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lol France |
Posté le: 13/1/2007 11:01 | Sujet du message: RE: Au pays parfumé de Baudelaire? | |
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ok michel. Le bonheur n'est-il pas dans la quête elle-même, après tout? "Des chercheurs qui cherchent, On en trouve Des chercheurs qui trouvent, On en cherche"
@ bientôt lol
----- Message d'origine ----- Merci à toi pour ton intervention, mais je ne retrouve pas dans les paroles que tu cites ce que rumine ma défaillante mémoire Et ce qui m'inquiète c'est que tu sembles dire que mes faibles indications n'évoquent rien chez Julos lui-même. Je poursuis ma quête et ne manquerais pas d'en signaler sur ce forum toute issue favorable.
----- Message d'origine ----- ô michel, julos ne voit pas non plus de quelle chanson il s'agit. J'ai beau réfléchir et fouiller, je ne vois pas. Ultime tentative peut-être ce texte que Julos dit sur l'album l'Hélioplane et qu'il reprend souvent en spectacle?
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Michel France |
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Merci à toi pour ton intervention, mais je ne retrouve pas dans les paroles que tu cites ce que rumine ma défaillante mémoire Et ce qui m'inquiète c'est que tu sembles dire que mes faibles indications n'évoquent rien chez Julos lui-même. Je poursuis ma quête et ne manquerais pas d'en signaler sur ce forum toute issue favorable.
----- Message d'origine ----- ô michel, julos ne voit pas non plus de quelle chanson il s'agit. J'ai beau réfléchir et fouiller, je ne vois pas. Ultime tentative peut-être ce texte que Julos dit sur l'album l'Hélioplane et qu'il reprend souvent en spectacle?
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lol France |
Posté le: 12/1/2007 07:35 | Sujet du message: RE: Au pays parfumé de Baudelaire? | |
Email: ersatz_66@hotmail.com | |
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ô michel, julos ne voit pas non plus de quelle chanson il s'agit. J'ai beau réfléchir et fouiller, je ne vois pas. Ultime tentative peut-être ce texte que Julos dit sur l'album l'Hélioplane et qu'il reprend souvent en spectacle?
Je suis l’homme, je suis l’enfant, Je suis la femme noire, La femme jaune, L’homme noir, l’homme jaune, L’homme blanc, Je suis l’oiseau Et le poisson et la tortue Et le cheval qui court. Je suis l’herbe et l’arbre. Je suis la mer et la montagne. Si je fais du mal à une partie de moi, A l’enfant qui est en moi, A la femme qui est en moi, De n’importe quel pays, De n’importe quelle couleur, Je me fais du mal à moi-même. Aussi ai-je souvent mal A toutes ces parties de moi Mutilées, torturées, affamées, En quelque lieu du monde. Le jour approche Où je serai entière et entier, Où j’aurai assumé ma féminitude, Ma mâlitude, ma négritude, ma jaunitude.
----- Message d'origine ----- Le style du début du poème de Baudelaire me semble assez dans celui de la chanson que je cherche, mais ce n'est pas encore ça. |
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Jilber France |
Posté le: 4/1/2007 02:16 | Sujet du message: RE: ma réponse... | |
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à méditer, donc...
----- Message d'origine ----- Je viens de trouver sur le net un enregistrement du 'Chanteur du Silence' : après le passage que tu cites Jilber, il y a un long silence ... mais rien de plus ! |
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Michel France |
Posté le: 3/1/2007 09:36 | Sujet du message: RE: ma réponse... | |
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Je viens de trouver sur le net un enregistrement du 'Chanteur du Silence' : après le passage que tu cites Jilber, il y a un long silence ... mais rien de plus ! |
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Michel France |
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Le style du début du poème de Baudelaire me semble assez dans celui de la chanson que je cherche, mais ce n'est pas encore ça. |
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Jilber France |
Posté le: 3/1/2007 04:35 | Sujet du message: ma réponse... | |
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Peut-être dans le texte "Le chanteur du silence" sur l'album du même nom, juste après que Julos dise "dans le spectre duquel se cachent toutes les musiques"...
