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Olivette Canada |
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À vous tous, une année 2007 de Paix, de Santé et d'Amour
----- Message d'origine ----- La mer, le ciel et la terre ont offert un magnifique coucher de soleil pour cette fin d’année. Un superbe disque orange et rouge, nettement détaché sur un fond bleu turquoise. Il s’est glissé doucement dans l’eau, juste au bout des rochers et s’est éteint comme une braise qui fini de se consumer. Il y a un magnifique texte de Claude Lévi-Stauss qui parle du coucher de soleil. Il y dit comment quand le disque du soleil touche l’eau l’homme se pose et porte un regard derrière lui sur la journée qui se termine. Il y parle de l’intensité des souvenirs. La mer prenait l’allure d’or et d’argent fondu. Le ciel se déclinait du rose à l’horizon vers le bleu céruléen de la nuit qui commence. Le soleil plongeait et tirait la lune vers le zénith. A la surface presque parfaitement lisse de l’eau quelques poissons faisaient de pirouettes et les oiseaux plongeaient pour les attraper. Le lavis du ciel était absolument parfait et régulier. La ligne des rochers se découpait avec la netteté d’un trait de feutre noir. Magnifique. Il y avait aussi le murmure très doux de l’eau qui roule sur les galets et le cliquetis léger des cailloux qui s’entrechoquent délicatement. Une odeur verte et grise, lisse et fraîche, comme un cri de mouette très très loin ou le rire d’un dauphin. Un homme est venu s’installer pour jouer du djembé. Aurait-il dû laisser le calme sur la mer ? Mais c’était comme le cœur des hommes qui battait en cadence. A moins que ce n’était l’écho feutré du cœur de la terre ? Et j’ai pensé à vous tous, pour vous envoyer quelques paillettes de cette beauté, quelques pépites de ce spectacle serein, pur, parfait, paisible et doux. Puis, j’ai frôlé des pensées plus pessimistes sur le monde et la vie. Mais faut-il absolument garder les yeux ouverts sur les difficultés de la vie. Sous cette lumière orangée, ce n’était pas approprié. Cette beauté cadeau pour dire au revoir à cette année, je vous la partage.
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anouk |
Posté le: 1/1/2007 02:03 | Sujet du message: RE: Bonne année | |
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Oups, Je me croyais assise dans le sable auprès de toi ! Merci de nous avoir fait rêver Lazuly, Bonne Année 2007, meilleure que 2006, tel est mon souhait.
----- Message d'origine ----- La mer, le ciel et la terre ont offert un magnifique coucher de soleil pour cette fin d’année. Un superbe disque orange et rouge, nettement détaché sur un fond bleu turquoise. Il s’est glissé doucement dans l’eau, juste au bout des rochers et s’est éteint comme une braise qui fini de se consumer. Il y a un magnifique texte de Claude Lévi-Stauss qui parle du coucher de soleil. Il y dit comment quand le disque du soleil touche l’eau l’homme se pose et porte un regard derrière lui sur la journée qui se termine. Il y parle de l’intensité des souvenirs. La mer prenait l’allure d’or et d’argent fondu. Le ciel se déclinait du rose à l’horizon vers le bleu céruléen de la nuit qui commence. Le soleil plongeait et tirait la lune vers le zénith. A la surface presque parfaitement lisse de l’eau quelques poissons faisaient de pirouettes et les oiseaux plongeaient pour les attraper. Le lavis du ciel était absolument parfait et régulier. La ligne des rochers se découpait avec la netteté d’un trait de feutre noir. Magnifique. Il y avait aussi le murmure très doux de l’eau qui roule sur les galets et le cliquetis léger des cailloux qui s’entrechoquent délicatement. Une odeur verte et grise, lisse et fraîche, comme un cri de mouette très très loin ou le rire d’un dauphin. Un homme est venu s’installer pour jouer du djembé. Aurait-il dû laisser le calme sur la mer ? Mais c’était comme le cœur des hommes qui battait en cadence. A moins que ce n’était l’écho feutré du cœur de la terre ? Et j’ai pensé à vous tous, pour vous envoyer quelques paillettes de cette beauté, quelques pépites de ce spectacle serein, pur, parfait, paisible et doux. Puis, j’ai frôlé des pensées plus pessimistes sur le monde et la vie. Mais faut-il absolument garder les yeux ouverts sur les difficultés de la vie. Sous cette lumière orangée, ce n’était pas approprié. Cette beauté cadeau pour dire au revoir à cette année, je vous la partage.
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Lazuly Espagne |
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La mer, le ciel et la terre ont offert un magnifique coucher de soleil pour cette fin d’année. Un superbe disque orange et rouge, nettement détaché sur un fond bleu turquoise. Il s’est glissé doucement dans l’eau, juste au bout des rochers et s’est éteint comme une braise qui fini de se consumer. Il y a un magnifique texte de Claude Lévi-Stauss qui parle du coucher de soleil. Il y dit comment quand le disque du soleil touche l’eau l’homme se pose et porte un regard derrière lui sur la journée qui se termine. Il y parle de l’intensité des souvenirs. La mer prenait l’allure d’or et d’argent fondu. Le ciel se déclinait du rose à l’horizon vers le bleu céruléen de la nuit qui commence. Le soleil plongeait et tirait la lune vers le zénith. A la surface presque parfaitement lisse de l’eau quelques poissons faisaient de pirouettes et les oiseaux plongeaient pour les attraper. Le lavis du ciel était absolument parfait et régulier. La ligne des rochers se découpait avec la netteté d’un trait de feutre noir. Magnifique. Il y avait aussi le murmure très doux de l’eau qui roule sur les galets et le cliquetis léger des cailloux qui s’entrechoquent délicatement. Une odeur verte et grise, lisse et fraîche, comme un cri de mouette très très loin ou le rire d’un dauphin. Un homme est venu s’installer pour jouer du djembé. Aurait-il dû laisser le calme sur la mer ? Mais c’était comme le cœur des hommes qui battait en cadence. A moins que ce n’était l’écho feutré du cœur de la terre ? Et j’ai pensé à vous tous, pour vous envoyer quelques paillettes de cette beauté, quelques pépites de ce spectacle serein, pur, parfait, paisible et doux. Puis, j’ai frôlé des pensées plus pessimistes sur le monde et la vie. Mais faut-il absolument garder les yeux ouverts sur les difficultés de la vie. Sous cette lumière orangée, ce n’était pas approprié. Cette beauté cadeau pour dire au revoir à cette année, je vous la partage. |
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