à leur mesure, à leur façon. Ô Julos, toi qui fais de ta vie l’écriture à flux continu de vœux les plus tendres et les plus exigeants. Pour notre Terre et son humanité, tu nous aides à aimer. C’est peut-être cela, le sens du poète : une vie pour écrire des vœux. Voeux les plus tendres et les plus exigeants. Pour l’univers et son humanité. Ô Julos, tu es à la tête d’une multinationale, une fabrique de vœux que nous nous récitons entre nous, que nous nous partageons entre nous, que nous continuons de distiller aux quatre coins. Nous sommes les oiseaux. Tu nous donnes le la. Tu nous offres tes mains et ton souffle. Avec tant d’amour. L’autre nuit, chez des amis, avec deux guitares, nous avons joué et chanté la Lettre à Kissinger. Ta Lettre à Kissinger. J’accompagnais la femme qui chantait. Elle avait quitté le Chili. Elle est restée discrète. Elle connaissait trop bien ce qui s’est passé en septembre septante-trois. Et nos enfants écoutaient. Et c’était beau. Tu vois, ô Julos, nous sommes les oiseaux de l’île nouvelle. A nos mesures. A nos façons. Nous chantons les chansons que tu as mises dans nos cœurs. Et qu’on ne me dise pas que ça ne sert à rien. Avec une larme belle en te le signifiant, je t’envoie mes vœux les plus tendres et les plus exigeants.

Benoît Coppée

 

babel
Posté le:
4/1/2007 07:10
Sujet du message:
RE: ô Julos
Répondre            
Email:
babel@etoiles.net
 
Quand un vicomte
(un vicomte des mots)
parle d'un aut' vicomte
qu'est-ce qu'il raconte
bien les histoires de vicomtes
(deux vicomtes des mots)

Quand deux vicomtes
(dont une vicomtesse)
parlent d'un aut' vicomte
qu'est-ce qu'ils racontent
bien les histoires de vicomtes
(à trois dont la vicomtesse)
 

Bernard
Belgique
Posté le:
5/1/2007 05:34
Sujet du message:
RE: ô Julos
Répondre            
 
En effet. Et l'on peut donc dire que les bons vicomtes font les bonzes hommes. Normal pour un gardien de pagodes. Mais les histoires de vicomtes, sont-ce des contes ? Pas simple décidemment cette histoire... Banannée quand même !

----- Message d'origine -----
Quand un vicomte
(un vicomte des mots)
parle d'un aut' vicomte
qu'est-ce qu'il raconte
bien les histoires de vicomtes
(deux vicomtes des mots)

Quand deux vicomtes
(dont une vicomtesse)
parlent d'un aut' vicomte
qu'est-ce qu'ils racontent
bien les histoires de vicomtes
(à trois dont la vicomtesse)
 

babel
Posté le:
5/1/2007 21:52
Sujet du message:
RE: ô Julos
Répondre            
Email:
babel@etoiles.net
Site Internet:
http://www.evene.fr:80/culture/agenda/julos-beaucarne-14780.php
Jilber nous as dit :

Chers amis, foraimeux, adhérents et amoureux de la chanson,
Suite à un communiqué de presse de notre association annonçant le Printemps des Poètes de Champigneulles, le site internet http://evene.fr <http://evene.fr> a mis en ligne une page sur Julos. Si l'annonce de son concert et sa biographie sont fort intéressantes, la critique de son dernier cd "Le Jaseur Boréal" par Julien Demets jette le chaud et surtout un froid par certaines affirmations peu flatteuses, que la conclusion de l'article ne relève pas !
Aussi je vous demande d'aller sur cette page pour y donner votre avis et montrer que nous sommes beaucoup à considérer Julos autrement qu'un allumé, un baba-cool idéaliste jouant du folk pastoral. (voir l'article ci-dessous).

alors j'ai répondu, mais le publieront-ils ceci :
Chapitre UN
M. Demets ne doit pas vraiment écouter son temps, trop occupé par une tendance qui tangue et danse parce que c’est l’heure de le faire. « … le chanteur ne fait rien pour séduire les réticents… ». C’est touffu, c’est tout faux ! Qui ne séduit pas n’a pas de public ! Selon ce critique, l’avantage de cet album est de ne pas déranger. Mais ne rien déranger est l’art de la tendance. Si vous vouliez des chansons sur des questions actuellement chantées, reportez-vous aux albums de Julos Beaucarne des années 90. Vous y trouverez le foulard islamique, le sida : mais à l’époque, ça ne faisait pas beaucoup de bruit… Pour d’autres questions actuelles, c’est le « Jaseur 2006». Il y chante l'Alzheimer, la maladie, mais oh, c’est la grande cause nationale de santé cette année…Il y chante ce nécessaire reflet du beau dans la vie. Cependant, (oublieux de ses coups de cœur ?) notre critique dit que les poètes sont « désuets au XXIe siècle », cela doit venir ou bien d’une scolarité ratée, ou bien d’un abus d’alexandrins de boutiquiers à la rime facile, scandés avec une rage feinte, je veux dire, le rap et autres bluettes. Ah la profonde poésie où « rime avec crime cime abime — le « ^ » c’est has been, Sabine ! - ; amour toujours Mansour ; ciel bleu tes yeux ; si t’es cité, à la cité, à comparaître t’es cité ! ». Savez-vous qui est cité dans les dernières éditions du célèbre dico de rimes ? Julos Beaucarne !

Chapitre deux
Je voudrais qu’on m’explique aussi : « délires new-age parfois sibyllins », parce que cette langue de bois parfois parisienne, souvent rotative – en terme de presse - je ne la parle pas. Ce doit être « L’eau ». Ciel, mais on n’a pas traité Julos Beaucarne d’écolo ? Ah ! C’est devenu à la mode, pour remiser l’album, évitons d’en dire du bien ! Pour l’eau, svp, reportez-vous aux dernières études, et rendez-vous en été 2007, pas à Paris-Plage, ni devant un frigo à glaçons dans un spa climatisé, mais à Alger aux robinets secs. Idem, quelle myopie pour le lien entre « Les Zinnekes » et « Jaures » : certes, deux auteurs belges, mais quelle parenté entre le zoom sur les hommes serrés autour d’un grand défunt, et cette foule anonyme de zinneken d’aujourd’hui ? Encore une précision, Julos Beaucarne a bien des répétiteurs qui s’en vont citant l’un ou l’autre de ses vers, sans guillemets, bien sûr. Autoproduit avant les coupes sombres des majors pompées par le MP3, Julos Beaucarne ne fait pas de promo paillettes. Pas d’attaché de presse pour lui décocher une place chez un chroniqueur TV : donc, on le déclasse. Mais alors, pourquoi ces « fans » dont parle le début du papier. Vé, c’est un coup du sort ! On a le droit de ne pas aimer, mais de là à dire n’importe quoi… Je ne sais ce qui bouche les oreilles, ces jours, le cérumen, les petits fours ou les promesses d’ascenseurs à renvoyer, mais visiblement, à moins de cracher dans la soupe ou bien au bassinet, rien ne s’entend…
 

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