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lol France |
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Nouvelle tentative, un texte de Baudelaire que Julos a mis en musique à Tahiti.
AU PAYS PARFUME
Au pays parfumé que le soleil caresse J’ai connu sous un dais d’arbres tout empourprés Et de palmiers d’où pleut sous les yeux de la paresse, Une dame créole aux charmes ignorés. Son teint est pâle et chaud ; la brune enchanteresse A dans le col des airs noblement maniérés ; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d’orner les antiques manoirs, Vous feriez à l’abri des ombreuses retraites, Germer mille sonnets dans le coeur des poètes Germer mille sonnets dans le coeur des poètes
Charles Baudelaire Extrait de « Les fleurs du mal » |
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lol France |
Posté le: 3/1/2007 02:12 | Sujet du message: RE: recherche titre de chanson | |
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Damned, tu m'intrigues là... j'ai songé aussi aux chansons qui ne sont pas de Julos. Dans quelles circonstances as-tu entendu cette chanson, en spectacle? en radio ou sur un album? lol
----- Message d'origine -----
Merci LOL pour ces beaux textes, mais je n'y reconnais pas la chanson que je cherche, et je n'ai pour l'instant pas d'autres indices (sinon que c'est une chanson interprétée par Julos, mais je ne sais même pas si les paroles sont de lui).
----- Message d'origine ----- Bonjour Michel, tu m'interpelles là... je ne suis pas sûre. On va explorer quelques pistes...
Peut-être cette chanson d'Anna de Noailles pour les palmiers et le sable... ?
SI JE N'AIMAIS QUE TOI EN TOI
Si je n’aimais que toi en toi, Je guérirais de ton visage, Je guérirais bien de ta voix Qui m’émeut comme lorsqu’on voit Dans le nocturne paysage La lune énigmatique et sage Qui nous étonne chaque fois. Si c’était toi par qui je rêve, Toi vraiment seul, toi seulement, J’observerais tranquillement Ce clair contour, cette âme brève Qui te commence et qui t’achève. Mais à cause de nos regards, A cause de l’insaisissable, A cause de tous les hasards Je suis parmi toi, haut et stable Comme le palmier dans les sables. Nous sommes désormais égaux, Tout nous joint, rien ne nous sépare, Je te choisis si je compare: C’est toi le riche et moi l’avare, C’est toi le chant et moi l’écho, Et t’ayant comblé de moi-même O visage par qui je meurs, Rêve, désir, parfum, rumeur, Est-ce toi ou bien moi que j’aime?
Anna De Noailles Extrait de l'album "L'hélioplane"
Ou alors ce texte qui évoque clairement l'Afrique:
Je n’aurai pas le temps de lire Tous les poèmes du monde Et j’ignorerai peut-être Longtemps même Les vers du poète papou Tumuc-Humac La voix du poète analphabète L’oral Siméon de Carinthie Et la voix du poète aveugle D’Afghanistan Oumaoul el Kabache J’ignorerai sans doute jusqu’à ton nom Poète du désert murmurant tout seul Dans ta tente berbère quelque Credo intérieur
En pensant à la femme que tu aimes Je ne connaîtrai sans doute jamais La poétesse nègre d’Haïti Qui chante à son nouveau-né La joie de l’enfanter Je ne connaîtrai pas Dulcianne Poétesse du fond d’Ethiopie Mirant son visage de princesse Tutsi Dans le miroir de quelque lac De haute montagne Ni la prêtresse noire des Hauteurs du Rwanda Egrenant devant le feu la vieille saga Et la chanson que chantaient ceux Qui n’avaient jamais été à Bujumbura Ni la voix de cette femme enterrée vivante Au Burundi Tant de voix perdues comme ta voix Enveloppée dans la fixité de la mort
Extrait de l’album « Le chanteur du silence »
Ou celui-ci, qui décrit des paysages qui pourraient évoquer l'Afrique?
