dans "Acta Templarorium de Jean-Luc ALIAS : "...Molay, dans les environs de Gray, dont la seigneurie, au XIIIeme siècle appartenait aussi à un grand Seigneur Henri de Vergy, Sire de Mirebel, Sénéchal de Bourgogne, qui aurait bien pu avoir un fils cadet qui aurait reçu le nom de Molay. On peut voir au sujet de cette possession un acte de 1256 qui existe aux archives de Dijon"
voir aussi "Mémoires de la Commission d'archéologie, Volumes 1-2" sur Google Book. Moela l'emboerba, selon le dicton populaire. Ce village est divisé en Molay-la-Ville et Molay-Laître ; il l'était déjà de-même avant l'année 1418.
A Molay naquit, vers le milieu du XIII siècle, le dernier grand-maître des Templiers, Jacques de Molay, que tous les historiens ont fait, à tort, de l'illustre famille de Longwy. Il eut pour père Aimé, chevalier de Molay, et pour parrain Jacques de Vellefaux, dit de La Rochelle, dont Aimé était vassal.
Olivier de Longwy (1439) et Jean, seigneur de Richecourt (1450), achetèrent de Jean de Vergy IV la terre de Molay, et la lui revendirent successivement : le premier en 1443, le second en 1451.
La veuve non désignée de Raymond de Molers (Molay) ; leurs fils également décédés, Ansissus et Hugo (1097). Aimé de Molay a deux fils; il cède au couvent de la Charité ses droits dans les églises de Freligney et d'Etrey (118.
Pierre de Molay, prêtre (1213).
Gérard de Molay, chevalier. Jacques de Vellefaux, chevalier, seigneur de la Rochelle, nommé Jacques de la Rochelle, seigneur de Vellefaux, était son suzerain, et vassale pour ledit fief de Henri de Vergy, sénéchal de Bourgogne(1255-60).
Aimé, chevalier de Molay, possédait à Nantouard, Angirey, Vellefaux (1261-62).
Gérard de Molay, écuyer, tient de Vaucher de Montfaucon la maison forte de Bonboillon (1305-15).
Elisabeth de Molay, seconde femme de Ferry de Châtillont Guyotte (1334).
Guillaume de Molayo, legum profes. officialis Bisuntinus, Vicarius archiepisc. et canonicus (1342-44) |