JE ME SUIS TU ET VOUS ETES VENUE
Je me suis tu et vous êtes venue A pas menus comme toujours Vous faisiez semblant de ne point être là Et pourtant c’est vous Je vous ai reconnue qui habitiez en moi Vous êtes venue comme un agneau Sans cri sans écart et sans voix Comme ce je ne sais quoi Qui fait que c’est vous Ces pas sur le sable Sur le gravier Sur les dalles des salles voûtées Vous êtes venue comme une grande dame Quand je ne songeais plus à vous Quand ma mémoire comme un aéroplane Planait sur d’autres pays Sur d’autres lits de fleuves asséchés De déserts où les chameaux vont ventre à terre J’avais même désespéré de vous revoir Un jour jamais Pourtant je reconnais ce pas sur le pas De ma porte Et ce je ne sais quoi qui porte L’espérance si forte Et j’ai tiré mon grand chapeau Et dans mon coeur J’ai fait la révérence et vous ne l’avez pas vu J’ai tressailli de bonheur tout au fond Sans le savoir Sans savoir pour qui ni en quel honneur Vous êtes venue comme la bise Qui passe sous la porte Et pénètre dans la maison de l’hiver Près du feu de bois vous Vous êtes réchauffée Et j’ai reconnu cette voix Et cet éclair dans vos yeux Et ce je ne sais quoi qui fait que c’est vous. Le vent avec la mer Avec tous les vents d’hiver Tous se sont tus et vous êtes venue A pas menus comme toujours Vous faisiez semblant de n’être point là. Et pourtant c’est vous Je vous ai reconnue qui habitiez en moi
Extrait de l’album « Les communiqués colombophiles »
Si c'est autre chose, aurais-tu des indices supplémentaires ? @ bientôt lol
----- Message d'origine ----- Bonjour à tous et bonne année 2007 J'aimerais connaître le titre de la chanson où Julos compare le corps d'une certaine femme à un continent-l'Afrique si je ne m'abuse (cela date d'avant 1985 je pense). Merci de m'aider dans cette recherche si peu précise.
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Michel France |
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Merci LOL pour ces beaux textes, mais je n'y reconnais pas la chanson que je cherche, et je n'ai pour l'instant pas d'autres indices (sinon que c'est une chanson interprétée par Julos, mais je ne sais même pas si les paroles sont de lui).
----- Message d'origine ----- Bonjour Michel, tu m'interpelles là... je ne suis pas sûre. On va explorer quelques pistes...
Peut-être cette chanson d'Anna de Noailles pour les palmiers et le sable... ?
SI JE N'AIMAIS QUE TOI EN TOI
Si je n’aimais que toi en toi, Je guérirais de ton visage, Je guérirais bien de ta voix Qui m’émeut comme lorsqu’on voit Dans le nocturne paysage La lune énigmatique et sage Qui nous étonne chaque fois. Si c’était toi par qui je rêve, Toi vraiment seul, toi seulement, J’observerais tranquillement Ce clair contour, cette âme brève Qui te commence et qui t’achève. Mais à cause de nos regards, A cause de l’insaisissable, A cause de tous les hasards Je suis parmi toi, haut et stable Comme le palmier dans les sables. Nous sommes désormais égaux, Tout nous joint, rien ne nous sépare, Je te choisis si je compare: C’est toi le riche et moi l’avare, C’est toi le chant et moi l’écho, Et t’ayant comblé de moi-même O visage par qui je meurs, Rêve, désir, parfum, rumeur, Est-ce toi ou bien moi que j’aime?
Anna De Noailles Extrait de l'album "L'hélioplane"
Ou alors ce texte qui évoque clairement l'Afrique:
Je n’aurai pas le temps de lire Tous les poèmes du monde Et j’ignorerai peut-être Longtemps même Les vers du poète papou Tumuc-Humac La voix du poète analphabète L’oral Siméon de Carinthie Et la voix du poète aveugle D’Afghanistan Oumaoul el Kabache J’ignorerai sans doute jusqu’à ton nom Poète du désert murmurant tout seul Dans ta tente berbère quelque Credo intérieur
En pensant à la femme que tu aimes Je ne connaîtrai sans doute jamais La poétesse nègre d’Haïti Qui chante à son nouveau-né La joie de l’enfanter Je ne connaîtrai pas Dulcianne Poétesse du fond d’Ethiopie Mirant son visage de princesse Tutsi Dans le miroir de quelque lac De haute montagne Ni la prêtresse noire des Hauteurs du Rwanda Egrenant devant le feu la vieille saga Et la chanson que chantaient ceux Qui n’avaient jamais été à Bujumbura Ni la voix de cette femme enterrée vivante Au Burundi Tant de voix perdues comme ta voix Enveloppée dans la fixité de la mort
Extrait de l’album « Le chanteur du silence »
Ou celui-ci, qui décrit des paysages qui pourraient évoquer l'Afrique?
JE ME SUIS TU ET VOUS ETES VENUE
Je me suis tu et vous êtes venue A pas menus comme toujours Vous faisiez semblant de ne point être là Et pourtant c’est vous Je vous ai reconnue qui habitiez en moi Vous êtes venue comme un agneau Sans cri sans écart et sans voix Comme ce je ne sais quoi Qui fait que c’est vous Ces pas sur le sable Sur le gravier Sur les dalles des salles voûtées Vous êtes venue comme une grande dame Quand je ne songeais plus à vous Quand ma mémoire comme un aéroplane Planait sur d’autres pays Sur d’autres lits de fleuves asséchés De déserts où les chameaux vont ventre à terre J’avais même désespéré de vous revoir Un jour jamais Pourtant je reconnais ce pas sur le pas De ma porte Et ce je ne sais quoi qui porte L’espérance si forte Et j’ai tiré mon grand chapeau Et dans mon coeur J’ai fait la révérence et vous ne l’avez pas vu J’ai tressailli de bonheur tout au fond Sans le savoir Sans savoir pour qui ni en quel honneur Vous êtes venue comme la bise Qui passe sous la porte Et pénètre dans la maison de l’hiver Près du feu de bois vous Vous êtes réchauffée Et j’ai reconnu cette voix Et cet éclair dans vos yeux Et ce je ne sais quoi qui fait que c’est vous. Le vent avec la mer Avec tous les vents d’hiver Tous se sont tus et vous êtes venue A pas menus comme toujours Vous faisiez semblant de n’être point là. Et pourtant c’est vous Je vous ai reconnue qui habitiez en moi
Extrait de l’album « Les communiqués colombophiles »
Si c'est autre chose, aurais-tu des indices supplémentaires ? @ bientôt lol
----- Message d'origine ----- Bonjour à tous et bonne année 2007 J'aimerais connaître le titre de la chanson où Julos compare le corps d'une certaine femme à un continent-l'Afrique si je ne m'abuse (cela date d'avant 1985 je pense). Merci de m'aider dans cette recherche si peu précise.
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babel |
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Hello Lol Hello !!
de mon côté choux blanc et blanc bonnet..pas encore re-trouvé, ni trouvé.... |
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lol Belgique |
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Bonjour Michel, tu m'interpelles là... je ne suis pas sûre. On va explorer quelques pistes...
Peut-être cette chanson d'Anna de Noailles pour les palmiers et le sable... ?
SI JE N'AIMAIS QUE TOI EN TOI
Si je n’aimais que toi en toi, Je guérirais de ton visage, Je guérirais bien de ta voix Qui m’émeut comme lorsqu’on voit Dans le nocturne paysage La lune énigmatique et sage Qui nous étonne chaque fois. Si c’était toi par qui je rêve, Toi vraiment seul, toi seulement, J’observerais tranquillement Ce clair contour, cette âme brève Qui te commence et qui t’achève. Mais à cause de nos regards, A cause de l’insaisissable, A cause de tous les hasards Je suis parmi toi, haut et stable Comme le palmier dans les sables. Nous sommes désormais égaux, Tout nous joint, rien ne nous sépare, Je te choisis si je compare: C’est toi le riche et moi l’avare, C’est toi le chant et moi l’écho, Et t’ayant comblé de moi-même O visage par qui je meurs, Rêve, désir, parfum, rumeur, Est-ce toi ou bien moi que j’aime?
Anna De Noailles Extrait de l'album "L'hélioplane"
Ou alors ce texte qui évoque clairement l'Afrique:
Je n’aurai pas le temps de lire Tous les poèmes du monde Et j’ignorerai peut-être Longtemps même Les vers du poète papou Tumuc-Humac La voix du poète analphabète L’oral Siméon de Carinthie Et la voix du poète aveugle D’Afghanistan Oumaoul el Kabache J’ignorerai sans doute jusqu’à ton nom Poète du désert murmurant tout seul Dans ta tente berbère quelque Credo intérieur
En pensant à la femme que tu aimes Je ne connaîtrai sans doute jamais La poétesse nègre d’Haïti Qui chante à son nouveau-né La joie de l’enfanter Je ne connaîtrai pas Dulcianne Poétesse du fond d’Ethiopie Mirant son visage de princesse Tutsi Dans le miroir de quelque lac De haute montagne Ni la prêtresse noire des Hauteurs du Rwanda Egrenant devant le feu la vieille saga Et la chanson que chantaient ceux Qui n’avaient jamais été à Bujumbura Ni la voix de cette femme enterrée vivante Au Burundi Tant de voix perdues comme ta voix Enveloppée dans la fixité de la mort
Extrait de l’album « Le chanteur du silence »
Ou celui-ci, qui décrit des paysages qui pourraient évoquer l'Afrique?
JE ME SUIS TU ET VOUS ETES VENUE
Je me suis tu et vous êtes venue A pas menus comme toujours Vous faisiez semblant de ne point être là Et pourtant c’est vous Je vous ai reconnue qui habitiez en moi Vous êtes venue comme un agneau Sans cri sans écart et sans voix Comme ce je ne sais quoi Qui fait que c’est vous Ces pas sur le sable Sur le gravier Sur les dalles des salles voûtées Vous êtes venue comme une grande dame Quand je ne songeais plus à vous Quand ma mémoire comme un aéroplane Planait sur d’autres pays Sur d’autres lits de fleuves asséchés De déserts où les chameaux vont ventre à terre J’avais même désespéré de vous revoir Un jour jamais Pourtant je reconnais ce pas sur le pas De ma porte Et ce je ne sais quoi qui porte L’espérance si forte Et j’ai tiré mon grand chapeau Et dans mon coeur J’ai fait la révérence et vous ne l’avez pas vu J’ai tressailli de bonheur tout au fond Sans le savoir Sans savoir pour qui ni en quel honneur Vous êtes venue comme la bise Qui passe sous la porte Et pénètre dans la maison de l’hiver Près du feu de bois vous Vous êtes réchauffée Et j’ai reconnu cette voix Et cet éclair dans vos yeux Et ce je ne sais quoi qui fait que c’est vous. Le vent avec la mer Avec tous les vents d’hiver Tous se sont tus et vous êtes venue A pas menus comme toujours Vous faisiez semblant de n’être point là. Et pourtant c’est vous Je vous ai reconnue qui habitiez en moi
Extrait de l’album « Les communiqués colombophiles »
Si c'est autre chose, aurais-tu des indices supplémentaires ? @ bientôt lol
----- Message d'origine ----- Bonjour à tous et bonne année 2007 J'aimerais connaître le titre de la chanson où Julos compare le corps d'une certaine femme à un continent-l'Afrique si je ne m'abuse (cela date d'avant 1985 je pense). Merci de m'aider dans cette recherche si peu précise.
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Michel France |
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Bonjour à tous et bonne année 2007 J'aimerais connaître le titre de la chanson où Julos compare le corps d'une certaine femme à un continent-l'Afrique si je ne m'abuse (cela date d'avant 1985 je pense). Merci de m'aider dans cette recherche si peu précise. |
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